Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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Matin et après-midi,départ de Coquelles pour deux randonnées très parcourues
dans ce secteur "les Noires Mottes et le Fort Nieulay ".
Un temps très agréable avec seulement le passage d'un petit grain le matin.
Repas sorti du sac au café Le Transmanche de Coquelles ou nous fûmes très bien accueillis
par Valérie et Arnaud.

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Rendez-vous à 14 heures pour une randonnée organisée et guidée par Dominique et Pierre.
Nous sommes 22 au départ sur le parking de l’église.
Nous quittons le village par la rue Anglaise (D248).
Nous traversons de la D215 et empruntons un sentier à travers champs, parsemé de flaques d’eau.
Nous bifurquons à gauche vers « les Terres Labat ».
Nous voilà en plein cœur de lieux chargés d’histoire !
Il y a près de 500 ans, du 7 au 24 juin 1720, la plaine des Flandres se couvrait de centaines de tentes recouvertes de draps d'or, d'argent, de velours, reliées les unes aux autres par des galeries. Le spectacle fut éblouissant. Unique ! Maîtres d'œuvre, ouvriers, terrassiers, charpentiers et forgerons avaient dressé ce bivouac de luxe, entre Guînes et Ardres, aux confins du royaume de France et de l'enclave anglaise de Calais, pour accueillir la rencontre des deux plus flamboyants souverains de la Renaissance : François Ier, roi de France, et Henri VIII, roi d’Angleterre. Rencontre diplomatique à Balinghem entre Ardres appartenant aux Français et Guînes appartenant aux Anglais, à cette époque.
Nous passons à proximité du « parcours aventure » à la lisière de la forêt domaniale de Guînes.
Avec la pluie et surtout le vent tempétueux, nous écourtons quelque peu le parcours.
Le village est en vue et nous rejoignons notre point de départ.
Un goûter est offert par nos guides du jour à l’occasion de l’anniversaire de Dominique qui nous a confectionnés de délicieux gâteaux accompagnés de boissons pétillantes et de bières locales. Lucien et Sylvie avaient même prévu un chapiteau pour nous abriter de la pluie. Nous ne l’avons heureusement pas utilisé.
Merci à tous ces courageux participants qui ont bravés pluie et vent ce mardi.

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Parlons de notre parcours ; Partant de la rue du collège le Trion, nous nous sommes dirigés vers les cités du Petit Paradis pour emprunter le chemin qui nous a amené à Wierre au Bois (Les Sources), puis, nous avons continué vers le Fort Manoir. De là, nous avons emprunté le chemin de la Blanche Jument. Ce dernier nous a permis de passer par le Breuil, le Moyen Bois, les carrières d’Opale, l’Etoquoy, avant de regagner les routes bitumées pour nous retrouver à notre point de départ.
Samer, d’origine remontant à l’époque de Merovée au VII siècle, dont le territoire fut connu sous le nom de Sylvacius, signifie « pays de bois »
La commune de Samer fait partie du parc régional des Caps et Marais d’Opale. De nombreuses sources, rivières et cours d’eau (18 cours d’eau) courent au milieu d’un paysage verdoyant. L’occupation des sols est divisée entre les parties agricoles intégrées dans la maille bocagère du Boulonnais, les parties forestières au sud et les zones urbanisées.
Réputation au niveau régional où une trentaine de producteurs produisent « la fraise », avec une journée qui lui est dédiée en juin. Cependant, n’oublions pas le patrimoine culturel avec l’église St Martin, de facture gothique flamboyant à la particularité d’être inséré entre des constructions typiques du Moyen-Age.
Un peu de légende, « La blanque jument » apparait dans la nuit de pleine lune, sa robe gris clair était perçue comme blanche. Son dos s’allonge et permet à sept cavaliers de s’asseoir. Dès qu’ils étaient installés, elle les entraînait dans des pièges ou les jetait à l’eau.
Merci aux valeureux participants qui n’ont pas démérité au regard de la pluie, le vent, la boue nécessitant une concentration de chaque instant. Vous pouvez être fiers de votre parcours. A bientôt

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Première rando douce de l année sous un ciel un peu gris au départ mais qui s est vite amélioré avec de beaux rayons de soleil.
Toute la troupe des participants a pu assister, par 2 fois, à la course, presque aérienne, d une douzaine de chevreuils, à travers champs.
Ce genre de petit événement et l amitié partagée contribuent au plaisir de nos randos !

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Licques 11 km.
La place de l’abbatiale accueille 30 participants en ce premier dimanche de janvier, propice à l’échange des meilleurs vœux de joies, bonheur et santé !
Nous partons vers Sanghen, heureux de se remettre en marche après cette petite pause des fêtes de fin d’année.
Notre approche relativement plate nous amène au pied du mont Ventu, et c’est avec entrain que nous commençons la grimpette. Le chemin s’élève brusquement, les conversations s’arrêtent et le souffle s’accélère ! Franck en profite pour faire une pointe de vitesse propulsé par des bâtons magiques !
L‘effort est bien récompensé par une superbe vue sur les villages d’Alembon et de Boursin.
Après un petit temps de récupération, nous poursuivons vers le Ventu d’Alembon. Là, un habitant, certainement amateur de randonnée, nous signale une possibilité de pause devant chez lui. Nous ne résistons pas à l’invitation et dégustons le café, le thé les « nounours » de Dominique et Pierre qui savent toujours si bien nous réconforter !
Le chemin, parfois très boueux, souvent noyé, toujours glissant et patinant, nous oblige à prendre beaucoup de précaution. Mais cela ne suffit pas ! N’est-ce pas Hervé, Catherine et Lyse …
Nous apercevons bientôt la belle abbatiale qui domine le paysage et, pour rejoindre le départ, nous empruntons un très joli sentier pittoresque qui longe un ruisseau bien fringant, affluent de la Hem.
Après avoir changé de chaussures et même de pantalon (une célèbre randonneuse a fait un striptease sur le parking !) nous gagnons le café restaurant Le Tacot pou y prendre notre pique-nique et déguster la traditionnelle galette des rois. Nous y retrouvons quelques amis qui n’ont pas pu participer à la rando et c’est 36 convives qui espèrent trouver la fève… Trois reines sont alors fêtées : Martine B, Catherine et Anne-Françoise.
Pour terminer cet agréable moment de retrouvaille, nous découvrons le musée de la vie et des machines agricoles du début du XXème siècle de M. Alfred LORGNIER.
Nous y sommes accueillis par son épouse et son fils et ce’st avec beaucoup de nostalgie, de surprises, et d’admiration que nous revivons les habitudes, les gestes d’antan et la sagesse de nos aînés.
2020 a vraiment bien commencé !

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Deux parcours (18 et 10 km) un pique-nique amélioré et visite de l’escargotière.
14 participants au départ de l’escargotière. Nous quittons le Hameau du Choquel plein Sud pour rejoindre une ancienne voie ferrée et la longer. L’atmosphère est lourd et pesant. Nous nous écartons à deux reprises de cette ancienne voie pour grimper dans le bois du Mont Hulin plus frais mais le temps lourd semble nous poursuivre, pour nous faire transpirer.
Voici le Mont Pelé et les points de vue sur ces anciennes carrières qui ont tant façonné le paysage.
Une descente rapide par des escaliers d’abord métalliques puis de bois un peu vermoulu nous amène dans un long tunnel. Il faut alors allumer les frontales pout voir où nous mettons les pieds.
Enfin la sortie du tunnel ! La lumière nous éblouie au bord de cet étang. Les ornières de l’important chantier d’un complexe aquatique gênent notre progression.
Voici Desvres et la jonction avec le groupe de Martine L. Mais Martine B. a oublié ses bâtons à la pause précédente. Yves l’accompagne pour ce petit retour arrière qui permet aux autres une pause plus longue et rafraîchissante. Merci Martine L. qui avait prévu boissons fraîches, madeleines et barres chocolatées, de quoi ragaillardir chacun.
Et c’est reparti pour un deuxième épisode. Nous longeons la fosse aux chiens, un autre étang encaissé au milieu de la ville, dérangeant un troupe de canards goguenards !
La progression se fait maintenant plein Nord vers la forêt. Mais celle-ci n’est pas très accueillante ! : Très humide, nombreux dénivelés répétitifs et un vague grondement au loin.
Le ciel s’obscurcit de plus en plus, un coup de vent violent annonce l’imminence de l’averse orageuse !
Celle-ci nous surprend juste aux abord de la ferme du Trou du Charme qui doit nous accueillir pour le pique-nique.
Vite il faut encore traverser la cour et la douche est sévère !
Enfin, à l’abri, on peut se restaurer, goûter aux délicieuses tomates cerises de Geneviève et Guy, de désaltérer d’une boisson fraîche et de déguster la fameuse tarte au papin, spécialité de Mme Bertin.
Nous repartons sous une petite pluie inoffensive qui se tarit bien vite en arrivant au terme de notre rando.
Là, Emmanuel nous accueille pour nous faire découvrir avec passion son élevage d’escargots. 7 500 petites bêtes à tentacules sont soignées, nourrit, surveillées, récoltées, triées, et préparées pour de délicieuses recettes que nous dégustons avec surprise et bonheur accompagnées d’un verre de vin blanc frais. Les joutes orales entre Emmanuel, Dominique et Marie nous ravissent car chacune et chacun n’a pas sa langue dans sa poche !
Toutes et tous, même les plus réticents ont apprécié ce met particulier.
A Mardi pour une balade au Petit Blanc Nez ou encore dimanche à la frontière de la Manche et de la Mer du Nord.

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Enfin une petite pause dans cet hiver tempétueux qui a permis à 30 marcheurs de se retouver pour une traditionnelle ascencion du Cap Blanc Nez par l'Est.
Accalmie des averses, mais non du vent d'Ouest qui n'a toujours pas décidé de baisser les bras !
C'est donc contre lui que nous avons monté lentement vers le Mont Hubert au pied de la digue du Fond Pignon. Bientôt se découvre cette vaste étendue artificielle créée par les déblais du tunnel sous la Manche. Espace maintenant protégé, paisible, qui étale son étendue d'eau accueillante pour les oiseaux migrateurs de passage.
Parvenus, au somment du Mont, une petite halte nous permet de déguster une friandise généreusement offerte par Bernadette.
Pour rejoindre le Cap Blanc Nez nous sommes quelque peu destabilisés par des rafales agressives, tant et si bien que nous renonçons à faire le tour des belvédères.
C'est avec soulagment que nous retrouvons un peu de calme dans le chemin du bord de falaise qui plonge vers Sangatte. Retour facile, en descente, agrémenté d'une deuxième halte "biscuit".
Quel bol d'air !
Prochains RDV : Dimanche à Courset (La Vallée Saint-Maurice ) et Mardi à Peuplingues (Le fond Charlot).

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Matinée pluvieuse avec le vent fort qui nous poussait vers la Belgique sur de beaux chemins entre cultures et marais.
Repas sorti du sac avec un bon accueil au café Rohardushof d'Alveringem.
Retour sur Bambecque avec un vent, de face, à écorner les bœufs accompagnè d'une pluie persistante.
Les vaillants et infatigables participants se sont retrouvés au Cafè-Rando Chez Brigitte à Bambecque pour une bonne partie de franche rigolade; il parait qu'un randonneur doit apprendre comment danser sous la pluie,nous n'y sommes pas parvenus,alors nous avons préféré danser devant une bière.

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Rendez-vous à 14 heures pour une randonnée organisée et guidée par Dominique et Pierre.
Nous sommes 22 au départ de la mairie.
Nous quittons le village par la route de Balinghen puis la rue A Reine. Après une distance de 1300 m, nous empruntons un chemin herbeux parallèle à la D228.
De part et d’autre, ce sont des champs. Nulle trace du vieux moulin qui a pourtant donné son nom à ces lieux.
Nous traversons de la D248 et empruntons un sentier à travers champs, parsemé de flaques d’eau. Puis après la D244, nous nous dirigeons vers le « Clersou », en foulant la toute nouvelle piste du vélo route Ardes / Guînes, puis un chemin de terre en pleine campagne.
Retour par la rue de la Rivierette qui nous ramène à notre point de départ.
Encore beaucoup de vent, avec de belles rafales. Ce sont les résidus de la grosse tempête Ciara qui nous a affectés tout le week-end, nous obligeant à annuler la randonnée de dimanche.
Merci à tous ces courageux participants quelque peu décoiffés….

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Rendez-vous à 14 heures pour la dernière balade de l’année organisée et guidée par Dominique et Pierre.
Nous sommes 28 au départ sur le parking, rue de la Plage, à « la Sirène ».
Le ciel, pourtant maussade, n’a pas affecté le rassemblement de notre groupe composé de « Mères et Pères Noël », coiffés de leurs jolis bonnets traditionnels.
Après la photo classique, c’est une colonne animée et sympathique qui s’élance sur le sentier à l’assaut de la dune. Beau panorama, sur la manche et la baie de Wissant avec au fond, le cap Blanc-Nez. En contrebas, les pieux des bouchots sont pratiquement submergés par la marée montante.
Nous continuons sur la crête du massif dunaire de la Baraque Fricot. Ce nom attribué à ce lieu fait référence à un ancien local où remontait côté français le câble sous-marin du télégraphe.
Descente brève sur la plage et remontée vers le Châtelet. Un chemin à l’intérieur des terres nous amène au hameau de Framezelle.
Nous passons devant l’estaminet « Les Margats » et le souvenir de notre chanteur local Raoult de Godewarsvelde avec sa voix gouailleuse, chaude et râpeuse, nous fait pousser la chansonnette : « Quand la mer monte, j’ai honte… ». C’est notre célèbre « ténor », Dominique L. qui nous donne le ton.
Avec la pluie, maintenant bien présente, nous écourtons un peu la randonnée et rejoignons notre point de départ.
C’est ensuite un impressionnant cortège de voitures qui se dirigent à l’entrée de Marquise sur l’aire de covoiturage où un spacieux abri nous attend.
Echange des cadeaux apportés par chacun(e) et attribués par tirage au sort. Cette petite coutume en cette veille de Noël est toujours très appréciée.
Nous clôturons cette randonnée par le pot de l’amitié offert par l’ARCO, agrémenté de gourmandises confectionnées par nos pâtissières : Francine avec son fameux plum pudding « à rhum attisé », Evelyne et Dominique avec de délicieux gâteaux.
Avant de nous séparer, nous nous sommes souhaités de joyeuses fêtes de fin d’année tout en se donnant rendez-vous pour notre première marche de l’année : « le bol d’air 2020 », le dimanche 5 janvier à Licques.
Merci à tous les participants.

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52 participants à cette journée mémorable !
Nous avons eu malheureusement quelques désistements de dernière minute pour raison de santé. Nous leur souhaitons un prompt rétablissement .
Tout allait bien sur la route nous étions même en avance, quand à quelques kilomètres de notre destination, le car se met à ralentir et à perdre sa puissance.
Le chauffeur s’arrête sur une aire de service et parlemente avec sa direction et ses collègues qui se rendaient aussi à Bruxelles.
Après un dernier essai, il est décidé d’attendre un autre car en provenance de la capitale belge. Transfert de car et c’est un peu en retard cette fois que nous arrivons à destination.
Les 13 « touristes » poursuivent leur voyage en direction du centre-ville, tandis que le marcheurs sont accueillis par l’association La Bruegelienne dans un établissement scolaire où nous prenons notre repas.
Les 39 marcheurs s’élancent sur le parcours de 12 km … sous la pluie !, le parcours est bien fléché et nous passons devant le palais Royal, des jardins en terrasses, des sculptures intéressants et certaines aux formes très évocatrices. Heureusement la pluie cesse bientôt.
Nous traversons un bain de lumière et de musique zen pour aborder les impressionnants bâtiments de la communauté européenne.
Bientôt la foule nous submerge aux abords du marché de Noël. Par petits groupes nous découvrons les traditionnels chalets, attirés par des spécialités culinaires des artisanats orignaux, une ambiance de fête dans les parfums de vin chaud, de gaufres et d’appétissantes charcuteries. On entend de nombreuses langues étrangères. On assite au concert d’une chorale sur les marches de l’église et on aperçoit un superbe son et lumière sur les magnifiques bâtiments historiques et inégalables de la Grand Place. Sans oublier l’incontournable Manneken-Pis.

Pendant ce temps, les « touristes » répartis eux aussi en plusieurs groupes se sont restaurés.
Certains ont essayé le « papyfrites », mais complet il se sont reporté sur le Libanais mais avec des frites une fois ! Ils n’ont pas manqué la Bourse, la patinoire, la place Sainte Catherine et la cathédrale Sainte Gudule.
26 marcheurs ont terminé la boucle qui n’était pas en réalité de 12 km mais de 16 km ! Un peu de fatigue et un léger retard. 13 autres ont retrouvé le car et les amis « touristes » pour rejoindre
le point de départ .
Après un dernier moment de restauration et de dégustation de bière, nous reprenons le chemin du retour dans un nouveau car bien sûr mais toujours avec Joël, notre chauffeur du jour qui s’est bien débrouillé de cette incident technique.

Très vite les yeux se sont reposés sur un sommeil plein de rêves de lumières, de couleurs, de parfums, de bâtiments historiques de Bruxelles Ma Belle !

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Partis de la mairie de Brèmes nous avons rejoint le lac d’Ardes, remonté l’avenue du lac, puis l’avenue du Blanquart à bois en Ardres, pour aboutir ensuite sur la place d’Ardres ,en passant par la nouvelle cité, l’ancienne voie de chemin de fer, le parc. Un petit passage sur la place au passé historique intéressant (église, chapelle des carmes, silo, la belle roze et enfin retour à la mairie de Bremes par le chemin des sources ,le chemin d’écottes, (ancienne voie ferrée transformée en voie douce) . Un petit goûté fut le bienvenue chez moi en attendant l’illumination de la maison « d’en face » qui attire beaucoup de visiteurs .Nous étions 25 marcheurs pour cette balade de 8 km 800 sous un temps humide mais sans pluie et on garde un bon souvenir du moins je l’espère

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Rendez-vous à 9 heures sur le parking du camping de la Vallée pour une randonnée organisée par Jean-Pierre (encore indisponible aujourd’hui) et guidée par Christian D. et Pierre. Nous sommes 11 au départ à braver les prévisions météorologiques pessimistes.
Sous un ciel menaçant et un vent fort, nous quittons le village et empruntons un chemin tout en montée sur un kilomètre qui nous mène sur les hauteurs d’Hervelinghen, 100 m plus haut.
Après quelques centaines de mètres sur la crête un peu boueuse, nous redescendons vers le village vers la « Vallée Cailloux », appellation qui avait probablement un sens dans le passé !
Un nouveau sentier, le GRP de Pays du Tour du Boulonnais, nous mène à deux pas d’Audembert.
C’est la pause café / thé offerte par nos guides du jour.
Une belle montée nous amène à proximité du sommet du Mont de Couple. Nous n’irons pas jusque la table d’orientation qui culmine à 167 m, mais même un peu en contrebas, le paysage nous émerveille quant même, ainsi que le vent !
Le chemin, en descente, entre les fonds dits « du Couple et « du Maire, nous ramène jusqu’au camping.
Belle randonnée dans les collines du Boulonnais, la pluie nous a épargnés et nous avons même eu un soleil persistant sur tout le trajet, comme quoi les prévisions !!!
Merci à tous les participants.

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Rendez-vous à 17 heures 30 à la salle du complexe des Dryade pour une randonnée nocturne au profit du téléthon.
C’est un groupe de 14 personnes emmenés par Pierre et Christian qui se lancent dans l’obscurité.
Heureusement la majorité est équipée de lampes de poche ou de frontales !
Balade le long du canal de Marck, puis sur une ancienne voie allemande bétonnée, vestige de la Guerre 39-45, proche de l’aéroport.
Nous continuons par les rues du 29 Septembre, Curie, de Verdun et pour finir autour des installations sportives de Marck.
En cours de route, Pierre, devant un auditoire intéressé, nous conte la curieuse « Véritable fausse légende de Marie-Grouette ».
Une petite boucle agréable, sous des températures clémentes.
Et pour finir, dégustation d’un vin chaud, une bière et d’une crêpe…
Merci à tous les participants.

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Un beau soleil cet après-midi pour accompagner les 24 randonneurs au départ de la Fontaine de Peuplingues.

Nous remontons la rue principale pour rejoindre le chemin, de Vendôme, mais sans joaillers !
Là nous traversons la cour de la ferme "La Bien Bâtie" avec l'aimable autorisation de M. Patrick DEHESTRU et ainsi éviter d'emprunter la départementale pour rejoindre le PR.

Celui-ci nous mène près de la ferme de la Belle vue en longeant un ancien site archéologique . On y a découvert une nécropole lors des travaux d'enfouissement de l'interconnexion éléctrique IFA 2000.
Des tombes datant allant du IX ème au XVème siècle ont été découvertes creusées à même le sol crayeux sans cercueil .

A la Belle vue nous virons à l'Est après avoir admirer en effet la belle vue sur le village de Sangatte. Au carrefour un énorme tas de poudre noire indéterminée nous interpelle ? Deux hypothèses:
les marcs de café du Géant de Peuplingues ? ou encore les excréments du Dragon de Calais ? D'après Dominique il n'aurait d'ailleurs crotter là que deux fois !

Le chemin des noires Mottes nous offre un superbe panorama sur la mer bien plus bleue qu'opale aujourd'hui.

Une grande croix bleue a été érigée en l'honneur du CapitaineTOURNEUR Eugène Émile Antoine né le 13/12/1877 à Saint Pierre (qui ne s'appelait pas encore Calais - Saint Pierre) commandant la 12e compagnie et décédé le 01/09/1914 à Rousies, département du Nord suite de blessure. Il est tombé héroïquement entre Assevent et Grand-Reng lors d'une offensive.

Bientôt nous apercevons les nouveaux aménagements pour assurer une nouvelle liaison électrique France / Angleterre, avant de coller l'oreille au sol pour entendre les navettes passer dans le tunnel sous la Manche juste en dessous de nos pieds !

De retour aux voitures, toute la troupe de déplace à Bonningues, chez Martine et Yves pour y fêter chaleureusement l’anniversaire du président !

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Rendez-vous à 9 heures sur le parking de l’église pour une randonnée organisée et guidée par Dominique et Pierre.
Sous un ciel mitigé avec un vent d’est glacial, nous quittons le village et empruntons un chemin qui nous mène au lieu-dit « Autove », la D206E1, en direction de Bainghen.
Après quelques centaines de mètres, un nouveau sentier, le GR de Pays du Tour du Boulonnais, nous mène au pied du Mont Sylvestre.
Belle montée qui nous amène sur les hauteurs du village de Nabringhen et le paysage qui nous est offert nous récompense de l’effort fourni.
Parti du village voisin de Nabringhen, Francine et Christian nous ont rejoints.
C’est la pause café / thé offerte par nos guides du jour accompagné de gâteau à la semoule-raisin parfumé généreusement au rhum.
Nous nous remettons en marche par un large chemin jusqu’au bois Herbelle, puis le hameau « Le Jeu de Paume » : bien loin de son homonyme situé au Jardin des Tuileries.
Après le passage de la ferme «  Le Sart », un chemin tout en descente et un peu humide, à travers le bois de la Garenne, nous ramène à Herbinghen.
Belle randonnée dans le Parc Régional des Caps et Marais d’Opale. Nous étions 15 au départ et 17 à l’arrivée, trouver l’erreur !
Merci à tous les participants.

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Étant donné les fortes pluies de la nuit et la meteo non favorable sur BASSE TERRE aujourd'hui la rando s'est déroulée ce jour à la POINTE DES CHATEAUX sur GRANDE TERRE où il faisait sec.

La rando s'est effectuée de la pointe du Cabry, en passant par l'anse a la gourde et l'Anse Tarare pour arriver à la Pointe des Chateaux.

Offerte au vent et battue inlassablement par la mer, ces avancées, surtout la pointe des chateaux occupent la pointe extrême-orientale de la Guadeloupe, à l'est de Saint-François. La mer est sauvage, avec de trés beau rouleaux, offrant un superbe camayeux bleu.

Les filles ont eu l'opportunité de voir un bel adonis qui n'était pas de marbre.


Distance 10 km,Temps 5h y compris les pauses + déjeuner dans une paillotte (Accras de morue pour tout le monde ; c'etait delicieux et copieux.

Au retour nous nous sommes arrêtés à Sainte Anne au marché aux épices pour faire des achats

La suite au prochain numéro

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En fin de séjour il est important une nouvelle fois de faire reposer les corps en prévision du départ en Métropole.

Démarrage de la Mairie de Vieux Fort jusqu'au phare et ensuite du phare vers 3 pointes.

Cette rando nous laisse encore la possibilité de longer la côte sud ouest de Basse Terre et d'apprécier une nouvelle fois le rivage avec les Saintes en face.
Aprés une descente escarpée et une remontée par un escalier raide, nous cheminons sur un terrain plat jusqu'au phare puis nous traversons l'ancien fort, longeons la Marina pour arriver à 3 pointes.

La rando terminée nous partons vers Vieux Habitants pour un déjeuner sympath dans un routard face à la mer.

L'après-midi a été consacré à la visite de VANIBEL, plantation de café, cacao et vanhille ou nous avons eu des explications complètes sur ces cultures.

Dénivelé 100m, 5 km temps : 2H30

C'était la dernière rando du séjour, demain nous visiterons les jardins de Valombreuse
avant de se consacrer aux préparatifs du départ.

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COUCOU,

Nouvelles des guadeloupéens jour 1

Aujourd'hui nous avons démarré la rando 6H45 du matin avec les randonneurs de l'association des randonneurs de CAPESTERRE BELLE EAU.
Un bel objectif de rando autour de la 2ème chute et de la 3eme chute du Carbet dans la forêt tropicale humide avec des randonneurs chevronés habitués aux dénivelés et a marcher entre les racines des arbres, les lianes et les plantes tropicales. Nous avons eu des échanges très sympathiques et très instructifs sur la forêt et sur la cuisine locale.
La fin de la rando s'est terminée autour de boissons rafraîchissantes et de sandwichs préparés par l'asso. Des gens vraiment trés sympathiques avec qui nous randonnerons a nouveau dimanche prochain. C'etait génial, trés belle rencontre et trés belle randonnée que nous n'aurions pas pu faire sans leur concours.

A savoir les animateurs ne peuvent préparer leur rando que 3 jours avant du fait de la rapide croissance de la végétation.

Dénivelé de 400 m pour une rando de 9, 5 km qui équivaut à "une piste noire". Temps de rando 5H pause comprise avec bain tout habillé, chaussures et chaussettes, dans le bassin Paradise (pour eviter les glissades)

Suite au prochain numéro. Photos suivent

A bientôt

Francine et la bande

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La boucle de la grande découverte

Dans les hauteurs de Saint-Claude, au Matouba, cette balade traverse la forêt humide. C'était dimanche et nous l'avons faite avec les randonneurs de Capesterre, et heureusement car je ne pense pas que nous l'aurions faites seuls.

La montée est permanente, ce qui en soit n'est pas difficile, mais sur un chemin de glaise qui rend la piste glissante par endroit et là il est impératif de regarder où l'on met les pieds. Nous l'avons faite sous la pluie de surcroit et à un certain moment nous sommes passés dans les zones maraicageuses où l'on s'enfonçait jusqu'au dessous du genou en ayant toutefois l'occasion de se nettoyer les chaussures et les chaussettes en passant dans les ruisseaux d'eau courante tiède.

Si en métropole il est déconseillé de randonner sous la pluie en montagne, ici comme elle nous surprend de façon imprévisible, ce n'est pas un critère retenu.

La descente s'est faite sans encombre. Dans une ambiance très conviviale, nous avons dégusté le sandwich dominical. Nous nous souviendrons longtemps de l'accueil chaleureux du Club de CAPESTERRE BELLE EAU.

La suite au prochain numéro