Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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17 randonneurs au départ depuis la place de la 4eme république, devant l'église à Oignies.
Claude notre animateur, nous emmène pour un parcours de 12 km , par les chemins sur les terrils autour de la ville, et vous le connaissez, il ne manque pas d’anecdotes !.
Après une belle grimpette nous arrivons au sommet du terril du « 10 ». Martine, à l'occasion d'une pause tente de nous expliquer le maniement de la boussole et de l’azimut.
Malgré un vent fort, nous découvrons un site exceptionnel.
Au passage, nous visitons les installations d'un ancien puits de mine le « 9 /9bis » avec ses chevalets et bâtiments restés intacts .
Pour certain d'entre nous, des souvenirs de leurs parents reviennent et nous pensons beaucoup à tous ces mineurs qui ont travaillé durement durant de nombreuses années.
Martine et Yves nous quittent à mi parcours pour rejoindre leur famille, Anniversaire de la maman d'Yves.
Nous continuons notre chemin pour passer devant le château Decler, où Claude nous conte son histoire brillamment.
Nous rejoignons ensuite les voitures pour se rendre à Seclin chez Chantal et Claude qui nous offrent l'apéritif et la possibilité de se restaurer a l’abri.
Vers 14 h 30 nous reprenons les voitures pour Oignies (visite du musée du chemin de fer et de la mine ). Un guide nous fait découvrir un matériel exceptionnel et le travail de ces bénévoles passionnés.
Vers 18 h 15 nous remercions vivement Chantal et Claude pour cette journée bien remplie, pour leur gentillesse et leur générosité .
Merci Chantal !
Merci Claude !

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Pour cette deuxième randonnée des Labigeois, Les Arcosiens ont formé deux groupes :
- le premier est parti à 8 h sur le parcours des 22 km.
- l’autre bien après 9 h sur les parcours de 8 et de 15 km.

Les courageux matinaux, se sont lancés dans le sillage de Guy à vive allure. Ils ont pu quand même admirer les magnifiques paysages sous ce beau soleil printanier. Une erreur de fléchage les a conduits sur 3 contrôles au lieu de 2 (+2 km), puis grâce à une erreur d’estimation, ils ont marché 2 km de Plus. C’est donc après 26 km que nous les avons vus revenir contents d’être arrivés mais bien fatigués. Ils ont failli perdre Guy qui en retard à cause de crampes a pris un raccourci. Mais ne le voyant pas arrivé derrière eux, ces compagnons ont rebroussé chemin ! Enfin retrouvé notre « gaillard d’avant » a du composé avec ses crampes. Bravo à ces 13 marcheurs et surtout au plus jeune, Baptiste, qui clamait au retour : « Vite ! une chaise ! »

Tranquillement les autres membres ont gravit les 3 monts, émerveillés sur les hauteurs de découvrir le Détroit si éclairé, et ses falaises anglaises si proches que l’on avait l’impression de pouvoir les toucher. Alternativement ils ont pu admirer au sud Ouest le Cap gris Nez et le boulonnais, et au Nord Est le Cap Blanc Nez et le Calaisis. Pour eux, un balisage parfait, deux points de ravitaillement bien conviviaux, des rencontres et des bavardages avec quelques connaissances, et le même raccourci que Guy pour 4 d’entre eux.

Au retour, joie de retrouver nos amis de Wizernes et de se restaurer tous ensemble. Une excellente journée !

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14 randonneurs au départ de l'église de BEUGIN pour un parcours de 17 km sur le sentier des prêles de Bajus. Christophe et son Smartphone nous informe que les prêles sont des plantes envahissantes poussant dans les prairies.
Par une température assez froide, sans soleil, mais sans pluie, Albert pour nous réchauffer, nous mène sur une ancienne voie ferrée transformée, en un chemin bien agréable, très verdoyant, boisé, facile à marcher.
Vers 12h30 nous arrivons dans un endroit abrité du vent et sortons notre repas du sac .Nous repartons sous la pluie, Albert décide d'écourter notre parcours d'environ 1 km .
Retour au parking avec une visite de la jolie petite église St Rémy de Beugin.
Nous reprenons les voitures pour retrouver Brigitte Caudoux au musée de la mine à Bruay la buissière.
Nous sommes accueillis par Antoine, ancien mineur, guide bénévole bien sympathique. Visite instructive de 2 h 30 commentée par Antoine avec quelques anecdotes vécues durant sa carrière.
La visite se termine vers 17h30, avec un groupe ravit de cette journée .Belle rando belle visite. Merci Albert !

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Christian et Francine nous ont fait découvrir la « Colline aux Faucons ». 26 participants pour cette matinée ensoleillée. Au sommet de la première grimpette, un violon géant (statue devant résonner au vent) nous accueille, érigé en l’honneur de Pierre Alexandre Monsigny, musicien natif de la commune.
Une pause forcée permet à Christian à Anne-Françoise de s’éclipser … Mais pourquoi donc ?
Nous essayons de les retrouver et découvrons alors un sous-bois parsemé d’œufs de Pâques ! La cueillette est rapide ! Certains ne savent plus où les mettre, tandis que d’autres sont bredouilles ! Heureusement la récolte, mise en commun est repartagée.
Peu après, Lucile s’aperçoit qu’elle a oublié son bâton. Notre chevalier servant, Albert s’élance à sa recherche, le retrouve et … se perd dans la forêt d’éoliennes qui jalonnent la colline. Enfin le preux chevalier retrouvé, le petit groupe détaché rejoint le « gros » de la troupe devant l’Eglise de Fauquembergues où nous retrouvons José et Martine pour un délicieux apéritif. Bien sûr Christian qui avait tout préparé se fait gronder par sa tendre épouse car il oublié de mettre la nappe !
Et en route pour le repas chez P’tit Louis ! Chaleureuse ambiance ponctuées de rires et de blagues. Quelques douceurs préparées encore par Francine avant de découvrir l’Eglise très particulière de Merck Saint Liévin.
Liévin, pèlerin écossais venu en 630, s'établit dans ce site pour prêcher l'évangile. Son oratoire devint un lieu de pèlerinage. Saint Liévin était le patron des marins pêcheurs, et ces derniers venaient nombreux du Boulonnais, faisant une partie du voyage à pied et apportant les ex-voto que l'on trouve dans l'église.

L’après-midi 21 marcheurs s’élancent alors sur le chemin des écoliers par une forte grimpette (encore !) sous un ciel plombé où l’orage gronde. Christian est troublé : La carte ne correspond pas du tout au terrain. Perplexe, il s’interroge, quand Geneviève lui demande d’essayer en retournant la carte. Et ça marche ! Ouf ce n’était que cela ! Nous retrouvons bientôt les berges de l’Aa, célèbre fleuve côtier bien connu des cruciverbistes, avec ses ruines de moulin, ses pêcheurs, son eau claire et rapide. Après la découverte de quelques aras (perroquets bien connus des cruciverbistes), voici notre point de départ, deux heures de marche sans une goutte de pluie !
Quelle belle journée ! Merci Francine et Christian et à Dimanche pour de nouvelles aventures.