Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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Rendez-vous ce dimanche à proximité de l’église de Tingry, petit village de 294 âmes.
21 randonneurs aguerris sont sur le pied de guerre !
Cette randonnée est guidée par Pierre en remplacement de Patricia, souffrante. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement.
Météo propice à la marche malgré des températures négatives le matin.
Nous traversons le village de Tingry et passé l’église, c’est un sentier de terre entre lisière de bois et champs : « les Côtes de Noël », le terrain est un peu raviné et glissant, prudence !
Avec précaution, nous traversons la D901 que nous longeons sur 300 mètres tout en montée à l’abri de la rambarde de sécurité.
Nous empruntons un tronçon du GR 121, suivi du GR 127A sur le « Chemin Rouge » vers le Mont Corbeau. Nous arrivons au point culminant du parcours à 172 mètres d’altitude.
Nous entamons la descente de la « Blanche Jument ». Le choix de passer par la route, après reconnaissance par Pierre dans la semaine, a été préconisé en raison de la dangerosité du sentier initial dû aux intempéries des derniers jours : tempêtes et inondations.
La « blanque jument » (en argot boulonnais), dit-on, apparaissait à la tombée du jour ou au milieu de la nuit pour tromper les enfants et les hommes. Elle tentait ces derniers pour la monter, et son dos pouvait s'allonger pour accueillir, en général, jusqu'à sept cavaliers. Dès qu'ils étaient bien installés sur son dos, elle les entraînait dans des pièges ou les jetait à l'eau. 
Nous réintégrons le sentier initial qui nous mène jusqu’à Wierre-au-Bois, en passant par de jolis chemins à travers bocages et champs.
Notre pique-nique est prévu au bistrot Saint-Gendulphe qui nous accueille chaleureusement.
Le culte de Saint-Gendulphe était autrefois très répandu dans le boulonnais. A Wierre-au-Bois dans le bas du côteau sur lequel l’église est édifiée, se situe une fontaine sous le vocable de ce saint, on y venait autrefois en pèlerinage le lundi de pentecôte.
Saint Gengoult ou Gendulphe est le protecteur des maris trompés et aussi celui des marins malchanceux. Il est aussi invoqué pour les enfants ayant des problèmes de locomotion et les femmes stériles.
Une partie du groupe a choisi d’en rester là et nous repartons avec le restant des troupes pour conclure la boucle … sur 5,5 km.
Nous quittons le village par un sentier boueux et par endroit inondé. Traversée agréable de Samer et direction l’Etoquoy, puis Tingry pour regagner notre point de départ.
Merci à tous les participant(e)s

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking de la mairie pour cette balade hivernale.
Nous sommes 33 au départ. Les températures proches de zéro, mais un soleil radieux propice à la randonnée.
La rue des Grares nous fait sortir du village, vite relayée par un sentier de terre qui nous mène à une ferme à Herlen, hameau de Wissant situé au pied du mont de Couple, près de la source d’où part un ruisseau qui descend jusque Wissant où il faisait tourner autrefois un moulin. 
Nous continuons par le « chemin de l’Herlen » dont nous franchissons le ruisseau ainsi dénommé.
Arrivé aux abords de Wissant près du cimetière, un autre chemin en montée qui traverse le « Fond Notre Dame » nous amène aux alentour du mont de Couple.
Nous nous épargnerons la montée pour cette fois-ci car elle n’est pas prévue sur le parcours, ouf !
Une petite route de campagne nous ramène au village. Passage devant l’église et son monument aux morts puis de la mairie-école.
L'église Saint-Martin d'Audembert a été rebâtie en pierre de Marquise sur un solin de grès, à l'emplacement de l'ancienne église, à la fin du XIXe siècle, dans le goût néogothique de l'époque.
Rendez-vous dimanche à Tingry en pays Boulonnais.
Merci à tous les participants.


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Randonnée sous le signe de vent
Départ depuis le parking Hubert Latham à Sangatte pour suivre sous un vent de face et assez violent le GR120 nous passons par le mont Hubert, nous descendons ensuite les pâtures à moutons pour arriver à haute Escalles. Au parking une pause s’impose.En continuant notre chemin nous traversons le village d’Escalles pour rejoindre le cran.Le retour s’effectuant par le rivage très mouvementé par les conditions météorologiques, au pied de l’escalier permettant de descendre sur la plage un important et imposant éboulement de la falaise venait de se produire nous avons peut -être échappé à quelques ennuis désagréables. Nous continuons notre chemin avec cette fois ci un fort vent de dos ,après quelques passages délicats nous sommes stoppés par un ruisseau large au rapide courant, encombré de rochers, et de trous assez profonds ,beaucoup de difficultés pour passer mais rien n’arrêtent les randonneurs de l’Arco ,nous avions de l’eau pratiquement jusqu’au genoux ,quelques chutes importantes sans gravité, mais bien humide pour certains Guy ,Jack, Catherine en sortirent bien trempés .un peu plus loin jean pierre s’est rejoint à nous pour terminer la rando .Tous les amis se souviendront sûrement de cette mémorable aventure qui s’est terminée sans dommage corporel , sauf la perte d’un portable qui n’a pas apprécié l’eau salé , et surtout Catherine qui voulait apprendre à nager dissuadé et rescapé par Yves et Dominique Nous avons admiré voir la mer danser ,ses golfes clairs,et ses reflets d’ argents
A l’arrivée un copieux apéro offert par Dominique et Pierre à l’occasion de l’anniversaire de Dominique nous a été servi c’était parfait ,Merci à eux pour leurs générosités le tout se terminant dans une joyeuse ambiance habituelle
Merci à tous

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Nous sommes 17 randonneur(ses) , une reprise de la marche douce de 8kms sous des cieux maussades.
Nous sommes partis de la fontaine au centre de peuplingues et nous nous dirigeons vers le point de la Belle Vue.

Qui n'a eu que le nom, "La Belle Vue" déjà le vent nous chassait !!!!!!

Nous cheminons entre les champs , la pluie et le ciel maussade nous balayaient.

Nous rejoignons le centre de PEUPLINGUES avec tous nos courageux randonneurs.
MERCI à tous ....

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La trêve des confiseurs passée, nous rechaussons nos godillots pour entamer cette nouvelle année.
Nous sommes 32 randonneurs super motivés sur le parking de la Mairie.
La météo était annoncée maussade et venteuse mais c’est du beau temps avec des températures douces et même le soleil était au rendez-vous.
Cap au nord en direction du quartier dit de « La Vacherie », on se demande pourquoi !
Belle montée avant d’atteindre le Bois du Parc que nous traversons par d’agréables petits sentiers tapissés de feuilles mortes et... un peu de boue !
Une notification « Chasse en cours », nous engage à la plus grande prudence et une fois n’est pas coutume nous conseillons de marcher groupé et surtout de manifester notre présence, ce qui n’a pas posé de problèmes grâce aux bavardages haut et fort de nos randonneuses !
A la sortie, c’est un chemin avec, de part et d’autres, des champs et pâtures aux noms tant soit peu bizarres tels que « Le Baleau », « Les Terres Aragées », « La Queue de Louches ».
Nous longeons la ligne TGV, puis nous cheminons dans la vallée des Neudins qui nous mène sur le GR128 qui surplombe la plaine de la Chapelle Saint-Louis. Celle-ci, une ruine datant du XVème siècle, fut construite par Antoine de Bourgogne. Elle est dédiée, dit-on au roi Saint-Louis ou peut-être à la Vierge Marie, on ne sait au juste !
Nous laissons l’orée du bois de Crezecque et nous entamons la descente par un sentier un peu raviné et glissant qui nous conduit jusqu’à Guémy.
Nous empruntons la D225 sur quelques centaines mètres, puis un sentier au « Moulin Ninette » jusqu’à de nouveau le GR qui nous ramène à Tournehem, rejoints par Jean-Pierre qui termine la rando avec nous.
Journée particulière que cette première randonnée de l’année, car tradition oblige, c’est l’occasion de nous retrouver pour déguster la galette des rois.
Nous prenons notre pique-nique au café de la Mairie.
Une belle tablée de 35 personnes !
Comme d’habitude notre hôtesse, Nicole, nous accueille avec gentillesse et bonne humeur dans son chaleureux estaminet, bondé pour l’occasion !
Puis, avec un verre de cidre, nous savourons notre délicieuse part des galettes confectionnées par Nadine Mascot, qu’elle en soit cordialement remerciée.
Belle entame de 2023 avec ce moment convivial.
Merci à tous les participant(e)s
Bonne et heureuse année à toutes et à tous…

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Bouquehault « Viens dans Mongardin ».
Nous sommes 25 au départ de la mairie de Bouquehault.
Halloween oblige, quelques enfants déguisés avec leur maman sont également sur place. Beaucoup de monde donc, à tel point que les enfants nous ont pris pour des parents déguisés en « Vieux », ce qui nous a mis un coup au moral !!!
Nom d'origine néerlandaise, Bouquehault est composé de boek/beuk ("hêtre") et holt/hout ("bois"), soit « bois de hêtres ».
Quel titre bizarre que celui donné à cette randonnée : « Viens dans Mongardin » !
Inutile de se casser la tête, il s’agit simplement du patronyme de « Philippe de Montgardin, nom du sentier emprunté ce jour !
Philippe de Montgardin, peu d’information sur le personnage ! Après quelques recherches : c’était un baron au 12ème siècle, et il gravitait autour d’Arnault, seigneur d’Ardres et fils de Baudouin II, comte de Guînes, lui racontant des récits épiques sur les croisés et la conquête de Jérusalem. (Source de la Société Historique des Antiquaires de La Morinie en 1852).
Nous partons pour une balade autour du village sur des sentiers parsemés de flaques d’eau, suite aux précipitations subies depuis quelques semaines, parfois un peu boueux et même glissants en particulier à mi-parcours lors d’une descente.
Passage devant le moulin de Bouquehault : Il ne reste qu’une tour de pierres ! Construit avant la révolution, il fut déclaré bien national, puis vendu à une famille du village. Reconstruit en 1875, il cessa de fonctionner en 1943. Frappé par la foudre, il fut laissé en l’état et son mécanisme vendu pour servir à la restauration d’un autre moulin.
Pas de vent et température idéale, malgré quelques gouttes, de quoi avoir envie de revenir contempler ces jolis panoramas.
Merci à tous les participants.

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Ce dimanche "magret" un froid de canard nous étions 32 ,chaudement vêtus, à nous élancer dans la campagne givrée de Bazinghen.
Afin de faire monter la température corporelle au plus vite, d'emblée, une allure rapide fut adoptée et le sol gelé favorisa notre joyeuse progression avec nos bonnets et autres costumes de Père et Mère Noel. A noter que d'année en année les costumes s'améliorent. Certains étaient illuminés et mieux que des Pères et Mères Noël !
Une photo prise devant la cabane du Père Noël en traversant le centre équestre et le camping de Bertinghen en atteste.
La pause à mi-chemin (pas trop longue et à l'abri étant donné le froid ambiant) nous a permis de reprendre notre souffle en savourant une petite collation pour certains et une boisson chaude pour d'autres.
A l'arrivée, notre troupe fut rejointe par 4 Arcosiens supplémentaires venus fêter Noël et le partage traditionnel des cadeaux assuré, pour la joie de tous, par notre Mère Noël de service.
Cette activité s'est ponctuée également par "un pot de l'amitié" à l'extérieur, suivi d'un repas bien mérité à l'estaminet du coin bien au chaud.
Et c'est ainsi que cette dernière rando de l'année 2022 s'est terminée :

- DANS LA BONNE HUMEUR, UN MOMENT DE BONHEUR !

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Aprés un échauffement de quelques minutes (température extérieure -1°).....

Nous voilà partis, nous sommes 24 randonneurs (ses), pour une randonnée bienfaitrice.
Notre cheminement commence de la mairie de Saint Tricat, elle est de 8 km.

Nous quittons le parking, nous longeons la chaussée principale pour rejoindre la campagne bien fraîche.

Après la traversée de la RD304 qui est toujours impréssionnante avec la circulation rapide.
Nous passons sur le pont qui enjambe les lignes de chemin de fer. Nous continuons le long de la ligne du TER GV vers Boulogne sur mer.
Nous rencontrons une jeune anesse avec ses propriétaires. Pas effarouchée du tout de voir le groupe de randonneurs autour d'elle. Elle était satisfaite d'être parmi tout ce monde, contemplée.

Dans la campagne nous poursuivons notre chemin quelque peu verglacé, par un chemin différent .........
Merci à tous et à toutes.
SYLVIANE

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking derrière Auchan, chemin de la Française.
Nous sommes 29 à nous lancer pour une randonnée aux abords des communes de Calais, Coquelles et Blériot.
Nous quittons le parking et cheminons sur la digue Royale jusqu’au lieu-dit « La Cage à Rats ».
La digue royale a été réalisée en 1749. En 1905, la Compagnie du chemin de fer « Calais-Sangatte » avait crée une voie ferrée sur l’ensemble de la digue pour apporter du charbon et sortir la production de chaux de l’usine « cimenterie ». Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands se serviront de ces tronçons de voie pour acheminer les matériaux nécessaire à la construction de la batterie Lideman.
Un chemin à travers champs, nous emmène jusqu’à la D940 que nous traversons.
Le passage sur un terrain herbeux et humide, nous permet de rejoindre les GR communs 120 et 145 qui cheminent à travers les argousiers et muriers au pied de l’imposant cordon dunaire.
Après le village vacances, nous quittons les GR et empruntons de plaisants sentiers, bordés de fossés et de haies, aménagés à l’arrière des belles résidences au sud de Blériot.
Après la traversée d’une jolie prairie entourée d’arbres, un passage, matérialisé par un petit escalier, nous mène sur la digue Mouron pour un retour à notre lieu de départ.
Le nom de cette digue évoque le nom de M. Antoine Mouron-Audibert, agronome distingué, qui obtint, suivant l’arrêt du Conseil du Roi en date du 7 avril 1767, l’autorisation d’assécher les terrains achetés entre les dunes de Fort-Mahon au nord, la digue Camin à l’Ouest, la digue Royale au sud et les dunes des Baraques à l’est. Mouron fit construire cette digue qui portera son nom entre le Fort Nieulay et les Baraques pour contenir les eaux de l’arrière port.
Agréable balade, malgré un ciel couvert au départ et lumineux ensuite, sur l’emplacement d’anciennes salines, lieu humide propice à l’observation de sa faune et flore au fil des saisons.
Merci à tous les participants.

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Pour une fois, nous randonnons un samedi, et c’est 49 participants qui ont pris le car à Calais à 10 h 30.
Jean-Luc, notre chauffeur nous conduit tranquillement et très agréablement à Amiens.
Là après quelques hésitations quant au lieu du stationnement, nous pique-niquons dans le gymnase Fournier avant de s’élancer sur les parcours proposés : 8 ou 12 km.
Très bien balisés, ces parcours nous font découvrir les principaux monuments de la ville et notamment, la maison de Jules Verne et la magnifique cathédrale qui regorge de trésors historiques, religieux et artistiques que, malheureusement nous n’avons pas le temps de tout découvrir. Il faudra revenir !
Bientôt nous cheminons en deux groupes différents selon le parcours choisi.
Voici enfin le ravitaillement dans un square où 3 stands nous accueillent : pâtisserie et pâte de fruit, vin chaud, et chocolat généreusement offerts !
Ragaillardis, nous partons pour un bain de foule dans le marché de Noël ! très coloré, très varié , il y en a pour tous les goûts !
Vers 19 h, une autre foule nous attend sur le parvis de la cathédrale où nous assistons à un superbe ballet coloré de lumières dansantes qui animent avec bonheur la façade de ce grandiose édifice.
Après ce grand moment une dernière gaufre pour les plus gourmands et retour au car. Tous étaient à l’heure et c’est avec 5 minutes d’avance que Jean-Luc nous ramène à Calais. C’est alors que les conversations deviennent plus rares et que les paupières se font plus lourdes …
Une bien agréable journée dans les premiers frimas de l’hiver.

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12° au départ avec un soleil radieux pour un mois de novembre, des chemins gras et trempés, ornés de toiles d'araignées.
Nous passons devant le château de Draëck où Marie-Cécile-Charlotte de LAUREATANT est née le 17 août 1747.
Passionnée par la chasse.
Elle commença au couvent des Ursulines à Saint-Omer, par bastonner les rats, puis, après s'être mariée avec le baron de DRAËCK.
Elle se met à chasser les loups qui envahissent la région.
Elle en tua 800 durant sa vie et décéda à l'âge de 75 ans.
Au retour Philippe offrit un morceau de quatre-quarts et un jus de fruit pour son anniversaire.
Merci à tout les participants.

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La fraîcheur matinale avoisinant les 7°, ainsi que l’humidité ambiante puisque le dieu de la pluie appelé « Chac, ou Tlaloc ou Cocijo etc... » s'est invité tout au long de notre parcours nous poussent à nous mettre en route sans tarder grâce à un échauffement minimaliste effectué au préalable.
Repérons-nous ; le Mont Dauphin se situe à cheval sur le Boulonnais, le Calaisis et l’Audomarois. Le sentier serpente entre champs, pâturages, lisières de forêts tout en nous faisant traverser la cuvette de Licques et côtoyer les crêtes de la Cuesta du Boulonnais (pente calcaire en falaise sur le Boulonnais et de ses terrains jurassiques).
Partant d’Herbinghen nous nous dirigeons vers le Rot Vert, la vallée d'Herbinghen, les Sarts, le jeu de Paume. Nous empruntons le GRP du Tour du Boulonnais vers le Morlingeant, poursuivons sur le PR pour gagner Bainghen. De là, nous continuons en passant par les Hayettes, les Blanches pièces pour rejoindre notre point de départ.
Parlons culture
Herbinghen, issu du nom germanique Helbold, plus ing ou heim, signifie « demeure du peuple de Helbold ,et, se traduit par l’enclos du fils d’Herb. C'est un petit village français situé dans le département du Pas-de-Calais. La commune fait partie du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale. Ses habitants sont appelés les Herbinghinois et Herbinghinoises. L'occupation des sols de la commune est marquée par l'importance des territoires agricoles.
L’église St Riquier a été reconstruite dans les années 1859­/1860 en remplacement d'une église plus petite du XVIème siècle qui tombait en ruine et qui fut desservie par les moines de l'abbaye de Licques jusqu'en 1790. On doit son style ogival (XIIIème siècle) à Monsieur Leroy, architecte à Lille. L'ensemble du mobilier est digne d'intérêt, de style néogothique, les autels et le confessionnal sont l'œuvre d'un menuisier domicilié à le Wast, Monsieur Courquin. Dans le chœur, les vitraux de 1897 représentent Sainte Claire d'Assises, la mort de saint Tarcisius, la descente de la croix, le miracle de l'âne de saint Antoine de Padoue et saint Jean l'évangéliste.

L’oratoire de Notre-Dame-De-Boulogne .Les pères de l’oratoire étaient des propriétaires fonciers à Bainghen. La construction de cet édifice a été réalisée après le passage (le grand retour) de la statue de la vierge qui revenait à Boulogne après avoir parcouru la France à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, et, parce que Bainghen n’avait connu aucune victime durant la 2nde guerre mondiale
Rendez-vous mardi 29 novembre à Zutkerque place de la mairie.
Je remercie les courageux participants qui ont fait fi des conditions météorologiques, privilégiant la convivialité sans démériter J'espère vous retrouvez sur d’autres chemins.

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking attenant au Channel, scène nationale, boulevard Gambetta.
32 marcheurs sont au rendez-vous pour cet après-midi automnal.
De l’arrière du parking, nous empruntons « le chemin des écoliers » voie cyclo-piétonne tout nouvellement réaménagée, utilisée depuis des décennies par les collégiens, lycéens etc.
Deux passerelles au design moderne, fabriquées avec des matériaux nobles, permettent de franchir l’ancien canal des Pierrettes et la rivière Neuve pour rejoindre l’avenue de Verdun. Réalisation cofinancée par la Ville, l’Agglo et l’Etat qui a coûté 2 500 000 €.
Nous continuons par le quartier du Fort-Nieulay et rejoignons un chemin herbeux surélevé longeant le canal aux Crabes. Nous suivant la lisière d’un champ qui aboutit sur la Digue Royale que nous empruntons.
Une petite boucle par la Digue Mouron nous conduit au Fort Nieulay que contournons par les Douves qui a certains endroits sont inondées retrouvant un peu de leurs fonctions initiales.
Retour par les Terres Saint-Roch, plan d’eau agréablement aménagé, paradis des pêcheurs, sur l’emplacement d’une ancienne gravière appelée « la flaque Carpentier » du nom de son ancien propriétaire.
Traversée d’un petit bosquet, puis le Chemin Vert qui amène au rond-point de Jardiland. Et pour finir, c’est par les berges de la Rivière Neuve que nous nous en retournons à notre point de départ.
La pluie nous a dans l’ensemble épargnés, si ce n’est une petite averse à mi-parcours.
Rendez-vous ce dimanche à Herbinghen et mardi à Zutkerque.
Merci à tous les participants.

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Nous étions 18 randonneurs au départ du Portel pour une balade citadine mais aussi sur des lieux de mémoire qui témoigne de l’empreinte laisser par Napoléon et la seconde guerre Mondiale sur nos côtes. Un grand merci aux participants car il fallait du courage pour affronter le vent violent et la pluie. Mais en récompense apres la randonnée nous avons décidé de nous rendre à la fête du poisson Roi de nos côtes le Hareng à Calais pour se baigner dans l’ambiance d’une fête maritime.
Tout d’abord nous traversons le parc de la falaise qui est ouvert au public depuis 30 ans. Nous avons une vue sur le Le hub port de Boulogne-sur-Mer est un terminal portuaire, destiné au transport de passagers entre la France et le Royaume Uni appartenant au port de Boulogne sur mer et situé sur la commune du Portel. Il est construit depuis 2009 pour remplacer de la gare maritime de Boulogne
le hub port est alors utilisé pour les liaisons vers le port anglais de Douvres Plusieurs allers-retours sont proposés par la compagnie LD Lines. Il s'agit de la seule compagnie encore active sur Boulogne depuis le départ de la compagnie Speed Ferries en 2008.Il devait permettre de développer des autoroutes de la mer de la France vers l’Espagne et l’Angleterre.
Fin août 2010, le Norman Bridge est transféré sur la ligne entre Nantes et le port espagnol de Gijon. Quelques jours plus tard, le 5 septembre 2010, le Norman Trader se retire également, signant ainsi le départ de la compagnie LD Lines du port de Boulogne et la fin des liaisons transmanche au terminal hub port et à Boulogne-sur-Mer en général.
Le rapport entre la faible durée d'exploitation du hub port et l'important coût de sa construction 45 millions d’euros fait polémique parmi la population boulonnaise. Le sujet revient régulièrement dans les débats politiques locaux,
Nous traversons le portel pour se rendre vers le parc du Soleil situe à Outreau .
Lors de la traversée de ce parc, J’ai pensé qu'il était utile et indispensable de se souvenir de ce que fut le Parc du Mont Soleil avant de devenir ce merveilleux parc d'attraction et de nature.
Notre colline d’Outreau dominant la mer et le Portel avait déjà été exploitée sous Napoléon, elle était gardée par les troupes du camp de gauche ; durant la seconde guerre mondiale sous l’occupation de notre ville les Allemands de 1940 à 1944 trouvèrent là un endroit idéal de défense juste en face de l’Angleterre. Ils utilisèrent les anciennes forteresses sur une partie plus importante et la construction de blockhaus et y établirent une batterie lourde de Flak (défense contre avions) La ville du Portel fut détruite a 90 pour cent lors des bombardements
Aujourd'hui le Mont-Soleil est une colline verdoyante. Oui le chant des oiseaux, le bruit du feuillage, les cris de joies des enfants et des adultes, la vue merveilleuse qu'apporte son sommet tout cela a remplacé le vacarme des canons, le brouhaha des avions...
Nous arrivons a une piste cyclable ,l’animateur décida de raccourcir son parcours sur le chemin le chemin côtier qui risque d’être dangereux vue les conditions météorologiques .
Apres cette piste cyclable nous arrivons sur le chemin côtier avec une superbe vue sur la mer déchainée Petite MOntee puis nous arrivons sur le site D alprech
Notre balade nous permet de faire le tour du fort d’Alprech, jetez également un coup d’œil au phare d Alprech à terre qui domine toute cette partie du littoral. Construit en 1962, il fait partie des six phares du Pas-de-Calais. Cependant, il est le seul à posséder un escalier extérieur en colimaçon. Autre singularité, c’est le plus élevé (62,35 mètres au-dessus de la mer) non par sa taille, seulement 17 m, mais par sa position en haut des falaises du cap. Son feu scintillant blanc, au rythme de 3 éclats groupés en 15 s porte quant à lui à 26 milles (48 km) en mer.
Nous empruntons le chemin côtier vers la plage du Portel pour une vue sur l’épi et le fort d Alprech . Occasion de relater l’histoire de cette plage

Lors de notre arrivée sur la plage du Portel une avancée en pierre se dessine sur le sable ce monument est l’épi

La pêche a été de tout temps la principale activité économique. En 1850, 35 à 40 bateaux de pêche sortaient de la gare de Le Portel. Pour protéger cette flottille, on construisit un brise-lames appelé aujourd’hui « épi » à l’ouest de la plage. La première pierre fut posée le 28 août 1867. Les travaux durèrent un peu plus de trois ans et furent entièrement terminés en novembre 1870 pour un coût de 103 000 francs d’or. Ainsi protégée, la plage de Le Portel, qui s’ensabla au fil des ans, devint une plage fréquentée par de nombreux estivants


Ensuite nous arrivons devant le fort de l’heurt. Notre animateur nous indique les constructions faite par Napoléon 1 er .

Note côte d’opale comportait 7 forts.

Napoléon décida la construction de 4 forts Fort au bois ou fort de l’expédition. Le fort du musoir ou fort Napoléon. Le fort de L heurt et enfin le fort de la crèche
Avec le fort de la crèche et fort d Ambleteuse. Les Anglais appelait cet ensemble la cote de fer.
Cet ensemble permis à Napoléon de rassembler ses troupes et de défendre les cotes avec un nombre important de navires. Son objectif était de conquérir l’Angleterres.
Le fort au bois a été construit sur pilotis Il est disparu construit en même temps que le fort de l’heurt .Il formait un demi-cercle .
Fort du musoir situe à l’extrémité de la jetée au sud-ouest pas un fort en Mer Il défend l’entrée du Port
Le fort de la crèche ne pas confondre avec le fort de la crèche qui existe actuellement détruit en 1891 par une forte tempête.

Fort de croy en face de Wimereux construit par Napoléon 3 en 1854 A cette époque la France était alliée avec l’Angleterre. Fort construit en vue de la guerre de Crimée contre la Russie

Le fort d Ambleteuse construit par Vauban en 1682. Napoléon en 1798 décide de construire un port a Ambleteuse sur la slack

Le fort d Audresselles à cause des assauts de la mer a disparu rapidement.

En 1803, pour défendre les préparatifs d’un débarquement en Angleterre, Bonaparte ordonna la construction, sur le socle rocheux de l’Heurt, d’un fort dont nous voyons encore les vestiges. sur le promontoire rocheux de l’Heustrière « île aux huîtres » a pour rôle alors de protéger la partie Sud du mouillage de la flotte du camp de Boulogne
Les travaux commencèrent le 24 mai 1803 et furent achevés le 16 juillet 1804. Après l’épopée napoléonienne, le fort fut désarmé sous la Restauration.

. Un fort semblable au fort de l’Heurt fut d’ailleurs construit à la pointe de la Crèche, près de Wimereux. Disparu aujourd’hui, il assurait la position Nord. 
Le fort,de l Heurt qui est devant nous construit sous Napoléon Bonaparte, sur le promontoire rocheux de l’Heustrière « île aux huîtres » a pour rôle alors de protéger la partie Sud du mouillage de la flotte du camp de Boulogne
Les vestiges visibles aujourd’hui, donnent une idée de la construction initiale opérationnelle en 1804. Un imposant bastion long de 50 m, large de 35 m pour une hauteur de 14 m. Il pouvait accueillir alors une garnison d’une cinquantaine D’hommes et un armement de 12 canons et de trois canonnières.

Désarmé sous la restauration, il servira notamment à l’armée allemande lors de la Seconde Guerre mondiale. La dalle de béton coulée pour l’installation d’une batterie de DCA va préserver en partie le fort de l’Heurt .Une ligne de chemin de fer sera construite pour ravitailler un blockhaus construit sur le fort .Lors de la grande tempête de 1998. En partie seulement car un pan entier du fort s’affaisse. Un effondrement qui rend, aujourd’hui, sa physionomie et l’endroit encore plus insolites.
Isolé du Portel à marée haute, il devient à marée basse, un des lieux réputés de la pêche à pied des moules.
Pourquoi Napoléon a-t-il renoncé à envahir l'Angleterre
Le plan mis en place par Napoléon va échouer. Attaqué par les Anglais au large de l'Espagne, le vice-amiral Villeneuve doit réfugier son escadre à Cadix le 18 août 1805, où il reste bloqué plusieurs semaines. Pendant ce temps, l'Autriche et la Russie, alliées de l'Angleterre se font menaçantes à l'est.
Napoléon décide donc de changer son fusil d'épaule et dirige ses troupes vers le Rhin. La "Grande Armée 20 000 hommes" quitte Boulogne le 29 août 1805 pour mener l'une des plus brillantes campagnes militaires de l'Empire qui aura pour point d'orgue la victoire d'Austerlitz le 2 décembre 1805.
Le vice-amiral Villeneuve, de son côté, sera lourdement défait par les Britanniques lors de la bataille de Trafalgar le 21 octobre 1805. Les deux-tiers de la flotte franco-espagnole sera détruite, ce qui rendra impossible tout débarquement en Angleterre.

Sur la digue se trouve un monument qui représente une barque et une une Vierge Marie.
En636, au temps de Dagobert, le peuple de Boulogne était rassemblé dans une chapelle couverte de joncs et de genêts, située dans la partie haute de la ville lorsque la Mère de Dieu apparut et dit aux fidèles de se rendre au rivage où les attendait une visite merveilleuse.

Là les habitants furent témoins de l’accostage d’une barque, poussée par des anges, en laquelle se tenait debout une statue en bois de la Vierge Marie. Cette dernière tenait l’Enfant-Jésus sur son bras gauche et un cœur sur le bras droit. Autour d’elle, émanait un halo de paix et de lumière. Devant l’étonnement de l’attroupement, la voix de la sainte résonna et dit,

« Je suis l’avocate des pécheurs, la source de grâce, la fontaine de piété qui souhaite qu’une lumière divine descende sur vous et sur votre ville. Mes amis, faites, en mon nom, édifier une église. »

Boulogne devint un haut lieu de pèlerinage de nombreux rois |Francais et Anglais sont venus. Les gens de mer sont très attaches a la vierge Marie qu’ils invoquent pour les protéger des dangers de la navigation.

Après toutes ses explications on longe la plage avec tous les restaurants. Petite pause devant le calvaire des marins avec une liste impressionnante de Marins qui ont péris en Mer Démonstration que le métier de Marins et très Dangereux

Dernière petite montée sur le fort du mont de couppe . En haut belle vue sur la plage du Portel et le port de Boulogne sur Mer

Un grand merci à tous les participants. Cette balade nous a permis de se souvenir de l’empreinte laissée par Napoléon et les allemands lors de la seconde guerre mondiale. De découvrir une partie de notre belle côte d’opale avec une mer déchainée. De se rendre compte que le Portel a une forte tradition maritime. Pour terminer cette journee direction la fête du Hareng à Calais sous un chapiteau pour déguster le poisson roi de nos côtes le Hareng mais surtout profiter de l’ambiance des fêtes maritimes.

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Météo défavorable et pourtant 20 participants sont prêts à « se mouiller » !
Un petit tour d’abord au belvédère de l’Église de Tardinghen, pour admirer ce beau paysage qui s’offre à nos yeux entre les deux Caps, sites emblématiques de notre territoire.
Puis nous gagnons la dune du Châtelet, pour longer la dune. Le marais est bien haut et l’eau affleure partout.
Voici la plage et la mer qui monte tranquillement. Les nombreuses plaques de tourbe rappellent le passé de ce trait de côte peu à peu grignoté. On se demande dans combien de temps le cordon dunaire sera englouti par les assauts des vagues, qui envahiront alors tout l’écosystème des marais.
Il est vrai que la ferme du Châtelet est menacée et qu’un plan de déménagement est préparé !
Nous trouvons la brèche dans la dune qui permet de rejoindre le GR 120. Un petit passage par un observatoire un peu décevant car aucune grue cendrée ou autre oiseau ne sont présents. Même pas un petit crocodile.
Toutefois, Sylviane semble avoir repéré des traces de loups !
Nous retrouvons le parking de la motte du Bourg où une petite pause s’impose.
Le retour vers Tardinghen est un peu pénible sur cette longue ligne droite exposée au vent cinglant de pluie. Mais peu importe, nous faisons front et une belle éclaircie nous accueille à l’arrivée offrant une belle couleur émeraude de la mer.
À bientôt dimanche au Portel ou mardi prochain à Calais pour le chemin des écoliers (cartables conseillés et dictée à l’arrivée !)

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Raccroc de l’AG ».
Un matin assez frais pour accueillir devant la maison des Islandais 37 participants, dont Annick, de Marck, qui est la 82ème adhérente de cette nouvelle saison.
Nous partons cette fois vers l’Est pour cette habituelle marche appelée aussi le « bol d’air du Polder ».
La première rue à droite nous permet de rejoindre le chemin dunaire où nous remarquons de nombreux restes de la présence de migrants.
Un petit avion (drone ?) passe et repasse au-dessus de nos têtes et semble contrôler la fréquentation d’éventuels candidats à une traversée clandestine.
Nous sommes maintenant sur l’estran et prenons la direction Ouest. Des coups de fusils ne nous rassurent pas et nous essayons de marcher plus groupés.
Le parcours longe les flaques de hutte, parfois nous devons enjamber, non sans difficulté, des ruisseaux d’eau stagnante.
Nous croisons un drôle d’équipage qui revient du bord de mer : il s’agit de chasseurs qui ont terminé leur partie de chasse et transporte sur un hutte flottante !
Après le parking du phare de Walde, voici la digue Taff et son belvédère. Le soleil commence à nous réchauffer et nous invite à ôter une couche.
Passage le long d’un pré humide pour rejoindre la digue Royale. Il faut alors modifier notre parcours car le chemin prévu est complétement inondé !
Retour donc par la dune boisé, où, cette fois nous devons contourner deux restes de feux de bois encore fumants qui ont dû réchauffer quelques migrants cette nuit.
Voici la maison des Islandais où nous allons pouvoir nous restaurer joyeusement.
Mais non ! impossible d’ouvrir la porte ! Un mystérieuse serrure récalcitrante … heureusement il existe dans nos rangs un intrépide MacGyver, qui nous sauve d’une grande détresse : Bravo Philippe !

Enfin nous pouvons accéder à nos boissons et victuailles et une nouvelle festivité se met en place tout naturellement, avec le plaisir et la joie d’être ensemble.

Nous nous quittons contraints et forcés en se promettant de vivre encore bien souvent de tels moments !

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Ouverture de la séance à 10 h 00.
53 membres sont réunis dans la salle des Islandais des Hemmes-de-Marck. Le quorum est atteint.
Yves, le président, souhaite la bienvenue à tous dans cette Maison des Islandais.
Il remercie chaleureusement tous les volontaires qui ont pris de leur temps pour préparer cet évènement.
Lucien et Sylvie notre chef décoratrice, Pierre et Dominique, Yves, Marie-Jo et Philippe, Marie et Hervé,
Catherine, qui ont préparé cette salle.
Dominique et Pierre pour avoir fait les courses et à Pierre d’avoir préparer un copieux diaporama retraçant une
belle saison d’activités.
Patricia d’avoir supervisé les commandes repas.
La municipalité de Marck qui met gracieusement cette salle à notre disposition, qui nous octroie chaque année
une subvention et qui nous aide dans nos déplacements importants en nous prêtant un minibus.
Et toutes les personnes présentes pour ce rendez-vous qui nous permet de faire le point sur la saison écoulée
riche en évènements, et d’envisager la saison prochaine.
Pierre, le secrétaire remercie Yves, notre président, qui a orchestré la préparation et rendu possible la tenue de
notre AG.

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Rendez-vous à Pitgam sur la Place pour une boucle dans la plaine maritime Flamande.
Le nom de la commune aurait pour origine étymologique "PET" (puits) et GAM (hameau) ; évoquant une demeure ou hameau près d'un puits.
Cette zone a connu une occupation gallo-romaine à l'époque où elle était littorale. Sa population s’élève aujourd’hui à 973 personnes contre 1726 en 1836.
La météo n’est pas optimale et 9 courageux randonneurs en font fi malgré tout et s’élancent tête baissée harnachés de leurs vêtements de pluie.
Bienvenue à Alexandro qui inaugure sa première randonnée (humide) avec l’ARCO qui s’internationalise avec un Belge et un Espagnol dans son effectif du jour !
Dos à la mairie, nous sortons du village et empruntons la RD17. Nous quittons la départementale et le chemin après trois coudes et le passage de la Cool Hof becque, rejoint la RD 110. Nous descendons celle-ci sur plusieurs centaines de mètres et une petite route à gauche, puis un chemin de terre rejoint le moulin Den Leeuw, situé sur un promontoire à la côte 38 m. La vue porte loin vers Eperlecques, Cassel, et Bergues, tout au moins on le devine cat le plafond est bien bas !
Construit en 1776, le moulin fut baptisé « Den Leeuw », le lion, en terre flamande, c’est presque un titre de noblesse. Il devait en développer de la puissance pour actionner ses six meules qu’il abritait !
Restauré en 1982, puis remis en activité en 1988, il est aujourd’hui l’un des derniers spécimens de moulin pivot avec ses ailes de 22 m d’envergure.
Un chemin de terre, puis herbeux, nous ramène à proximité du village, puis la départementale jusqu’à notre point de départ.
Nous récupérons nos voitures et gagnons le village voisin : Brouckerque.
Nous prenons notre pique-nique chez « Francky » au café de la mairie. Malgré nos vêtements de pluie, nous sommes trempés. Bien que réconfortés et un peu réchauffés, la décision est prise à l’unanimité, d’en rester là et de ne pas randonner cet après-midi, d’autant plus que la pluie n’a pas cessé.
Merci aux participants.

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Nous étions 17 courageux randonneurs au départ de cette randonnée. Point de rendez-vous parking de la fontaine direction le mont rôti sur les hauteurs de Peuplingues. Courageux à cause du temps pluvieux et venteux prévu pour cette randonnée. Nous longeons le centre équestre en empruntant un agréable chemin. Petit arrêt afin de prendre en photos des chevaux en pâture. Au bout du chemin nous tournons à droite pour emprunter une route qui longe l’autoroute. Heureusement pas trop longtemps. Il faut maintenant rejoindre le mont rôti afin de pourvoir bénéficier d’un panorama sur Calais et la côte d’opale Montée difficile pour toutes et tous a cause du vent de face et la pluie Ouf nous sommes parvenus en haut de la montée Sur la droite une vue sur le Dover Patrol et le Blanc nez en face la ville de calais et son port Dernière pause dans un endroit aménagé par la ville Peuplingues à l’abri du vent Puis dernière ligne droite vers Peuplingues Un grand merci a tous les participants pour cette randonnée un jour férié avec des mauvaises conditions météorologiques.

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Cette randonnée a été conçue et animée le 28 Juin 2020 par notre chère amie Lyse qui, malheureusement, nous a quittés trop tôt le 20 Septembre 2021.
Nous sommes 25 à 9h devant la mairie de Brêmes les Ardres par une température printanière en ce dernier Dimanche du mois d'Octobre .
Nous nous dirigeons vers le canal d'Ardres, que nous longeons, nous passons par les communes de Balinghem et de Bois en Ardres.
Nous rejoignons alors l'avenue du lac d'Ardres, puis Ardres.
Cité médiévale et authentique, Ardres est l'un des bourgs les plus typiques du Calaisis avec son lac de 64 hectares, ses ruelles pittoresques et son patrimoine architectural.
Nous passons près de l'ancienne gare, puis nous traversons le parc où se trouve le
Bastion Royal.
François 1er conçut tout un réseau de fortifications bastionnées aux frontières du royaume dont Ardres. Le Bastion Royal conserve d'exceptionnelles galeries souterraines du XVIe siècle.
Nous nous dirigeons alors vers la place d'Armes où nous pouvons observer la Chapelle des Carmes.
Érigée en 1679 par l'ordre religieux des Carmes, cette chapelle a vécu mille vies avant d'abriter l'Office de Tourisme Pays d'Opale : lieu de culte, halle de marché, salle de réunion, mairie et aujourd'hui un espace culturel municipal à l'étage.
Nous passons ensuite par la poterne de l'abreuvoir.
Ce terme désigne au Moyen Âge, une porte donnant sur un fossé.
A Ardres, la poterne est une ouverture dans les fortifications du XIème siècle. Elle permettait aux habitants de la colline fortifiée un accès à l'eau de la rivière canalisée.
Nous empruntons ensuite le véloroute qui nous ramène à notre point de départ.
Merci à tous les participants
Merci à nos deux photographes du jour Jeanne-Marie et Dominique P.