Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

Description:

Christian et Francine nous ont fait découvrir la « Colline aux Faucons ». 26 participants pour cette matinée ensoleillée. Au sommet de la première grimpette, un violon géant (statue devant résonner au vent) nous accueille, érigé en l’honneur de Pierre Alexandre Monsigny, musicien natif de la commune.
Une pause forcée permet à Christian à Anne-Françoise de s’éclipser … Mais pourquoi donc ?
Nous essayons de les retrouver et découvrons alors un sous-bois parsemé d’œufs de Pâques ! La cueillette est rapide ! Certains ne savent plus où les mettre, tandis que d’autres sont bredouilles ! Heureusement la récolte, mise en commun est repartagée.
Peu après, Lucile s’aperçoit qu’elle a oublié son bâton. Notre chevalier servant, Albert s’élance à sa recherche, le retrouve et … se perd dans la forêt d’éoliennes qui jalonnent la colline. Enfin le preux chevalier retrouvé, le petit groupe détaché rejoint le « gros » de la troupe devant l’Eglise de Fauquembergues où nous retrouvons José et Martine pour un délicieux apéritif. Bien sûr Christian qui avait tout préparé se fait gronder par sa tendre épouse car il oublié de mettre la nappe !
Et en route pour le repas chez P’tit Louis ! Chaleureuse ambiance ponctuées de rires et de blagues. Quelques douceurs préparées encore par Francine avant de découvrir l’Eglise très particulière de Merck Saint Liévin.
Liévin, pèlerin écossais venu en 630, s'établit dans ce site pour prêcher l'évangile. Son oratoire devint un lieu de pèlerinage. Saint Liévin était le patron des marins pêcheurs, et ces derniers venaient nombreux du Boulonnais, faisant une partie du voyage à pied et apportant les ex-voto que l'on trouve dans l'église.

L’après-midi 21 marcheurs s’élancent alors sur le chemin des écoliers par une forte grimpette (encore !) sous un ciel plombé où l’orage gronde. Christian est troublé : La carte ne correspond pas du tout au terrain. Perplexe, il s’interroge, quand Geneviève lui demande d’essayer en retournant la carte. Et ça marche ! Ouf ce n’était que cela ! Nous retrouvons bientôt les berges de l’Aa, célèbre fleuve côtier bien connu des cruciverbistes, avec ses ruines de moulin, ses pêcheurs, son eau claire et rapide. Après la découverte de quelques aras (perroquets bien connus des cruciverbistes), voici notre point de départ, deux heures de marche sans une goutte de pluie !
Quelle belle journée ! Merci Francine et Christian et à Dimanche pour de nouvelles aventures.