Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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Sous 5° et la pluie comme compagnon tout le long de la randonnée.
Les 11 VALEUREUX randonneurs prennent le départ à partir du café le Cheval Noir.
Nous marchons entre les flaques je devrais dire des ruisseaux tellement les chemins étaient imbibés.
Le sol couvert de feuilles colorées nous faisait un tapis sur lequel il était agréable de fouler.
Nous arrivons au terme de cette rando, trempés et heureux de retrouver nos voitures.
Merci aux participants.

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Étaples-sur-Mer, est une ville chargée d’histoire, marquée par son rôle maritime, ses relations avec les royaumes voisins, et les grands conflits des XIXe et XXe siècles. Voici un aperçu de son histoire :
Origines antiques et médiévales
Le nom d’Étaples provient du latin Stapula, qui signifie “entrepôt”. Dès l’Antiquité, la ville se distingue comme un port de commerce sur la rivière Canche. Grâce à son emplacement stratégique à l’embouchure de la rivière et proche de la mer, Étaples devient un lieu de passage et de négoce important pour les Romains.
Au Moyen Âge, la ville se développe comme un centre de pêche et de commerce maritime. Cependant, elle subit les invasions vikings et les conflits féodaux, fréquents dans cette région du nord de la France.
En 1492, Étaples entre dans l’histoire diplomatique avec la signature du Traité d’Étaples entre le roi de France Charles VIII et Henri VII d’Angleterre. Ce traité garantit une paix temporaire entre les deux royaumes et marque un moment clé de la diplomatie européenne.
Du XVIe au XVIIIe siècle
Pendant les périodes modernes, Étaples reste un village principalement tourné vers la mer, où la pêche constitue l’activité principale. Cependant, la ville connaît également les ravages des conflits franco-anglais et des guerres de succession.
XIXe siècle : la colonie artistique
À la fin du XIXe siècle, Étaples attire des peintres français et étrangers, séduits par la lumière, les paysages côtiers et les scènes de la vie quotidienne des pêcheurs. Ce mouvement est connu sous le nom de colonie artistique d’Étaples.
Des artistes renommés comme Eugène Boudin, Henri Le Sidaner ou des peintres américains et britanniques s’y installent pour capturer la beauté des plages, des dunes et de la vie locale. Cette période marque un âge d’or culturel pour la ville.
Première Guerre mondiale
Durant la Première Guerre mondiale, Étaples devient un centre stratégique pour les Alliés, en particulier les Britanniques. La ville accueille l’un des plus grands camps militaires britanniques en France, connu sous le nom de camp d’Étaples, qui servait de base d’entraînement et de transit pour les troupes avant leur départ vers le front.
Le camp, pouvant accueillir jusqu’à 100 000 soldats, disposait également d’hôpitaux militaires pour soigner les blessés. Cette période a laissé une empreinte durable, notamment à travers le cimetière militaire d’Étaples, le plus grand cimetière militaire du Commonwealth en France, avec plus de 11 000 tombes. En 1917 une violente mutinerie. Etaples vécut pendant plusieurs jours des heures dramatiques ; dans ses rues se déroulèrent des scènes extrêmement violentes
Étaples aujourd’hui
Aujourd’hui, Étaples-sur-Mer est une ville vivante qui met en valeur son patrimoine maritime et naturel. Elle est connue pour :
• Le port d’Étaples, toujours actif et spécialisé dans la pêche artisanale.
• Le musée Maréis, dédié à l’histoire de la pêche et de la vie maritime.
En alliant son riche passé historique et son attrait pour les amoureux de la mer, Étaples reste une ville clé du littoral de la Côte d’Opale
Le hareng fut longtemps le poisson roi par excellence. Il assura une grande partie du rayonnement des ports de pèche de la cote d opale jusqu’au milieu du siècle dernier. Il servit même de monnaie d’échange pour les familles les plus pauvres. , César le fit importer, salé, pour nourrir ses légionnaires. . Le droit de le pêcher fut l’une des causes de la guerre de Cent Ans. Au Moyen Age le hareng a permis d 'éviter des famines
Après la chute de son port de pêche le port d 'Etaples se tourne vers la plaisance ,Dans cette baie se trouve une faune et une flore importante , La baie de canche comporte deux espaces différents La slikke qui correspond à la partie de la vasière qui est recouvert a chaque marée et la schorre une partie plus palatalisée recouvert irrégulièrement par la marée, Cela peut être utile pour les amateurs de mots croisés ,Le chenal abrite un nombre important d'oiseaux et depuis 2000 une colonie de phoques veau-marin ,
Après tous ces rappels historiques nous prenons le départ de notre randonnée , Nous étions 16 courageux randonneurs ,Tout d'abord nous traversons la schorre voir explications ci-dessus ,Petit détour pour observer en haut d 'une dune la baie de canche ,Puis demi-tour pour éviter une zone de chasse ,Retour dans la réserve naturelle ,Petit arrêt dans un observatoire ,Belle surprise la présence d 'une colonie de cigognes ,Nous traversons la route départementale pour rejoindre la Dune Blanche , Petite montée vrs la bute aux signaux ,Très beau point de vue sur la baie de Canche A 300 mètres res de notre point d 'arrivée ,petite surprise notre chemin est recouvert par la marée ,Heureusement un talus nous permet de finir notre randonnée , Petite chute dans l 'eau de Roger , Heureusement nous étions proche de notre arrivée et pas de blessures, Il se souviendra de cette randonnée , Puis au retour nous allons profiter de la fête du Hareng roi dans une ambiance maritime dans les odeurs de Hareng fumés et de musiques maritimes ,Visite d'un chantier naval et une exposition de peintures sur la cote d 'opale sur Wissant Etaples et Montreuil sur Mer et dégustation de Hareng,
Cette randonnée a permis de découvrir la baie de canche et la dune Blanche dans les couleurs de l'automne. Puis de profiter de la fête du Hareng roi dans une ambiance maritime .
Un grand merci a tous les participants
A bientôt sur les chemins

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Au départ du lieu dit le tournepuit nous parcourons le bd Blanchard nom donné en mémoire de Jp Blanchard qui fut le premier avec John Jeffries à traverser la manche en ballon au départ de Douvres . Nous empruntons ensuite le chemin de la justice jusqu au moulin à corneille .ce chemin menait aux gibets de justice seigneuriaux .Le secteur était envahi de corbeaux qui croassaient autour des supplicés .apres une traversée de route nous arrivons sur le taxiway(voie utilisée pendant la seconde guerre mondiale pour.tracter les avions avant leur envol .nous marchons ensuite sur le chemin St Blaise (patron des laboureurs ). Nous terminons notre périple sans avoir reçu une goutte de pluie

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C’est sous un ciel gris et embrumé que nous commençons cette première rando de la nouvelle saison qui réunit 32 participants.
Nous quittons donc la maison des Islandais pour rejoindre le front de mer. Il fait frais et les prévoyants sont équipés de gants (ou de chaussettes aux mains !), ou encore de bonnet.
Après un cheminement sur quelques rues et routes, nous nous retrouvons dur la plage. C’est toujours un spectacle de revoir ce vaste estran assez végétalisé au bout duquel on a peine à apercevoir la mer.
Nous longeons la dune sur le GR 120 vers l’Est. Nous ne sommes pas les seuls à prendre l’air ce matin de novembre. En effet quelques chasseurs sont déjà en place et les coups de fusils accompagnent notre cheminement. Et de paisibles aigrettes garzettes (ou hérons blancs) broutent la végétation quelque peu saline je suppose.
Contournement des mares de huttes et progression dans la dune. Quelques gros navires se dirigent vers Dunkerque. Et nous avons l’impression qu’ils sont posés sur le sable.
Soudain le ciel, pour nous récompenser de notre persévérance, nous éclaire et nous offre un rayon de soleil attendu depuis de nombreux jours !
Le belvédère de la digue Taaf nous permet d’avoir une belle vue à 360°. Des structures du port de Calais aux abords de Gravelines et de Dunkerque.
Le parcours traverse ce polder gorgé d’eau et nous essayons d’imaginé ce que sera celui-ci en 2050 !?
Bientôt voici la rue Robelin, avec son camping et son école avant de retrouver notre point de départ.
Une belle matinée éclairée d’un soleil tant attendu.
La plupart des participants se retrouve alors dans la maison des Islandais pour l’incontournable « Raccroc » de l’AG où dans la bonne humeur et la convivialité nous dégustons le reste du délicieux couscous préparé par le traiteur incontournable David Miquel.
Lucien ne manque pas de nous mettre un peu d’ambiance musicale, tandis que Philippe monopolise la plonge pour assurer une cuisine impeccable.
Et c’est dans la bonne humeur et parmi les rires que nous nous quittons à regret après avoir ranger, nettoyer, balayer, récurer …
Vite à la prochaine !

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La brume est assez épaisse et fraiche aussi en début novembre : un vrai temps de toussaint quoi !
C’est pour cette raison que je suis très étonné de dénombrer 39 participants au départ de Wissant.
Nous sillonnons quelques ruelles sans oublier de remarquer le ruisseau d’Herlen, petit fleuve côtier.
Notre cheminement, qui passe en partie par le sentier des peintres de l’école de Wissant, nous conduit au cimetière avant de retrouver le ruisseau pour parcourir de nouveau quelques rues de Wissant.
Voici le sentier du Fartz qui contourne une vaste étendue d’eau douce installée dans une ancienne carrière.
Nous délaissons l’ascension de la motte du Bourg car la brume nous empêcherait de profiter de cette vue à 360°.
Bientôt nous foulons le sable de la dune pour longer la mer très calme et si belle de cette fameuse couleur opale.
Nous remontons le cours du modeste fleuve, pour nous retrouver au cœur de Wissant en nous promettant de se retrouver samedi prochain pour l’assemblée générale.

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Rendez vous est pris ce dimanche au parking de la mairie de Norbécourt ,commune fusionnée en 1819 avec le village voisin de Mentque donnant le nom officiel de Mentque Norbécourt, avec ses 637 habitants et ses 2 églises .Départ direction à l’est du village pour suivre le sentier qui nous mène au moulin le Briez, moulin construit en 1714,en activité jusqu’en 1950 repris par différents propriétaires,en 1971 il est inscrit au titre des monuments historiques, en 2015 la communauté du pays de st Omer devient propriétaire du site et engage un projet de restauration estimé à 450000 euros la Drac, la région, la fondation du patrimoine, apportant leur soutien financier. Elément patrimonial et marqueur du paysage le moulin le briez fonctionne occasionnellement, il constitue également un lieu de rassemblement pour les randonneurs qui sillonnent le territoire, nous empruntons ensuite le chemin de Cuslinghen, puis les hameaux de Petit -Difques ,de Grand -Difques et la vallée du Calbart, nous rejoignons le GR145 de la Francigéna nous menant à Mentque au café de la mairie et prendre un repas sorti du sac. Au café une bonne surprise nous attend Dominique et Pierre nous ont fait le plaisir de nous accompagner au repas de midi.Après midi suite et fin de la randonnée le parcours continue sur un chemin qui nous mène au parking de la de la mairie à Norbécourt. Agréable randonnée parmi de beaux paysages,plaines;vallées ,hameaux villages et côteaux

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Bonjour, nous sommes 17 randonneurs(ses), le point de départ est l'église Saint Martin à Landrethun le nord qui est situé au cœur de la Terre des 2 Caps.
Cette nouvelle église est construite en 1958 - 1961. Ses habitants se font appelés les landrethunois. En 2021 la commune comptait 1246 habitants.
Le point de départ se situe devant l'église paroissiale Saint Martin à Landrethun le nord. La brume automnale nous empêche d'apercevoir les collines d'est et d'ouest et puis les côtes anglaises. Nous les apercevrons lors d'une prochaine randonnée avec un meilleur temps.
Nous démarrons par le chemin des poissonniers .
Ce chemin doit son nom aux poissonniers de Wissant qui venaient vendre leurs marchandises à Landrethun le nord jusqu'à la fin des années 1950. Ils passaient alors par le mont de couple avant de rejoindre l'actuel chemin des poissonniers.
Nous venons de longer le musée, nous traversons le Bois de l'Abbaye.
Enfin nous revenons vers l'église.
Merci à tous et toutes.
A bientôt sur les chemins de randonnées.

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Super randonnée ensoleillée ce dimanche avec participants motivés.

Découverte d un petit moulin dans ce paysage verdoyant Boulonnais.

Douze kms de monts et jolis sentiers, de jolies demeures.

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35 participants par ce bel après-midi ensoleillé au départ de la base Ton Souville.
Direction la mer ! Pour cela nous franchissons l’escalier qui enjambe la dune près du VVF. C’est toujours un plaisir de retrouver le bord de mer et de fouler le sable. Direction Est en passant au travers des alignements de pieux. Pour Jean-Maurice, ces alignements sont de peignes à sélection. En effet les espaces entre deux pieux semblent se rétrécir au fur et à mesure de notre cheminement et ainsi peut-être écarter les plus « larges » d’entre nous !
Un deuxième escalier permet de franchir à nouveau la dune protectrice de l’arrière-pays pour cheminer dans les rues de Blériot Plage et ses fameuses voyettes. Rue de l’aviation, on se remémore l’épopée de Louis Blériot qui franchit le premier, avec son aéroplane, le détroit en 1909 !
Nous aboutissons sur la digue Mouron, avant de passer devant l’Eglise et de rejoindre le début de la digue Gaston Berthe où une pause s’impose devant les glaciers qui offrent des délicieux parfums à des prix imbattables !
Un retour au bord de la plage cette fois vers l’Ouest pour arriver à la rotonde, où l’on emprunte un chemin dans les dunes. Bientôt nous voici en contrebas du Fort lapin avant de rejoindre la base Tom Souville.
Là nous avons la surprise de rencontrer José et Liliane, les fondateurs de notre association, il y a 30 ans de cela !
A bientôt dimanche prochain au départ de Saint Martin les Boulogne pour la rando « du château au moulin » et mardi 29 octobre pour la rando douce au départ de Landrethun le Nord.

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La rando « enfance et vie » est une classique à cette époque de l'année ; 21 arcosiens s'y étaient donné rendez vous ,trois parcours proposés et l'ARCO présente sur les trois,(5,9et 13 km) ,
Tout va bien jusqu'au 2 derniers kilomètres ou la boue et l'eau ont envahi les chemins , qu'importe il en faudrait plus que ça pour arrêter nos marcheurs aguerris ! Surtout qu'à l'arrivée il est prévu un réconfort à la buvette et même plus pour ceux et celles qui ont choisi l'option cassoulet (pas fayot pour autant ) , Point de notions culturelles lors de cette rando mais le plaisir d'avoir pu traverser
des bois privés habituellement fermés au public et très bien entretenus,
Il est a souligner la parfaite organisation de cet événement aussi bien sur l’accueil que sur le balisage terrain ,
Bravo aux organisateurs !

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking de la mairie de Nielles-lès-Ardres .
Au départ, le ciel est très nuageux puis, le soleil a fait son apparition, la température est tout à fait agréable pour marcher.
Nielles-lès-Ardres est un petit village français situé dans le département du Pas-de-Calais et fait partie de la Communauté de communes Pays d'Opale.
Ses habitants sont appelés les Niellois et les Nielloises.
La commune s'étend sur 4,5 km².
En 2021, la commune comptait 589 habitants.
Nielles-lès-Ardres a connu une nette hausse de 30,3% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Louches, Ardres et Nortkerque, Nielles-lès-Ardres est situé à 17 km au sud-est de Calais, la plus grande ville des environs.
Situé à 9 mètres d'altitude, la commune est traversée par la rivière de Nielles, un cours d'eau naturel non navigable de 7,8 km, qui prend sa source dans la commune de Louches et qui se jette dans le canal de Calais au niveau de la commune d'Ardres.
Elle est aussi traversée par la Becque d'Autingues, cours d'eau naturel non navigable de 2,97 km, qui prend sa source dans la commune d'Autingues et se jette dans le watergang du Zandick au niveau de la commune de Nielles-lès-Ardres.
Le watergang du Zandick est un canal, chenal non navigable de 2,61 km qui prend sa source dans la commune de Nielles-lès-Ardres et se jette dans le canal des Pierrettes au niveau de la commune
d'Ardres.
La Becque, du Néerlandais bēke “ruisseau”, est un fossé de drainage de la plaine agricole ou une petite rivière rectifiée ou recreusée pour améliorer les capacités de drainage. Elle est aussi une limite de parcelle.
Nous empruntons, à notre droite, la rue du Village . Nous passons alors au dessus de la Becque du Rond Fossé puis, nous prenons la rue de l'Estade jusqu'à la rue du Moulin et nous nous dirigeons alors vers la rue des Prés où nous longeons, un court instant, la Becque d'Autingues.
Au bout de cette rue, nous prenons la RD 227, puis la rue de Nielles et nous bifurquons sur la gauche rue de l'Ancienne Abbaye. Nous traversons avec prudence la RD 224 pour rejoindre le chemin de Nortkerque, nous sommes alors sur le territoire de Bois en Ardres et nous repartons alors vers Nielles-lès-Ardres en empruntant à nouveau la RD 227 en passant au lieu-dit Le Courgain.
Nous bifurquons vers la gauche, nous prenons alors la rue de Northout puis, la rue de Merville , la rue de la Chapelle, l'allée des Dames et la rue du Village qui nous ramène à notre point de départ.
Merci à tous les participants

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28 participants au départ de ce charmant village des Flandres maritimes. Pitgam (ou Pitgham en flamand) signifierait le hameau du puits ou de la mare.
Nous parcourons tout d’abord de petites routes campagnardes et chemins agricoles avant d’arriver au
Den Leeuw Molen (le moulin du lion). Nous sommes accueillis par deux passionnés de la sauvegarde de ce patrimoine qui nous content son histoire, ses caractéristiques, et son fonctionnement.
Au début du XIXe siècle, le Nord compte plus de 1 800 moulins à vent, dont plus de la moitié, destinés à moudre le blé. A une époque antérieure, aux XVIIe et XVIIIe siècles, des moulins à vent sont construits pour assécher les Bas-Pays de la Flandre Maritime.

Le Moulin Den Leeuw, ou moulin du Lion, est de dimension standard, avec une superficie de 5 mètres sur 3,60 mètres de largeur. La forme de la toiture est typiquement flamande.

Il fonctionne jusqu’en 1940. Les Allemands s’en servent comme poste d’observation et pratiquent une ouverture dans la toiture, ce qui fut le début de la ruine du moulin.

Il est laissé à l’abandon une quarantaine d’années.

En 1970, le moulin est classé et sauvé in extremis par les Monuments Historiques, en 1972, mais le piédestal est en mauvais état. Renversée par une tempête le 15 mai 1983, la cage est descendue au sol, le 7 octobre de la même année. Elle se brise par la tempête du 26 au 27 novembre.

Il est vendu, par les descendants, à la commune en 1984.
Toujours équipés de ses meules il peut encore fonctionner. Nous grimpons l’escalier de meunier pour découvrir sa machinerie et ses engrenages impressionnants. La descente est précautionneuse ! il ne s’agit pas de rater une marche !
Après cette belle découverte nous poursuivons notre parcours en découvrant un antique four à pain.
Nous voici à l’Eglise Saint Folquin où les membres de l’association 1072 nous accueille pour découvrir une surprenante HalleKerque (L'espace intérieur est divisé en 3 vaisseaux de hauteur équivalente) Un livret nous est fourni pour bien découvrir ce patrimoine. De plus on nous offre généreusement un jus de pommes local !
Délicieux !
Nous terminons cette première partie par un agréable apéro offert par Michel qui fête ses 26 ans …
Le café Fiolet nous accueille chaleureusement dans une grande salle pour un pique-nique agrémenté de boissons locales (bière hapkin par exemple)

L’après-midi rassemble 18 marcheurs pour découvrir la Haute Colme, canal franco-belge, d’un bras de l’Aa, qui avec ses watergangs (chemins d’eau) adjacents, concourent à l’assèchement des polders.
Nous découvrons alors une impressionnante usine de gaz (et non une usine à gaz !), des cygnes paisibles et un élevage surdimensionné de poules … invisibles !

De retour à Pitgam, nous nous donnons RDV mardi prochain à Nielles lez Ardres pour la rando douce et à Fiennes le dimanche suivant.

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Après la photo de départ des 31 participants, Direction sud pour quitter Louches et aller franchir la ligne TGV.
Au montons vers le Bois de Sept Fontaines, (sans en voir aucune), et nous retrouvons le GR 145, autrement nommé la Via Francigéna, que nous quittons bientôt pour monter vers le Calanthun. Là, une petite halte avec une belle vue panoramique, certains en profitent pour enlever une veste, car le temps est très doux, nous nous rafraichissons avant de descendre vers Yeuse.
Voici un énorme chaudron à l’entré d’une ferme qui propose des paniers gourmands. On s’imagine aisément la préparation de la fameuse potion magique dans ce bel ustensile !
A Yeuse, nous visitons la chapelle, érigé en 1886 par Adolphe BELLANGER et sa famille en hommage à Notre-Dame de Lourdes. En effet dans le cœur la célèbre grotte est fidèlement représentée. De nombreux ex-voto démontent une grand ferveur locale pour ce lieu de culte qui a accueilli longtemps une procession à la Pentecôte.
Nous repartons ensuite vers le Nord pour emprunter la rue d’Adam. Mais malgré toute notre attention nous n’avons pas rencontré Eve, à la grande déception de quelques-uns !
De retour au centre de Louches, nous nous promettons de nous retrouver dimanche à PITGAM pour une randonnée à la journée en 2 boucles, ou encore le mardi suivant à Nielles les Ardres.

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En 1702, Louis XVI autorise la création d'unhôpital généralàSaint-Omer sur l'emplacement de l'ancien collège des bons enfants, édifié au XIVe siècle pour aider la population pauvre de la ville. Ceci permet de regrouper les pauvres et les mendiants pour les moraliser et les remettre au travail ,Ceci est une opération de police pour protéger la population des vols ,L’édit royal de 1662 oblige les villes de créer des hôpitaux,
Le musée sandelin
Somptueuse demeure du 18e siècle. Elle fait partie des plus beaux témoignages de l’architecture civile de cette époque dans la région et abrite depuis 1904 le musée Sandelin. Rénové en 2022 ,
Le palais de justice
La façade, aussi sobre soit-elle, est monumentale: il s’agit bien d’un palais épiscopal , qui doit exprimer la puissance de l’église. C’est aussi un édifice à la gloire du roi, comme en atteste le fronton. Le roi soleil, qui guide et réchauffe son peuple, surplombe le globe terrestre et des cornes d’abondance. La devise est conquérante: «nec pluribus impar», «je suffirai à tout».
Le palais est confisqué à la Révolution française. Il devient palais de justice en 1795.
Passage par la fontaine Sainte aldegone La fontaine était adossée avant la Révolution à l'église Sainte-Aldegonde.
Le théâtre Ancien hotel de ville
Nous arrivons sur la place du théâtre Au milieu de la grande place trône l’ancien hôtel de ville dont l’aspect général ne laisse pas indifférent forme d 'un moulin a café , A l’intérieur, longtemps ses espaces et ses fonctions ont été multiples. Mais surtout, il cachait un étonnant théâtre à l’italienne fermé en 1973. Depuis 2018, le monument est le théâtre de la ville.Puis nous nous rendons vers le
le jardin public
Né en 1893, le tracé du jardin public se calque sur celui des anciennes fortifications, démantelées dès 1892 pour agrandir la ville. Saint-Omer est une ville flamande sous domination espagnole jusqu'en 1677, date de la conquête de la ville par Louis XIV. Au moyen age 40 000 habitants à Saint Omer ville prospère grâce au commerce ,Mais le peste et la guerre de cent ans a réduit la population ,
petite pause recreative dans le parc de Saint omer avec soit un tiur de manege ancien soit la degustation d'une glace voir les deux pour quelque un , Moment convivial et tres agreable sous le soleil de saint Omer
Puis nous prenons la direction de la cathédrale en traversant un tunnel au travers des fortifications
La cathédrale de saint omer ,
Omer, nommé évêque en 638, reçoit du seigneur Adroald la terre de Sithieu. Il y fonde une abbaye près du marais et une chapelle dédiée à la Vierge au sommet de la colline où il est inhumé. L'édification de la cathédrale s'étale du XIe auxIV siecle La cathédrale abrite entre autres une horloge astronomique de 1558, un buffet d'orgue monumental, un tableau de Rubens et une dalle en labyrinthe ,
Nous arrivons ensuite sur la motte castrale
La motte castrale est l’un des sites fondateurs de la ville et servait au 10e siècle par Baudouin 1 er à protéger la collégiale des invasions normandes. Premier château de la ville fondé par les comtes de Flandres, portant d’abord une tour en bois puis un donjon de pierre, ce fut ensuite la demeure du châtelain de Saint-Omer. De nouveau site à caractère défensif à partir du 16e siècle,il est transformé en prison militaire au 18e siècle.
Le site accueille aujourd’hui des résidences d'artistes. Il est ouvert uniquement lors de festivals, d'événements spécifiques, et certaines visites guidées du centre historique de Saint-Omer
Puis nous faisons un aller retour vers la
La bibliothèque d'agglomération du Pays de Saint-Omer occupe une partie de l'ancien collège des Jésuites. Dans la magnifique salle patrimoniale, les collections de livres anciens comportent plus de 35.000 volumes, dont un exemplaire des deux livres les plus recherchés au monde : la Bible de Gutenberg et le First Folio de Shakespeare !
Nous arrivons ensuite en face de la façade de la
Chapelle des jesuites ,
e 16e siècle est marqué par des troubles religieux. En Flandre, le mouvement des iconolastes , les briseurs d’images pieuses, s’arrête devant saint omer . Des réformes religieuses aboutissent à la création d' églises protestantes refus de l 'autorité du pape .différence également sept sacrements pour l église catholique 2 seulement pour les protestants , Pour survivre, l’église catholique doit elle aussi se réformer. La compagnie de jésus (appelés Jésuites), fondée par Ignace de Loyola, y participe activement. Ainsi, Gérard d’Haméricourt,l’évêque de Saint-Omer, fait appel à des Jésuites de Wallonie pour fonder un collège dès 1566. Car, dans cette lutte, former la jeunesse est un enjeu important. Les jésuites pratiquent aussi le théâtre pour attirer la population lors de leurs sermons. Maintenant ce lieu est un lieu culturel ,
Nous nous rendons ensuite vers
l 'église saint Denis
ci dessous 5 anecdotes
Plus ancienne tour
l’église saint Denis date de 1088 ,Elle possède la plus ancienne tour gothique de la région Érigée en 1389 ,Elle s'effondra en 1705 ,Un plan de reconstruction est entrepris entre 1706 et 1714 ,
Courants d 'air mortels Selon des écrits plusieurs nouveaux nés sont décédés lors du baptême célébré a l 'entrée de l église dans une chapelle ,L 'église avait q une seule porte maintenant elle en possède deux portes ,
Le plafond en forme de coque
En 1720 ce plafond est recouvert de plâtre , Lors de la rénovation cette partie qui retenait l'humidité a été retirée révélant le magnifique berceau lambrisse de la toiture ,
Procès du vitrier
L’église est décorée de vitraux datant de 1860 ,Ils retracent la vie de saint Denis L'artisan qui a réalisé le vitrail a intenté un procès contre l’église car il n'aurait reçu que le trois quart de la somme ,Le maître d’œuvre estimant médiocre la qualite de son travail,
Chevaliers enterrés
Du cote de la chapelle du Rosaire au pied d 'une statue en bois représentant Saint Denis se trouvent deux pierres tombales ,Elles abritent les dépouilles de chevaliers décédés lors de la bataille d'Azincourt en 1415,
L église saint Denis est la plus ancienne eglise de Saint Omer Elle est située dans l axe entre La cathédrale et l 'abbaye Saint Omer ,Elle a été construite suite à l 'essor de la population au moyen age ,
Un chantier de 5 millions d 'euros de rénovation , Fermeture en 2000 l 'édifice pourrait rouvrir en 2028,
Puis nous prenons la direction des ruines saint Bertin ,
A l'antiquité Therouanne est la ville la plus importante , Véritable carrefour des voies romaines dont la plus célèbre est la la via francigena entre Rome et Canterbury Therouanne suite aux invasions des vikings puis de Charles Quint ,Therouanne est détruite Alors l 'évêque Omer de therouanne se rend sur Saint omer pour construite une église sur le site des ruines Saint Bertin
C’est ici au bord du marais, au 7ème siècle, que s’installent les compagnons d’Omer venus l’aider à christianiser cette région. Ebertramn, Mommelin et Bertin fondent vers 650 l’une des plus anciennes et importantes abbaye bénédictine au nord de Paris Abbaye bénédictine dont les moines vivent sous la règle monastique écrite par saint Benoît de Nursie au Mont Cassin (Italie) au milieu du 6esiècleL’abbaye prospère tout au long du Moyen Age et jusqu’à la Révolution.Elle est alors en grande partie détruite. Les anciens bâtiments des moines sont vendus et démantelés. L’église est vidée et sa toiture enlevée. La ville la rachète et la fait piocher à partir des années 1830 soulevant l’indignation de grands auteurs dont Victor Hugo. Et pour finir, la tour s’effondre après-guerre. Retour a notre point de départ en passant par le quai des salines Le quai des Salines était un lieu industriel dès le Moyen Âge. Les fouilles archéologiques ont montré que des brasseries étaient installées là dès le 13ème siècle. Au fil des époques, on y a trouvé des pipiers (fabricants de pipes), des tanneries ,Saint-Omer a été un grand centre de production de draps, grâce à la laine anglaise qui arrivait directement par bateau. Pause repas au café saint Pierre dans le faubourg du Haut Pont ,Après cette pause l Notre randonnée de l'après midi nous permettra de découvrir les monuments de Saint Omer
Cette randonnée de la journée a permis aux randonneurs de découvrir Saint Omer d un point de vue historique tout en bénéficiant le matin d'une agréable promenade au fil de l'eau ,
Pour conclure Saint omer est une ville avec un patrimoine architectural et culturel important ,A l inverse de Arques par exemple qui a bénéficié de la révolution industrielle ,Le marais a permis de protéger Saint omer des invasions Mais aussi au Moyen Age grâce à la création de canaux de transformer saint Omer en une ville Marchande Importante dans la région
Un grand merci à l ensemble des participants pour cette randonnée nature le matin et récréative et culturelle l après midi ,

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Sous un temps mitigé on démarre d'abord par un chemin en bois pour ensuite rejoindre un chemin sableux et étroit d'où nous sommes obligés de marcher à la queue leu leu.
On entend la mer sans pour autant la voir,
on rejoint un chemin bétonné construit par les Allemands pendant la seconde guerre mondiale pour accéder à la plage.
Puis on rejoint une rampe en bois pour monter sur la dune et enfin rejoindre la plage,
Nous suivons la plage en voyant au loin la centrale nucléaire de Gravelines ainsi que les 3 réserves de méthane de Loog-Plage.
Après avoir repasser de l'autre côté de la dune on suis quelques flaques pour revenir vers la rampe en bois puis on revient un peu sur nos pas pour changer de direction.
Changement de terrain on retrouve de l'herbe et un observatoire et la maison du Platier d'Oye et de nouveaux observatoires ainsi qu'un plancher bois pour revenir au parking.

Merci à tous.

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29 participants. 8,4km.au départ de la rando salle de sport du tourne puit on emprute la rue narcisse boulanger pour arriver le long du canal de guines sur le chemin du halageque nous parcourons jusqu'au pont du marais.en chemin nous apercevons des vaches qui paissent tranquillement et des moutons à tête noire qui font leur travail de nettoyage de la lande.apres un parcours sur le 2ème et 3ème banc du marais on s aventure sur le chemin la Calaisienne (endroit resté sauvage calme et reposant) ou Aline a eu la chance de trouver des trèfles à 4 feuilles et même 1 à 5 feuilles .sur le retour après avoir croisé un groupe d oies nous avons aussi vu un cheval Isabelle qui se regalait d un repas de carottes.son compagnon un superbe cheval blanc faisait le guet devant la clôture pour que personne ne s aventure à voler une carotte .après avoir traversé la rivière à bouza on termine notre périple sur la ligne d Anvin.certains d entre nous ont aperçu 2 chevreuils qui ont filé dans les fourrés. Sympathique randonnée sous un ciel clement

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Ce dimanche , ces 15 km de randonnée ont fait découvrir à nos 20 participants téméraires les chemins verdoyants et villages de l'Ardresis

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Aujourd'hui c'est à Bazinghen que l'ARCO s'est donné rendez vous , située sur une hauteur le village domine une vallée avec nombreux étangs et huttes de chasse , de l'altitude 76 mètres nous amorçons donc la descente ,les oreilles bourdonnent en arrivant au point le plus bas (14 mètres) ,
et vous l'avez deviné il nous faut remonter en longeant des terres agricoles qui donnent leur nom à cette rando : »les voyettes » un premier palier près de Raventhun (76m) puis un second à la jonction avec la D 191 (118m) point culminant de la rando permettant d'attribuer à chacun la récompense suprême du randonneur : une vue à 360° ! Un passage par Bertinghen puis par Grand-Maison et l'on arrive à notre parking de départ ,
Tout ce chemin (8 km) ayant été effectué au rythme de la rando -douce on peut citer Les Charlots
à la fin des années soixante « comme en sortant de l'usine,la joie nous illumine!),
Prochain RdV à Ardres le dimanche 22/09/24 ,,,,,,,,,,,
pour info 27 participants temps sec mais venteux (tres bon pour marcher)

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Nous étions13 randonneurs au départ de cette randonnée sur une distance de 12 kms ,L'objectif premier de cette randonnée sera la découverte de la réserve naturelle des étangs de romelaere ,Le début de notre randonnée emprunte une petite route après 1 kilomètre nous voilà dans la réserve ,Nous longeons un fosse dans lequel nous pouvons observer la biodiversité ,Nous montons sur un observatoire sur lequel il est parfois possible d'observer des cigognes ,Au bout d un chemin un bac nous attend ,Après la traversée nous sommes dans les champs cultives par les maraîchers ,Sur notre droite nous pouvons observer une bacove bateau traditionnel qui permet aux maraîchers de transporter les légumes ,Petite pause au bout de la réserve dans un observatoire , Mais avant de rejoindre l entrée de la réserve nous prenons un autre bac , La réserve est une grande volière à ciel ouvert plus de 230 espèces d oiseaux fréquentes cette réserve ,Après cette traversée de la réserve , nous prenons la direction de buysscheure ,Petite pause devant un arbre sur lequel se trouve au sommet la célèbre Marie Grouette , Nous longeons ensuite des canaux pleins de charme et de tranquillité, Un havre de paix pour la faune et la flore mais aussi pour les randonneurs amoureux de la nature ,Petit pause au café isabelle en face de l' église de buysscheure ,L’après midi 04 valeureux randonneurs prennent le départ pour une randonnée de 07 kilomètres dans la campagne flamande sous le soleil , Agréable randonnée sous le soleil dans la nature dans toute sa splendeur ,Un grand merci a l 'ensemble des participants ,

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Météo maussade et humide , Les forets ,comme chacun sait ,sont peuplées d’Êtres plus ou moins maléfiques ,( Elfes,Ogres,Trolls etc etc )aussi aujourd'hui ce n'est pas une « simple rando » mais une aventure qui attendait le groupe ARCO !
Tel Bayard au petit déjeuner (sans beurre et sans brioche) votre guide du jour ,après quelques recommandations de circonstance: à savoir prendre un bâton et courir vite en cas de danger ;a pris la tète du groupe direction plein Sud,puis cap à l'Est sur de confortables chemins ayant la particularité de pouvoir voir surgir les créatures en tous genres ,un 180°plus loin et c'est vers le Nord que nous nous dirigeons;une bifurcation permet de raccourcir (si utile) et ouf nous sortons de la foret pour une partie de campagne (les Guines) les plus craintifs sont rassurés et les 2 ou 3 km du retour se font sans crainte
Cette fois je ne remercie pas les participants mais les Héros qui ont vécu cette aventure !
A dimanche départ de Nieurlet pour une nouvel épisode de votre feuilleton préféré « l'ARCO en rando « ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,