Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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Belle balade sur le sentier des berniques avec une vue magnifique sur nos deux caps Nous commençons la randonnée par la plage, (Catherine a pris soin de mettre son téléphone dans un étui étanche pour le cas où…), direction Wissant d’un bon pas, car la mer monte.
La protection en bois qui a été mise il y a quelques années, pour protéger la maison sur la dune, a été bien malmené par les dernières tempêtes. D’ailleurs les derniers chalets ne sont plus là pour lpngtemps. Nous marchons sur le sable et la tourbe d’un ancien marais, puis nous traversons la dune du Châtelet pour revenir par un chemin en parallèle à la mer, nous passons devant le parking de nos voitures et franchissons le ruisseau des Anguilles, puis après avoir emprunter un petit bout de la route du Châtelet, nous tournons à droite et passons au-dessus du ruisseau de Wattermel. Un peu plus loin nous empruntons un nouveau chemin, (qui remplace l’ancien dont le pont a été lui aussi abimé par les dernières grosses tempêtes), du bétail nous accueille, chacun son tour va à la « Buvette », mais ce n’est pas la même buvette que nous. J’avais demandé un passage des jardiniers pour tondre les abords du chemin, c’est donc sur un chemin qui sent bon l’herbe fraîche, avec une odeur plus forte qu’on pas pu identifier, genre céleri Plus loin nous apercevons qu’un nouveau chemin longe la clôture de la pâture, effectivement nous croisons un panneau du GR 120, que certains emprunteront prochainement (Philippe et ???). Il est herbeux au lieu d’être en sable.
Le vent nous pousse pour monter doucement la pente, de temps à autre nous nous retournons pour observer le paysage de la baie de Wissant, la mer, les bateaux, le Blanc Nez, Wissant, la plage du Châtelet qui est presque entièrement recouverte par la mer. Nous continuons de monter tranquillement, quelques-uns d’entre nous vont jusqu’au belvédère pour admirer le point de vue. Encore un petit effort et nous voici sur le haut de la falaise. Nous croisons l’arrivée du chemin sur notre droite, par lequel nous aurions pu arriver si la mer n’était déjà pas si haute.
Tout à coup nous découvrons un nouveau paysage : la plage de la Sirène, le Cap Gris Nez, le phare, les villas du bord de falaise, qui ont une belle vue sur la Baie de Wissant. Nous remontons ensuite la route de la plage et nous dirigeons vers Sodit, nous passons devant le petit camping municipal, la résidence « les longères ». Catherine décide de faire une pause derrière un transformateur. Nous la mettons en garde pour qu’il ne lui arrive pas d’ennuis, d’autres dames en profitent, nous les attendons plus loin au carrefour. Le temps nous parait long pour leurs retours. Jean Pierre retourne un peu en arrière et voit 4 dames qui arrivent. Nous leur posons la question sur la durée de leur pause, Eh bien Catherine s’est encore fait remarquer, prise d’une crampe elle est tombée et n’arrivait pas à se relever. Décidemment les randonnées de bord de mer ne lui sont pas favorables.
Nous arrivons à Framezelle et nous dirigeons vers Floringzelle, traversons un bois ou il y a de nombreux trous de bombes, de nouveau un très beau point de vue sur la Baie de Wissant et le marais. Nous entamons la descente vers le Châtelet en passant par le mont aux Leux et devant les Berniques de Nicolas Floch (2015) dont vous lirez sur la photo pourquoi ils sont à cet endroit, (c’était le nom de notre randonnée).
Nous franchissons le ruisseau du châtelet et arrivons au parking. Dommage ! la nouvelle Guinguette n’est pas ouverte, on aurait pu se raffraîchir avec des boissons ou des glaces.
Merci de la participation de tous, sous un beau soleil, certes le vent de nord-est a voulu nous accompagner, mais ce fût une belle sortie avec de beaux points de vues

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Nous étions 32 au départ de cette randonnee pour une baldae au fil de l Aa avec la decouverte de différents sites touristiques .

Avant le début de la randonnée l'animateur du jour relate l histoire de la fabuleuse histoire de la fabrication du papier devant une belle fresque qui représente les beaux paysages de la vallée L Aa,

L’homme a toujours éprouvé le besoin de s’exprimer graphiquement, en utilisant divers supports. Tout d’abord sur les parois des cavernes, sur des objets en os, des tablettes en argile,

Par la suite, le besoin s’est fait sentir de trouver un support plus léger, plus facile à transporter. En trois régions éloignées du globe furent mis au point, de façon indépendante, des supports fibreux aux caractéristiques similaires :

Dans le bassin méditerranéen : le papyrus, cette belle plante aquatique qui peut atteindre jusqu’à six mètres de haut a été utilisée par la civilisation égyptienne dès 3200 avant J.-C.

En Amérique : le papier précolombien, conçu à base de fibres végétales a été mis au point bien avant la conquête espagnole. Des fouilles effectuées au Pérou on permit de découvrir les restes d’un papier fabriqué à partir d’écorces datant de 2100 avant J.-C.

En Extrême-Orient : le papier connu aujourd’hui.

La technique originelle par le chinois Han Hsin entre 247 et 195 av. J.-C. Il fut le premier à utiliser le matelas fibreux formé par la bourre et les déchets de cocons de soie pour créer un mince feutre servant de support à des textes écrits.

Il faudra encore attendre trois siècles, en l’an 105 après J.-C. pour que l’on découvre l’invention du papier, si essentielle dans l’histoire de l’humanité.

Puis le papier emprunta la route de la soie avec les caravanes en direction de l’Asie centrale avant d’atteindre l’Occident. En l’an 751, les Arabes, vainqueurs de la bataille de Samarcande, découvrirent le secret de fabrication du papier qui leur fut révélé par les prisonniers Chinois, artisans papetiers.

Les Arabes développèrent le papier à partir de chiffons, mirent au point les tamis métalliques et l’emploi de pâtes d’amidon de blé pour l’encollage. Ils créèrent les premiers moulins à papier en Asie Mineure et en Afrique du nord, et introduisirent le papier en Europe via la Péninsule Ibérique.

Les premiers moulins à papier voient jour dans la vieille Europe, à commencer par l’Espagne dès le XIe siecle

Cette fabrication se développe ensuite :

)XIIe siècle : France (1189

Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, le papier fut fabriqué exclusivement à la main.

De grandes inventions furent déterminantes pour son évolution :

- l’imprimerie par Gutenberg en 1450

- le cylindre en 1670 - ancêtre de la pile hollandaise en 1694 (qui n’arrivera en France qu’au XVIIIe siècle)

- la machine à papier en continu en 1798 mise au point par Louis-Nicolas Robert.

​En 1798, Louis-Nicolas Robert conçoit la première machine à papier en continu, ancêtre des actuelles machines à papier industrielles, produisant des bandes de papier de 12 à 15 mètres de long.
XIX siècle, les moulins traditionnels ferment les uns après les autres face au développement des grandes industries papetières. Celles-ci utilisent le bois pour fabriquer du papier en continu. Aujourd’hui, l’essentiel de la production est assuré par ces grandes industries. Mais, partout en France, des artisans passionnés ont repris d’anciens moulins ou créé de nouveaux lieux de production. Ils perpétuent ainsi la tradition et remettent le papier traditionnel au goût du jour.SI L histoire du papier vous interesse ,les amis du vieux calais organise le Vendredi 9 Juin une conférence sur l histoire du bois et des pates a papier a Calais au Musee des beaux Arts , Pierre est un membre actif de cette association ,

Nous étions au départ de cette randonnée a la découverte de L'audomarois ,Durant cette balade nous allons découvrir des sites célèbres ,Nous prenons la direction de l impasse du Moulin , Petit arrêt le long de l Aa pour découvrir les ruines d un ancien Moulin , Wizernes se situe dans la vallée du Papier , Après la traversée de la ligne de chemin de fer touristique entre Lumbres et Arques nous apercevons La coupole d Helfaut témoin de la dernière guerre Mondiale , Les allemands ont construits ce blockaus pour trois raisons Dans une falaise de craie roche friable ,La présence de la ligne de fer et la protection de la colline ,Après une belle montée , nous arrivons dans la lande endroit paisible entre les arbres et au bord de plusieurs étangs paradis des pécheurs a la ligne ,Petit arrêt sur un panneau d information pour découvrir des recettes de cuisine avec des fruits sauvages comme la confiture de gratte cul ou des beignets de sureau Noir ,Nous sortons dans cette lande pour nous rendre vers Esquerdes , Apres avoir longer le ligne d e chemin de fer touristique ,Nous suivons ensuite le GRP Audomarois avec de belles montées dans la campagne entre Hallines et Esquerdes

Après une belle descente nous arrivons enfin a notre village étape Esquerdes , Nous traversons une foret pour rejoindre la poudrière d Esquerdes ,Cette poudrerie fut créée à la fin du xviie siècle par la « Régie Royale des Poudres et Salpêtres » Les deux eux moulins qui existaient alors sur le site furent transformés en moulins à poudre Cette poudrerie figure parmi les points stratégiques relevés sur les cartes de la première guerre Mondiale faites par les aviateurs anglais.

Ses équipements devenant désuets, elle cessa ses activités en pour être définitivement fermée en

1972, Direction le café de la Marie pour une pause bien méritée dans la convivialité, L après midi nous traversons un pont au dessus de L'Aa afin de prendre un sentier le long de fleuve, Premier arrêt à la maison du papier a Esquerdes La Maison du papier est un musée qui invite à découvrir la fabuleuse histoire du papier et tous les mystères de sa fabrication, Là Maison du papier propose de nombreuses animations et ateliers créatifs autour du thème du papier, ainsi que des activités pédagogiques, à destination de groupes scolaires principalement .Le papier nait en Chine ,Les français percent les secrets de sa fabrication au 15 ieme siècle ,Des moulins s installent le long de L aa , Avant la révolution les seigneurs utilisaient les moulins pour moudre le blé ou la production d'huile , Mais aussi pour faire du papier gris pour l 'emballage des aliments Après la révolution les moulins sont vendus aux enchères ,Au 19ieme siècle de riches familles comme la famille Dambricourt rachètent les moulins Le Moulin pidou que nous admirons fermera en 1933 Le moulin a longtemps servi à fabriquer de la farine, et ponctuellement du tabac, des fils textiles, du mortier, du papier d’emballage, mais c’est avec sa production de papier de luxe qu’il acquiert une réputation nationale au 19e siècle. Le moulin tient son noms d’un ancien meunier, Isidore Pidoux.
En 2019, le moulin reprend du service, après un siècle d’abandon, pour produire de l’électricité

Retour vers l église d halines Les Dames Dambricourt, témoins de la vétusté de l’ancienne église St Martin du 12ème siècle, décident d’offrir à la paroisse un nouveau lieu de culte. Lors du creusement des fondations, des statues sont mises à jour : l’une d’elles en pierre, datant du 13ème siècle, qui représente la Vierge Marie portant l’enfant Jésus, est restaurée par les frères Sturne ; Marie devient en 1872 la patronne principale de l’église (avec St Martin) sous le vocable de ‘ Notre Dame de Bon Secours ‘. La statue orne une chapelle latérale de l’église. Nous sommes bientôt a la fin d e notre randonnée, Après avoir toutes ces explications sur l industrie papeterie, Nous arrivons a la papeterie moderne de Wizernes ,La production du papier est donc toujours d actualité ,Un grand merci a l ensemble des participants pour cette randonnée dont le thème principal était la fabrication du papier au fil du temps ,




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Rendez-vous à 14 heures sur le parking de la mairie pour une randonnée conduite par Dominique et Pierre.
32 marcheurs ont répondu présent.
Les charmantes ruelles du village nous amènent à un chemin herbeux avec un point de vue intéressant sur le fort d’Ambleteuse, une œuvre de Vauban.
Nous rejoignons la Slack et passons au dessus d’une ancienne écluse qui a connu Louis XIV, puis nous cheminons dans les immensités dunaires de plus de 200 ha, c’est l’un des plus vastes massifs dunaires du département, parsemées de jolis bois de pins, de mares où viennent se reproduire de nombreux amphibiens.
Nous cheminons à travers ses méandres qui façonnent le caractère sauvage et authentique du site.
Traversée de la D940 et une trouée dans le cordon argileux, au niveau de « la Pointe aux Oies » nous amène sur la plage. La marée est sur la descendante et nous suivons la côte, le GR120, sur quelques kilomètres avec comme point de mire le fort d’Ambleteuse.
A l’embouchure de la Slack, un sentier sableux, puis pavé nous ramène au village. Nous remontons les rues de l’Ecluse, du Maréchal Foch et Marinot qui nous conduisent à notre point de départ.
Belle randonnée avec des températures idéales pour gambader en pleine nature.
Merci à tous les participants

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Belle rando et sympathique animateur franco belge, nous avons passé une bonne journée
Philippe avec sa bonne humeur contagieuse nous a fait oublier la difficulté à marcher dans le sable … on peut dire qu’il y en avait en conséquence !

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Rendez-vous à 14 heures place du Général De Gaule pour une balade autour d’Audruicq.
Nous sommes 24 randonneurs au départ pour deux petites boucles autour d’Audruicq. Des températures clémentes, ciel nuageux, mais pas de pluie, c’est l’idéal pour une sortie printanière !
Nous quittons le parking et nous empruntons les petites ruelles : la rue de la Planquette et la rue de la Fontaine jusqu’au hameau de Blanc Bouillon.
Nous continuons par la rue des Vives bordée de vergers et d’une ferme de caractère.
Nous marchons, avec prudence, une centaine de mètres le long de la départementale, puis un chemin à travers champs nous mène à la gare.
Direction l’église St Martin, entourée de son cimetière, par la rue d’Ardres.
Après la rue du Presbytère, nous quittons le village par la rue du Calaisis, puis la rue de la Commune ou une belle demeure, avec une plaque estampillée 1905 sur ses piliers de portail, attire nos regards.
Arrivés au pont Jonnart, nous cheminons sur le sentier qui longe le canal Stawart (canal d’Audruicq). Jadis ce canal servait de piscine naturelle pour les jeunes audruicquois.
Retour par la rue du Parc, le long d’une partie des fossés d’enceinte du premier château fort bâti au IX siècle.
Nous retrouvons la place, point d’arrivée de notre randonnée.
Rendez-vous pris pour la prochaine rando ce dimanche à Bray-Dune avec Philippe V, notre animateur belge.
Merci à tous les participants.

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Traditionnelle randonnée des Labigeois.
Comme d’habitude, l’organisation est au top et des centaines de randonneurs ont répondu présent.
Trois parcours nous sont proposés : 7, 12 et 19 km.
23 Arcosiens sont au rendez-vous. Le parcours de 12 km remporte la majorité des choix, en l’occurrence 20 personnes. Yves et Martine ayant des impératifs de temps ont fait le 7 km. Mention spéciale pour Philippe qui est parti seul à l’assaut des 19 km !
Nous quittons le village en direction de Ramsault, puis Hervelinghen où un correct ravitaillement nous attend.
La beauté de paysage avec sa mosaïque de couleur, en particulier le jaune des champs de colza, nous fait oublier l’effort de l’ascension du mont de Couple.
Après une longue descente, c’est de nouveau une belle montée qui nous ramène à notre point de départ.
Après l’effort, le réconfort… une restauration nous est proposée.
Encore un bon moment de passé, rendez-vous pris pour l’édition 2024.
Marche sympathique avec des températures idéales pour gambader en pleine nature.
Merci à tous les participants.

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Nous sommes 30 randonneurs pour cette randonnée près de l'ancien centre de loisir Jules FERRY, et près de l'ancien camp de migrants "La Lande" .
Sous un soleil radieux nous cheminons vers la zone des dunes, un endroit boisé de pin, ce chemin est calme , agréable pour la vue des fleurs sur les bords. Le chant des oiseaux nous accompagne.
Jules FERRY né le 5 avril 1832 à Saint Dié (France), et mort le 17 mars 1893 à Paris, est un homme d'État français. Plusieurs fois ministre de l'instruction publique et des Beaux-Arts. Il est l'auteur des lois restaurant l'instruction obligatoire et gratuite.
Ainsi vu comme le promoteur de "l'école publique laïque, gratuite et obligatoire.".
Le centre de loisir Jules Ferry situé à l'est de Calais derrière la zone des dunes. Ce centre accueillait près de 1500 enfants à la journée. Ceux qui ne pouvaient pas partir en vacances. Un service de transport faisait des navettes dans tout Calais, pour leur ramassage au matin et au soir. Les enfants étaient heureux car ils partaient en vacances hors de la maison.

Ensuite cette zone est occupée par les migrants, plusieurs milliers d'hommes, de femmes et d'enfants. C'était une ville dans la ville qui était appelée la" Jungle de Calais"dont l'appellation officielle est "La Lande" est une expression désignant les camps de migrants et de réfugiés installés à partir du début des années 2000 à Calais, Coquelles et Sangatte, aux abords de l'entrée française du Tunnel sous la Manche et de la zone portuaire de Calais.
Plusieurs fois démantelé par les forces de l'ordre, ces camps de fortune voient leur population variée depuis 30 ans à la suite de décisions politiques comme la fermeture du centre de Sangatte en 2002 (Président Jacques chirac) c'est Nicolas Sarkozy qui à la suite de sa visite au centre de Sangatte à annoncé sa fermeture le 30 décembre 2002.

Mais, je reviens à la randonnée, nous rejoignons la commune des Hemmes de Marck . L'église est ouverte que pendant des animations culturelles " expo, concert etc.."
Des trous plus ou moins importants nous demandent d'être vigilant pour continuer de marcher.
Puis nous partons sur le sentier Jules Ferry en rejoignant une partie du GR120. Un point d'observation au-dessus d'un blockhaus, nous offre une vue à 360°.Plusieurs randonneurs nous dévoilent des compléments d'informations très intéressantes.
Enfin, nous terminons cette belle randonnée par un autre point de vue , un site qui a une histoire, qui a été modifié et réalisé par l'Homme.

MERCI à tous et à toutes.

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17 Participants
C'est avec 9° que nous entamons la randonnée sous un soleil prometteur.
Sortis du parking nous empruntons le chemin qui mène devant la gendarmerie; nous nous dirigeons vers le centre de Marquise et passons devant la cité des vieux pour rejoindre Bouquinghen.
Une petite côte nous mène au pont résonnant, puis vers la Prévosserie et ensuite le bois de Rinxent.
Nous cheminons jusqu'au mont Tintouin ( bruit assourdissant et répétitif ) où nous découvrons le château de la famille Willecote de Rincquesen .
De retour à Bouquinghen, le chemin nous mène au collège Jean Rostand. Puis retour au Parking sous un soleil printanier .

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Séjour Bassin Minier - randonnée du 30 avril - BRUAY LA BUISSIÈRE.

Aujourd'hui la journée commence par la découverte de la Cité des électriciens construite par la Compagnie des mines de Bruay en 1856 pour loger les mineurs et leur famille travaillant à la fosse 1 .
Cette Cité minière, la plus ancienne du Pas de Calais est classée au patrimoine mondiale de l'Unesco.
Pour faciliter le travail du facteur à un certain stade, la compagnie dû donner des noms pour différencier les différentes rues. C'est ainsi qu'en référence à de grands savants ayant fait de grandes découvertes en matière d'électricité : Ampères, Volta, Faraday, Franklin, Marconi etc .. elle fut baptisée ''La Cité des Électriciens ''.
L'intérieur des bâtiments restés dans son ''jus'' et les commentaires détaillés du guide nous font découvrir, non sans émotions, la vie de ces familles vivant dans les corons et toute l'organisation des houillères pour maintenir leur personnel sur place.
Cette Cité a conservé son organisation d'origine avec ses voyettes, ses carins (ou dépendances) et ses jardinets. Au fil de l'exposé nous visitons les lieux et écoutons les commentaires qui nous font imaginer la vie de ces gens a une époque pas encore si lointaine. Cette visite se termine par un pique nique dans les jardins au soleil et à l'abri du vent. Nous en avons eu pour notre argent... Visite très intéressante et somme toute appréciée de tous.
L'après midi, nous démarrons une randonnée de 15 km a Bruay. Le circuit nous propose un parcours urbain, notamment dans les corons rénovés, sur d'anciens ''cavaliers miniers'' transformés en chemins de randonnée. Des parenthèses verdures et de nature alternent comme la traversée du parc de la lawe, le poumon vert de la ville et le bois des dames. Aujourd'hui c'est top, nous avons travaillé la tête et les jambes. Demain sera notre dernier jour.. Lisez la suite de nos aventures.

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En ce 1er mai, notre 4eme jour débute par un randonnée prévue au départ de notre centre de villégiature. Nous cheminons d'abord en forêt et au petit matin, dès 8h30 l'atmosphère est fraîche et vivifiante. Par ailleurs le temps est avec nous.
Après quelques kilomètres nous découvrons les collines de l'Artois et la campagne environnante. Le bassin minier n'a vraiment rien à envier aux autres régions et gagne être connu. Après un certain temps de marche,
j'avertis les participants à la rando que nous atteignons une zone étrange et mystérieuse....
Nous arrivons bientôt à la hauteur du Dolmen de Fresnicourt, une étape de notre randonnée. Et là, avant que je ne raconte les histoires de ce lieu mythique, nous rencontrons effectivement un personnage étrange. Il s'agit d'un scalde de tradition nordique scandinave qui s'apparente aux druides de chez nous et qui se trouve là ce jour pour demander la pluie, l'abondance des cultures et la protection des naissances. Il nous fait participer à une séance de tambour pour dit il nous faire découvrir ''l'arbre qui est en nous'' Magique et insolite, mais j'avais prévenu le groupe.
Je profite alors de parler de la légende du dolmen de Fresnicourt : Vieux de 4000 ans, ce dolmen est l'unique rescapé d'un ensemble mégalithique gigantesque, malheureusement démantelé au XIX ème siècle. A l'origine, cet ensemble était constitué de - 4 dolmens, disposés en losange, relis entre eux par des allées de pierres levées et formant, par ce fait, une enceinte sacrée.
1 question se pose : ce territoire était-il alors le centre d'une vaste forêt où druides celtiques célébraient leurs mystérieuses fêtes, ou l'élévation des dolmens était-elle le fait de populations antérieures à l'époque celte ?
La question demeure au vu du seul dolmen subsistant composé de 4 pierres brutes. La table a malheureusement basculé (la foudre ou la conséquence des carriers ? Le site porte encore des traces des anciens carriers.
Lors des fouilles, exécutées autour du site, il a été trouvé des pièces de monnaie de Comm, l'Atrebate, chef gaulois contemporain de Vercingetorix. Ces pièces ont été déposées au musée d'Arras.
La légende raconte qu'à une certaine periode de l'année, les fées du dolmen de Fresnicourt se réunissent autour de la table des fées pour y célébrer des rites anciens.leur silhouettes apparaissent entre les ombres avant de former une ronde autour du Dolmen et dansenr au son d'une musique qui semble venir du sol... Malheur aux voyageurs égarés ou aux simples promeneurs qui, envoutes un par les sortilèges, pénètrent à l'intérieur de leur cercle. les demoiselles blanches, dit-on, les entrainent dans leur monde dont l'entrée serait située sous le dolmen.
Nous poursuivons ensuite dans la campagne en direction du prochain village, Gauchin le Gall, commune marquée également par une histoire des plus insolites et au centre de laquelle se trouvent de premières inscriptions en patois et car nous sommes également sur la route du patois ''Le Gall de Gauchin''

Ce grès ovoïde, à l'apparence anodine, arrivé il y a longtemps au village fit beaucoup parler de lui.
La nuit, il avait la fâcheuse habitude, jadis, de rouler jusqu'aux portes des maris trompés. Lors de la guerre 14-18, un soldat éconduit, pour se venger d'une Galcinoise vertueuse, le plaça devant sa porte. De colère, elle l'enterra dans son jardin. Elle refit néanmoins surface et fut définitivement enchaînée en 1925, là où elle se trouve aujourd'hui. Depuis fini les scandales ! Et dans le village on dit : ''si t'es mat' det'fem' assiette such Gal!''
Après GauchinLe Gall, nous rentrons au parc d'Olhain pour notre dernier repas .

L'après-midi nous reprenons la route pour le mémorial de Vimy et la visite des tranchées et des tunnels creusés sur la crête par les forces françaises, britanniques, canadiennes et allemandes. Des explications détaillées nous sont données par des étudiants canadiens présents aux endroits clé du site. Visite intéressante
Adieux déchirant ensuite, puis retour à la maison fatigués mais satisfaits.

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''Notre Dame de Lorette et l'anneau de la mémoire''
Nous étions 15 le matin au départ d'Aix-Noulette pour une rando de 21km
Temps couvert mais température convenable.
De bonne heure et de bonne humeur nous traversons une partie du village pour prendre la direction de la campagne environnante. Au matin celle-ci vallonnée, comme chez nous, est calme et reposante. Nous traversons le village de Marqueffles à ne pas confondre avec le village de Marquette dans le Nord... Les collines de l'Artois gagnent à être connues. La campagne est vraiment belle dans cette région sympathique. Nous cheminons au bord du bois de Marqueffles et traversons le lieu-dit ''Le Marteloy'' ainsi que celui des fermes du Bois de Mont pour pénétrer dans le bois. Le Gr 127 et le GR 145 nous amènent après une bonne marche soutenue a Ablain St Nazaire. Nous y sommes en avance... Une salle nous y est réservée pour le pique nique. Elle bien spacieuse et très propre avec les tables préparées à l'avance qui nous attendent. Le reste de la troupe nous y rejoint avec les victuailles.
Signalons l'accueil très chaleureux de la responsable des salles.

Après le repas nous reprenons à 27 le parcours de l'après-midi vers Notre Dame de Lorette et son cimetière national.
Nous y retrouvons Christian et Annie qui nous attendent pour nous commenter ces lieux solennels qui imposent le respect. La visite se poursuit ensuite par la découverte de l'anneau de la mémoire où sont inscrits le nom de ces milliers de morts de la guerre 14/18.
Nous entamons ensuite le retour vers Aix Noulette par le Grp des sites de mémoire de la Grande guerre.
Belle journée d'efforts et de découvertes.
Après l'effort le réconfort. Le président nous emmène à la brasserie ''Page 24'' pour une découverte de la bière locale. Suite aux prochaines aventures...
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27 participants se sont donnés RDV sur la Place de Loos En Gohelle ce vendredi matin.

Nous sommes accueillis par Annie et Christian, habitants de Loos en Gohelle et amis de longue date de Francine et J.Pierre. Ceux-ci nous accompagnent sur une partie de l’itinéraire qui nous emmène aux terrils jumeaux.

La randonnée débute sur un chemin de verdure ou Christian nous signale l’emplacement (complètement rénové) d’un ancien carreau de fosse et nous fait découvrir un puit d’aération des mines. Ces installations à notre grande surprise font partie du centre- ville… Aujourd’hui tout cela est noyé dans de nouveaux aménagements et si Christian ne nous avait pas aiguillé nous ne nous en certainement jamais rendu compte.

Plus loin, au cimetière canadien nous voici plongés dans l’histoire de la première guerre mondiale. La municipalité, après la guerre cède des terrains au Canada qui édifie un mémorial en hommage aux nombreux canadiens qui ont perdu la vie en terre de France. Ce mémorial est remarquable ; un chemin de béton incrusté de feuilles d’érable, emblème du Canada nous y mène. Chacune des feuilles au sol représente la mort d’un soldat canadien. On trouve également sur un mur la représentation sur carrés de marbre de dessins réalisés par les soldats en attente sur les murs du sous terrain. Les travaux du cimetière actuellement en cours concernent l’extension du cimetière en prévision de la découverte et du rapatriement de centaines de morts au moment du creusement du futur canal Seine/Nord. Certains corps découverts ont été envoyés au Canada pour recherche d’ADN et reviendront en France pour y être inhumés.

Ces travaux débutés récemment nous oblige à une petite modification de notre parcours. Annie et Christian s’en vont, nous les reverrons demain.

Nous quittons ensuite la ville pour franchir une passerelle qui en fait est un ancien « cavalier » c’est-à-dire une voie ferrée destinée au transport des pierres des mines vers les terrils. Puis devant nous s’élèvent 2 cônes majestueux, noirs et parsemés de verdure que nous contournons par l’Est. Nous grimpons et descendons alternativement près de ces symboles impressionnants du bassin minier.

Nous avons prévu le pique-nique, à notre retour, au café de la Mairie de Loos En Gohelle. Après cette pause bien méritée nous rejoignons le carreau de fosse 11/19, pour une visite plus technique des terrils sous la conduite de Thibaut, notre guide. Là, nous apprenons tout sur l’histoire de l’exploitation de la houille, sur la composition géologique des terrils, leur évolution dans le temps, la faune présente ainsi que la flore qui s’y est installée, le tout avec une vue imprenable sur la plaine de Lens/Liévin.

Ensuite, direction Olhain ou nous nous installons dans des chambres très confortables avant de nous retrouver pour notre premier apéro et notre premier repas. Vivement demain !

Comme l’a fait justement remarquer Jean-Pierre, cette randonnée a été une sacrée partie de cartes :

Passer du « carreau » de fosse au « trèfles » des prairies du pied du terril, en espérant de tout « cœur » que personne ne « pique » sa voiture chargée de la précieuse cargaison des apéro !

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Randonnée finalement avec une météo clémente mais bien fraîche .Départ depuis le parking en face de l’école st Joseph ,Nous nous dirigeons vers le sud, le Colombier, puis le sentier du même nom bien humide voir boueux mais emprunté sans problème. Le parcours passant par la ferme de la Motte, le bois du Breuil,les pâtures de Fiennes ; les Raquettes, le mont Poulain , l’Epinette le château, les Gardins, le centre d’Hardinghen, la maison Dominicaine de retraite pour ensuite rejoindre le parking rue de la Verrerie : parcours bien agréable malgré quelques passages délicats,qui n’ont pas entamés la bonne humeur du groupe . Merci à tous ,vive la rando

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C'est sous un ciel couvert que nous nous retrouvons à 9 heures sur le parking de la mairie de Landrethun-Le-Nord puis, malheureusement la pluie s'est mise de la partie sans y avoir été invitée.
Cette randonnée doit son nom aux poissonniers en provenance de Wissant qui venaient vendre leur marchandise à Landrethun-le-Nord jusqu’à la fin des années 1950. Ils passaient alors par le Mont de Couple avant de rejoindre l’actuel chemin des poissonniers, point de départ de la balade. Entre Calaisis et Boulonnais, les terres cultivées sont encore marquées par les vestiges de guerre, de nombreuses constructions en béton armé non loin de la Forteresse de Mimoyecques.
Nous laissons la Mairie derrière nous et nous nous dirigeons vers l'église paroissiale Saint-Martin.
L'ancienne église de Landrethun-le-Nord, datant du début du 18e siècle, est détruite par bombardement au cours de la Seconde Guerre mondiale. Elle était entourée par le cimetière. La nouvelle église est construite en 1958-1961 d'après les plans, établis dès 1955, de l'architecte audomarois Joseph Philippe, disciple de l'architecte Dom Bellot. Joseph Philippe est l'auteur de deux autres églises de la Reconstruction conçues sur le même plan, en brique, à Hazebrouck et Enguinegatte .
La nouvelle église Saint-Martin est édifiée en bordure du cimetière. C'est un vaste bâtiment de plan rectangulaire, couvert d'ardoises. La charpente est en fer et en sapin rouge. La structure est en béton armé, la maçonnerie en brique de parement de ton rouge. L'unique vaisseau est éclairé par des ouvertures verticales régulières. Le chœur est plus étroit que la nef. Un porche couvert anime la façade. Un campanile est implanté hors œuvre, à un angle de la façade.
Sur la Place de l’église a été planté l’Arbre de la Paix avec la participation des écoliers de Landrethun-Le-Nord en 1989, dans le cadre d’une opération proposée par le Ministère de la Culture, à l’occasion du bicentenaire de la Révolution Française. Son emplacement a été retenu à côté du monument aux morts, lieu emblématique des rassemblements patriotiques. L’arbre de la Paix est devenu l’un des symboles de la République française, si bien qu’il figure sur les pièces françaises de un et deux euros.
Nous empruntons alors la rue de l'Eglise , puis sur notre droite la rue des Poissonniers suivie par le chemin des Poissonniers. Au bout de ce chemin, nous tournons à droite vers le bois de l'Abbaye.
A l’intersection des sentiers, nous prenons 2 fois à gauche jusqu’à la route, où nous tournons à droite en direction de St-Inglevert.
Nous passons une 1ère fois sous l'autoroute que nous longeons sur le sentier sur notre gauche , puis nous repassons une 2ème fois sous l'autoroute et nous arrivons à proximité du cimetière militaire canadien.
Les corps de 729 hommes ont été inhumés dans ce cimetière entre Leubringhen et Landrethun-Le-Nord : 594 Canadiens, 103 Britanniques, 5 Australiens, 6 Tchèques, 19 Polonais et de 2 soldats non identifiés, morts pour la libération de Boulogne-sur-Mer et de Calais en 1944.
Nous nous engageons alors à gauche en direction du Mont Roland.
Le mont a été fortement bombardé pendant la guerre car les alliés visaient la Forteresse de Mimoyecques située à 300 m. Il sépare le Boulonnais avec ses prairies, ses haies et ses paysages vallonnés et le Calaisis avec ses cultures, peu d’élevage et un paysage agricole à champs ouverts (openfield). Le mont culmine à 153 m, si bien qu’on aperçoit en contrebas les carrières du Boulonnais, toujours en activité.
De là, nous commençons la descente qui nous mène sur la D 249, nous tournons à gauche et nous passons devant la Forteresse de Mimoyecques.
Surnommée le “Canon de Londres”, la base secrète de Mimoyecques devait servir à l’installation du canon V3 à charges multiples. Creusée dans un massif crayeux, elle était composée d’un vaste réseau de galeries desservant cinq puits de tirs de cinq canons chacun. Les souterrains abritent désormais plusieurs centaines de chauve-souris qui y trouvent des conditions favorables à leur hibernation.
Puis nous tournons à gauche et nous commençons notre ascension pour rejoindre le chemin des Poissonniers qui nous fera regagner notre point de départ.

Merci à tous les participants

Description:

Rendez-vous à 14 heures à la mairie pour une randonnée printanière guidée par Dominique et Pierre.
Ce sont 36 marcheurs qui ont répondu présent. Cette fois-ci c’est l’arrière pays boulonnais, toujours aussi vallonné et verdoyant qui s’offre à nous.
Nous remontons la D233, puis direction le Petit et le Grand Fouquehove.
La D242 nous mène au lieu-dit le « Trou d’Enfer », Hameau de Wierre-Effroy.
Information donnée par un « local », en l’occurrence Philippe : le Trou d’Enfer fait référence à un corridor très venteux dans la continuité de Saint-Inglevert .
Nous nous dirigeons vers le bois d’Autenbert. Un joli petit sentier le long du cours d’eau Wimereux, nous amène au centre équestre.
Retour par la ferme de Bellebonne et par le chemin de l’église à travers le cimetière de Pernes.
Marche sympathique avec des températures idéales pour gambader en pleine nature.
Merci à tous les participants.

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Superbe randonnée à Montreuil avec ses remparts,son centre ville typique et sa campagne verdoyante : agréable balade sur les rives de la canche Nous étions une trentaine de randonneurs pour cette journée de marche avec le club de Rando Sorrus, à Montreuil sur mer. Le matin, nous sommes partis de la grande place pour 12 kms jusque Beaumerie Saint Martin.
C’est par la rue des Garennes que nous descendons, en longeant le bas des remparts, vers la gare de Montreuil. Nous prenons la D349 jusqu’au pont routier de la route D901 où nous nous engageons dans un chemin qui nous mènera à Beaumerie Saint Martin où nous pouvons voir l’église dédiée à St Walloy, le St Guénolé des bretons.
Après avoir traversé la D349 et la voie ferrée, nous entamons le retour le long de la Canche, fleuve côtier le plus important du PdC dont le nom vient du celte et se traduit par le magnifique ; ses eaux sont pures et poissonneuses, on y trouve des truites, des anguilles et parfois même des saumons. Le sentier nous mènera jusqu’au restaurant de la Grenouillère sous un beau soleil printanier.
C’est par le chemin des remparts que nous rejoignons notre point de départ pour déjeuner au soleil sur la terrasse du bar-tabac Le Diplomate, j’en profite pour les remercier pour leur très bon accueil.
Après ce moment de détente, nous reprenons notre ballade sur les remparts de Montreuil où nous pouvons, aux multiples points de vue, admirer les alentours de la citadelle. C’est toujours sous le soleil que se terminera cette belle journée apréciée de tous.

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42 participants pour cette balade au départ d’Audinghen, commune française la plus proche de l'Angleterre. Elle est située ainsi, à vol d'oiseau, à 36 km de Douvres et environ 140 km de Londres.
Nommé Odingehem par les Saxons qui y implantèrent un sanctuaire dédié au dieu germanique Odin.
Odin (en vieux norrois : Óðinn) est le dieu principal du panthéon de la mythologie germanique dans sa version scandinave. Il est le dieu des morts, de la victoire, et du savoir. Dans une moindre mesure, il est également considéré comme le patron de la magie, de la poésie, des prophéties, de la guerre et de la chasse.

L'église Saint-Pierre et le clocher (si remarquable et aujourd’hui « emmailloté ») reconstruits après la Seconde Guerre mondiale, en 1960, par l'architecte Alexandre Colladant, inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2006.

Nous partons d’un bon pas vers le Cap gris Nez et au premier carrefour, nous pouvons constater l’absence d’un grand calvaire qui n’a pas résisté à la dernière tempête. Voici le mont au Leux (loups) et là s’offre à nous une très belle carte postale de la baie de Wissant. Nous passons alors devant le banc aux Berniques : Les Berniques de Nicolas Floc’h Créés en 2015 lors du festival Slack !, sont des petits coquillages qui portent également le nom de patelles ou de chapeaux chinois, sont une invitation à la contemplation du paysage. L’artiste souhaite que le public s’accroche à ce paysage comme le font ces coquillages sur les rochers.

Nous voici au Châtelet où, sans avoir y été invité la pluie veut ternir notre enthousiasme. Mais il en faut plus à notre belle troupe pour se laisser déstabiliser par quelques gouttes !
A Tardinghen, nous filons vers le Sud pour rejoindre le Hamel non sans goûter un petit dénivelé !
Voici déjà notre destination, mais avant de se quitter nous découvrons l’intérieur de l’Église, et la tombe de Francis DELBARRE, autrement nommé Raoul de Godewarsvelde. « Quand laq mer monte, j’ai honte … »

Bienvenue à Bruno, Sylva et Jean-Michel pour leur première participation à nos randonnées !

Description:

Nous étions 26 Randonneurs au Départ de la randonnée sur le Parking du blockaus d eperlecques .,

Modification du parcours du matin vers la foret d eperlecques chemin trop humide risque de chute

Décision de modifier le parcours lors de la reconnaissance par l animateur ,

Ce blockaus est un bunker de la Seconde Guerre mondiale situé dans la forêt d'Éperlecques il fut construit par l'Allemagne nazie de 1943 à 1944 pour servir de base de lancement aux missiles V2 visant Londres et le Sud de l'Angleterre.

Le blockhaus ne fut jamais achevé du fait des bombardements répétés des Britanniques et des Américains dans le cadre de l'opération Crossbow arbalète en Français , Les attaques causèrent des dégâts importants et l'empêchèrent d'être utilisé dans son rôle initial ; une partie du bâtiment fut transformée en usine de production d'oxygène liquide. Le site fut capturé par les Alliés au début du mois de septembre 1944.

A la sortie de la foret nous avons une vue sur le Marais du Nord Brouch endroit privilégié pour la faune et la flore mais une belle vue sur la Montagne de Watten avec son abbaye et son Moulin ,

Ensuite Direction le camping car Ranch avec arrêt sur des tables de pic nic afin de bénéficier de la quiétude d un beau lac face au camping , Ce camping bénéficie d un emplacement idéal pour les pécheurs l AA d un cote de l'autre cote le lac ,Moment idéal pour mettre en place notre traditionnelle chasse a l œuf offert par L arco ,Après cette traditionnelle chasse aux œufs ,nous avons partages les chocolats dans la bonne humeur ,Nous traversons ensuite un Haras suite a un accord préalable avec le propriétaire obtenue par l animateur du jour,,

Nous empruntons un chemin qui longe une ligne de chemin de fer , Puis nous traversons le centre équestre de Ruminghem,

Après plus de 11 kms de randonnée, nous arrivons au Golf de Ruminghem pour notre pause Repas ,

Laissé à l 'abandon pendant plus de dix ans Cap Golf Club est un golf en pleine renaissance grâce à l’association pour le travail des handicapés Cap Energie.

Le golf 18 trous naturel de Ruminghem a été construit par l’architecte de golf anglais Bill Baker, en 1992, entre la forêt d’Eperlecques et les bois de Ruminghem.

Accueil du personnel avec disponibilité de celui-ci dans un cadre magnifique avec une belle vue sur le départ du parcours en plaine

La pluie est de retour lors de notre départ du restaurant ,

Premier Arrêt la La chapelle saint Antoine.

Ce saint Ermite ayant vécu au I V siècle .Il fut prié au XVI siècle par la population pour arrêter une épidémie porcine .Une grosse statue lui fit érigée dans un gros chêne jusqu’ en 1850 ou l’arbre mourut .La chapelle actuelle fut bâtie peu après.

Second Arrêt Charmante chapelle dans la foret le chapelle des 3 cayelles.

L’histoire prétend que les druides y tenaient assemblée. Au cœur de la forêt d’Éperlecques, dans la chapelle des 3 cayelles, on célèbre la Vierge, pour le 15 août.

Le chiffre trois (dans le nom de la chapelle) a longtemps laissé croire que ce lieu évoquait la sainte Trinité. En fait, il concrétise le souvenir de l’antique culte de trois déesses chargées de protéger un carrefour à trois voies, qui aurait été christianisé par saint Omer en personne. Par ailleurs, le terme picard cayelle, qui signifie chaise, continue d’intriguer. Il fut pourtant jadis souvent employé dans le nord de la France pour désigner un siège important. Ainsi parle-t-on de cayelle prechoire pour évoquer la chaire de l’église ou encore de cayelle batilloire pour nommer le siège en pierre où s’asseyait le seigneur qui rendait la justice.

Les trois cayelles, ici, seraient donc, à l’instar de ces objets symboliques de pouvoir, des objets sacrés où s’asseyaient jadis les trois déesses qui protégeaient les lieux, à défaut d’avoir été de simples chaises à l’usage des personnes venues y faire leurs dévotions.

Après ces deux arrêts nous traversons la foret d eperlecques avec un temps mitige a la fois du soleil et de la pluie ,Parcours agréable dans la foret , Un grand merci a tous les participants pour cette randonnée avec des paysages différents à la fois des rivières , un lac et des chemins en forets ,

Description:

Photo de départ sur la parvis de l'église, 12 degrés et sous un beau soleil qui nous accompagnera tout le long du chemin.
Nous passons la planche devin(pont)de la prévosserie qui enjambe la Slack.
Nous empruntons le premier chemin un peu boueux, puis longeons la route départementale
WIERRE EFFROY ---> MARQUISE ; Nous retrouvons le chemin, mais, surprise celui-ci a été labouré (après renseignements pris auprès des bureaux de la Terrre des 2 Caps en fin d après midi) ce chemin est devenu privé depuis le mois de Février, donc, interdit de passage.
Nous rejoignons le bois de De Rinxent puis la route du Tienfort et arrivons au parking.
Merci à toutes et tous de votre présence

Description:

Rendez-vous dominical de l’ARCO à Esquelbecq, balade et visite patrimoniale préparées par Dominique et Pierre.
Esquelbecq est une petite commune, son nom est d’origine Flamande et signifie « la rivière aux glands » surement dû à la présence de nombreux chênes. Depuis 2007, Esquelbecq possède le label Village du livre. C'est l'un des huit villages du livre de France et le seul village à posséder ce label au nord de Paris. Il représentera la région Haut-de-France pour l’émission « le Village Préféré des Français » 2023.
Nous sommes 31 randonneurs au départ sur la grand ‘place, cœur du village qui accueille la Maison du Westhoek, centre touristique de la commune qui regroupe l’office du tourisme, la médiathèque, etc. La présence de quelques belles habitations contribue à donner à la place son cachet.
Nous prenons la rue de la gare et longeons l’enceinte latérale du parc du château, puis empruntons la rue du Souvenir, la rue Deblock pour arriver à la mairie.
Cette ancienne maison de maître datant du 19ème siècle est l’actuelle mairie depuis 1998. Elle se situe dans un parc arboré avec mare et verger qui possède de nombreuses variétés anciennes.
Nous passons devant le cimetière militaire britannique réalisé en 1918 à la suite de la bataille du mont Kemmel - il contient près de 700 sépultures des Première et Seconde Guerres mondiales.
Nous continuons par la Somme Straete, la rue de Pitgam, la Geete Straete vers l’étang de pêche via un sentier herbeux, puis le chemin du Héron jusqu’à une petite chapelle.
Celle-ci est encadrée de deux beaux tilleuls et a été édifiée en 1864 en reconnaissance d’un vœu exaucé.  « Manant ou pèlerin qui passez par ici, mettez genou à terre et invoquez Marie ».
Un chemin herbeux, puis la rue de Bergues nous ramène sur la place.
Cap au sud par la rue de Wormhout.
Passage devant la brasserie Thiriez. Celle-ci est née en 1996 sur le site d’une ancienne ferme-brasserie. On y brasse la bière locale, la blonde d’Esquelbecq.
Nous suivons la rue des Vétérans sur un bon kilomètre jusque la Plaine au Bois, site de mémoire de la Seconde Guerre mondiale où s’est produit un massacre honteux.
Le 28 mai 1940, alors que les combats faisaient rage, les Allemands attaquent le nœud routier de Wormhout, point stratégique de leur progression vers Dunkerque, défendu avec acharnement par les Britanniques. Durant cet affrontement, une centaine de soldats anglais sont faits prisonniers, puis menés et enfermés dans une grange implantée sur une pâture au lieu-dit « la Plaine au Bois » à Esquelbecq. Ils sont alors assassinés par des membres du régiment SS d’Adolf Hitler, la garde personnelle du führer, qui n’ont pas supporté que l’on puisse leur opposer une telle résistance. Cette exécution, ponctuée d'atrocités, est connue sous le nom de « massacre de Wormhout » bien qu'elle ait eu lieu en réalité sur la commune voisine d'Esquelbecq. Le site de mémoire de la Plaine au Bois, où s’est produit ce massacre honteux, existe grâce à la vigilance d'élus qui ont d'abord évité que la pâture ne soit soumise au remembrement et devienne ainsi un champ tout à fait banal. Le visiteur y découvre une réplique de la grange au toit de chaume où a eu lieu le carnage, une stèle qui rappelle la mort de 300 personnes combattantes et civiles, ainsi qu’un belvédère de cinq mètres de haut. Le livre « Le Massacre Oublié » publié en 2001 raconte ces faits historiques.
Retour par le chemin de Rubrouck, puis par un sentier de terre qui nous ramène au château :
Le château d’Esquelbecq a la forme d’un grand quadrilatère flanqué de huit tourelles. Un liseré de pierres blanches le ceinture à mi-hauteur et aurait pour signification la haute puissance des seigneurs du lieu. L’édifice, auquel on accède par deux ponts, est entouré de douves.
On suppose qu’un premier château en bois a existé dès le 9ème siècle afin de protéger des invasions nordiques mais rien ne prouve qu’il existait à l’endroit actuel.
La dernière restauration générale du château date de 1606, date que l’on pouvait lire sur le donjon avant son effondrement. Cette restauration permit de rajouter de nombreuses fenêtres dans les murs dont l’épaisseur dépasse parfois 1 mètre en certains endroits de leur base.
Le château et ses dépendances ont été inscrits à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques le 24 juillet 1944. En septembre 1984, l’effondrement du donjon suscita la création d’un comité de sauvegarde du patrimoine d’Esquelbecq qui permit le classement de l’édifice en tant que Monument Historique.
On peut apercevoir depuis ses grilles : le colombier datant de 1606, le jardin à la française jouxtant un parc boisé, la conciergerie (1590).
De retour sur la place, nous voilà face à l’église, hélas fermée, malgré les appels infructueux aux édiles par un sympathique bouquiniste pour nous la faire ouvrir, dommage !
L’église Saint-Folquin d’Esquelbecq est très ancienne (10ème siècle). Elle a été constamment remaniée jusqu’au 17ème siècle pour devenir une hallekerke typique des Flandres. (3 nefs même hauteur qui communiquent entre elles).
Celle-ci présente en effet trois nefs d’égales dimensions. Elle est classée à l’inventaire des Monuments Historiques depuis le 20 juillet 1945.
L’église du village est dédiée à Saint-Folquin, cousin germain de Charlemagne et 15ème évêque de Thérouanne, mort à Esquelbecq le 14 décembre 855. Ce dernier est invoqué contre les fièvres et pour les femmes en mal d’enfant.
Malheureusement, le 11 avril 1976, dimanche des Rameaux, vers 17 h 30, un gigantesque incendie a ravagé totalement l’église. Seuls les fonts baptismaux et la sacristie ont été épargnés. L’église fut rouverte au culte le soir de Noël 1978. Le caractère architectural flamand des 16ème et 17ème siècles auquel s’est attaché l’architecte est une belle réussite.
Cette balade patrimoniale nous a ouvert l’appétit et il est temps d’aller se restaurer !
Carbonnade flamande ou autres mets délicieux nous attendent à l’estaminet « La Régalade ».
Après le repas, visite du musée des Gigottos : Atelier de création d’automates surprenants et rigolos contenant une belle collection de personnages tous créés sur place.
Déambulation autour de la place à la découverte des bouquinistes avant le retour à la maison.
Journée bien remplie !
Merci à tous les participants.