Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking attenant à l’église.
31 marcheurs sont au rendez-vous pour cette belle journée d’été, ensoleillée avec des températures agréables.
Nous accueillons Brigitte, Marie-France, Florence, Sophie et Guy pour la première fois, bienvenue !
Nous empruntons la rue Fond Adam, puis le Chemin de Wissant. Des anciennes plaques de béton sont encore visibles sur ce chemin, trace d’un ancien taxiway (voie de circulation des avions) d’un aéroport allemand de la dernière Guerre Mondiale.
Un chemin en pente douce nous amène jusqu’à la ferme au lieu-dit « Les Flaquettes ».
Nous cheminons sur un joli sentier en lisière de la forêt domaniale de Guînes en direction du Mont de Plaisance.
Les essences variée des arbres avec notamment des chênes majestueux ne nous laissent pas indifférents. Quelques uns, hélas, n’ont pas résisté à la dernière tempête et sont couchés avec leur souche impressionnante en l’air, laissant un énorme trou. Heureusement, certains ont été tronçonnés pour libérer le passage.
Nous quittons les bois, pour une large voie tout en montée jusqu’au lieu-dit « Le Grand Air », point culminant de notre randonnée avec un panorama superbe sur la campagne environnementale.
Traversée avec prudence de la D127, et descente douce par une partie du Chemin de Wissant jusqu’à un sentier en terre qui nous ramène à Caffiers en passant derrière la Maison de Retraite.
Merci à tous les participants.

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Tout vient à point à qui sait attendre. Après avoir écourté l'an dernier cette randonnée du fait d'une météo « shower », nous l'avons effectué dans son intégralité, grâce à une météo « dry ».

Partant d'Audembert, au parking nous nous extasions sur l'exposition des panneaux à l'effigie de Jean de la Fontaine et de ses fables (que de souvenirs !!!). Nous empruntons les chemins vers les Grares, la Fosse, la plaine du Colombier ainsi que le GR 128/145 GRP Tour du Boulonnais/Calaisis. Nous passons devant la ferme d'Herlen avant de nous diriger vers la Basse Sombre. De là nous cheminons sur le PR via le Fond de Sombre, la Terre des Petits, les Monts, la Vallée des Cailloux, et gagner Hervelinghen. Durant la longue montée du PR, nous avons partagé le chemin avec de très nombreux vététistes.

Lors de la pause déjeuner, nous recevons un superbe accueil au camping « Les voiles des 2 Caps » de la part des propriétaires, et ce, dans un endroit très « cosy ». J'ai du « extirper » nos joyeux randonneurs de ce cadre pour les ramener à leur point de départ. Pour cela nous nous dirigeons vers le Mont de Couple qui culmine à 163m (très belle montée). Évidemment, une pause s’impose afin de profiter de ce paysage à 360 degrés. Nous cheminons dans la réserve naturelle départementale, bifurquons vers la Vallée de Boulogne, le Dizacre, la Baronnerie, les Experts, la Cantraigne, la Vallée d'Audembert et rejoignons notre point de départ.

En fonction de notre cheminement, nous avons observer un panorama sur un environnement boisé, maritime, agricole qui n'a cessé de nous ravir. Cet espace fait partie intégrante du Parc Régional des Caps et Marais d’Opale ainsi que de la Terre des 2 Caps.

« La Baronnerie-Ferme et le Dizacre-Ferme » faisaient parties de l'une des 12 baronneries des puissants comtes de Boulogne au Moyen-Age. La guerre de cent ans fut la 1er cause de leur décadence. « La Baronnerie du Dizacre » a été confisquée pour crime de lèse majesté, et a été annexée au domaine de Wissant. Les héritiers refusèrent de renoncer à leur titre de baron car ils devinrent de simples exploitants en 1574

Audembert est traversé par le ruisseau de Bazinghen, cours d'eau naturel de 7,96 km, qui prend sa source dans la commune de Tartinghen, et, se jette dans la « fausse rivière » à Marquise.
La formation toponymique germanique est francisée par la suite ; Audem représente un nom de personne « Hundo » ou le nom d'un chien (flamand moderne hond=chien). Le second élément est l'appellatif germanique « berg » « colline, mont... » qui désigne une élévation. Le sens global désigne « le Mont appartenant à Hundo ou au chien »

Wissant est un ancien village de pêcheurs qui a su préserver son patrimoine maritime. Autrefois on y pratiquait la pêche au flobart qui est un bateau à échouage en forme de coquille de noix. La maison du pécheur traditionnelle, est composée de la salle à vivre et la chambre. Bon nombre de peintres ont produit des toiles relatant le quotidien de cette époque.

Le ruisseau d’Herlen, prend sa source au pied du Mont de Couple passe à proximité de cette ferme, manoir datant du XVIII ème siècle. Il alimente le moulin de la ferme fabriquant de la farine jusqu’en 1945.

Le Mont de couple le plus fréquenté du monde est une réserve naturelle régionale, classé en 2011 avec une vue exceptionnelle sur les deux caps, l’Angleterre et l’arrière pays, culmine à 163m Autrefois couvert d’une forêt déchiffrée puis pâturée, le Mont a été longtemps fermé au public , car la 2nde guerre mondiale en avait fait un lieu d’observation, il en reste des casemates et bunkers.

C’est avec un très grand plaisir que je vous ai guidé. Votre bonne humeur, toujours présente a émaillé notre parcours et je vous en remercie. Je remercie également Francine, Christian, Dominique et Laurence qui ont représenté efficacement l'ARCO au forum des associations à Marcq

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Nous étions 32 randonneurs aujourd’hui à BAZINGHEN. Bon pied bon œil sous un soleil magnifique quoique venteux malgré tout.

La randonnée s’est déroulée dans la bonne humeur, sur les hauteurs surplombant tantôt la mer, tantôt la campagne vallonnée.

On pouvait apercevoir de temps à autre, au fil de notre progression, les marres des chasseurs en contrebas en zone humide, moins que d’habitude évidemment à cause de la sécheresse.

Et, tout le long du chemin, les restaurants des oiseaux !!

Les haies regorgeant de mûres sauvages mûres à point étaient autant d’occasion de s’arrêter. Open bar pour tout le monde … et nous en avons bien profité.



Les rendez-vous pour les 2 prochaines rando :

- de dimanche 4/09 « AUDEMBERT » animée par Patricia

- de mardi 6/09 « CAFFIER » animée par Pierre

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Balade dans la campagne Marckoise entre champs et watergangs
Cest par un beau soleil et une belle journée que c ‘est déroulé cette randonnée
nous sommes partis de Marck dit les basses communes et nous nous sommes dirigés vers le canal de Marck que nous avons longé jusqu’à la ligne de chemin de fer en passant par le pont fontaine qui délimite Marck de Guemps : donc nous voilà arrivé à guemps
Nous avons emprunté le chemin jusqu’au pont d’Arras et le pont de planche tout en longeant les rues de le rivière d’oye jusqu’au pont d’offekerque ensuite nous avons marché sur la D 230 quelques centaines de mètres pour finir par emprunter un chemin communal et entrer dans un corps de ferme ; nous voilà arrivé a la ferme du beau pays appartenant à Pierre Lavallée ( 30 ans ) depuis 3 générations cette ferme est entourée de 1,5 ha de jardins et d’étangs que nous allons visiter cette après midi puis retour dans les basses communes
je vous remercie de votre présence en espèrant que vous avez aimé cette randonnée
L’ensemble de l’arco vous remercie encore de votre accueil apéro barbecue préparé par Sylvie et Lucien encore bravo

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:Agréable balade d’Audinghen à Audresselles par bois et campagne retour par la côte avec en ligne de mire les falaises de Douvre
Départ depuis le parking de la maison des deux caps , nous empruntons le chemin qui longe le musée , au passage nous nous arrêtons devant le fameux canon allemand k5 dirigé vers les côtes anglaises qui durant la deuxième guerre mondiale pouvait tirer des obus sur une distance de 84 km
Ensuite nous traversons le bois d’Haringzelles ou se trouve encore 2 imposantes casemates , nous continuons notre chemin traversons la D 940 et suivons le Pr qui nous mène à Audresselles . Le retour se faisant par le GR120 qui suit la côte remonter par le cran poulet et retrouver le parking
Randonneurs bien contents, de cette petite balade et de la reprise de nos randonnées Vive la rando merci à tous

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C'est par une belle journée ensoleillée avec un léger vent rafraîchissant que c'est déroulée cette rando.
Partant de Bouquehault nous nous dirigeons vers les Dix Mesures, le Blanc Elèvre, la Vallée, et, le moulin de Bouquehault. Puis nous passons par le Mont Gardin, le bois de Bourgogne et de Balinghen pour arriver à Ecottes lieu de notre pique-nique, où nous avons pu visiter l'église. De là nous faisons un boucle autour du Fond d'Ecottes où nous avons pu voir le circuit de buggy qu'affectionne Jean-Pierre. Nous regagnons Bouquehault en s'arrêtant pour admirer le château de Dippendal.

Bouquehault ; ce toponyme d'origine franque associe le terme « boëk » ou « hêtre » et le suffixe « hulta » qui signifie « le bois ». Bouquehault c'est donc le bois des hêtres.
L'église de Saint Omer ; à la veille de la Révolution, celle-ci avait à peu près son aspect actuel. Seule la tribune et une chapelle baptismale furent ajoutés en 1852 et en 1859.
Philippe de Montgardin ,baron au 12ème siècle gravitait autour d'Arnault seigneur d'Ardres et fils de Baudin II comte de Guines, lui racontant des récits épiques sur les croisées et la conquête de Jérusalem.
Le moulin de Bouquehault ; aujourd'hui, il ne reste qu'une tour de pierres. Construit avant la Révolution, il fut déclaré bien national puis vendu à une famille du village. Reconstruit en 1875 il cessa de fonctionner en 1943. Frappé par la foudre, il fut laissé en l'état et son mécanisme vendu pour servir à la restauration d'un autre moulin.
Ecottes est un hameau de Licques Les anciennes mentions du lieu remontent au 12ème siècle comme Agincota et Aicota. L'église Sacré Coeur vêtue de craie et d'ardoise ,doit son origine à l'abbé de Montgazin qui en 1760 fit construire une chapelle puis intégra les fonds baptismaux. La cloche fut installée en 1861.
Le château de Dippendal ; fut construit par le sieur Nicolas-Antoine Bernet qui avait racheté des terres au marquisat des Calonne-Courtebourne durant la Terreur. La façade de l'édifice fut remanié en 1830.

Je vous remercie pour votre présence, j’espère que vous avez apprécié la randonnée Nous nous retrouverons le mardi 23 août à Audighen au bois d'Harinzelle après une courte pause estivale.

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29 participants en cette après-midi caniculaire pour une grande partie de la France sauf à Audinghen où il fallait la polaire ou le coupe-vent !
Nous accueillons pour la première fois Arlette et Michel d’Ambleteuse. Qu’ils soient les bienvenus.
Après la traditionnelle photo de départ devant une « deux chevaux », nous partons vers le chemin côtier, pour rejoindre le Cran Poulet. La marée est haute et les vagues viennent se fracasser à nos pieds. Nous partons vers le nord pour, successivement, franchir les crans « Aux Œufs », « Barbier », et « des Sillers ».
Les crans sont des brèches dans la falaise, creusées par un ruisseau et permettant un accès facile à la plage.
Le cran de Quette n’est plus accessible après l’effondrement d’une passerelle et d’une partie de la falaise au Sud du Cap Gris Nez. Dommage, nous avions toujours plaisir à revoir la petite de famille de phoques qui a établit ses quartiers à cet endroit.
Voici Framezelle qui nous fait évoquer Raoul de Godewarsvelde, natif du hameau. Au loin, nous apercevons le clocher extérieur de l’Église d’Audinghen en forme de Lyre.
Le vent de face, semble vouloir nous empêcher de revenir sur la Maison des 2 Caps. En face du Musée de l’Atlantique d’important travaux sont en cours : il s’agit de créer une zone d’accueil pour tous types de véhicules. Un équipement qui va favoriser l’activité touristique.
Nous nous quittons sans oublier de rappeler notre dernier RDV, dimanche prochain à Bouquehault avant la pause estivale , et la reprise le 23 Août ici-même à la maison des 2 Caps.
A très bientôt !

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FOREST GUINES », rien que le titre et vous avez compris : 0n ne va pas rigoler !

Nous étions 33 participants à la rando et 38 au moment de convivialité.

Du fait du nombre de participants, les voitures resteront au parking pendant notre moment de convivialité.

Le parcours initialement prévu à 12km est à l’unanimité porté à 13,6 km !

Tel le héros du film, il nous faut courir, heureusement Catherine (simule) une chute qui génère un regroupement. Quel talent … on y a cru….

Une fois repartis nous abordons la forêt, peuplée, comme chacun sait, d’êtres étranges (VTTistes, joggeurs et même randonneurs) avec qui nous faisons ‘’bon ménage’’

Au retour, un petit passage difficile à la sortie de forêt avec une nouvelle chute mais sans gravité. (Nous vivons dangereusement)

Ouf ! C'est l’arrivée et bien que la météo soit à risques, tout le monde s’installe dans le jardin à Hames-Boucres pour fêter pas 1, pas 2 mais 3 anniversaires de Patricia, Marie et moi-même.

Un apéritif des îles et une question (presque insoluble) mettent le groupe en effervescence et la question reste sans véritable solution… Néanmoins, afin de récompenser l’ensemble du club, c’est à Yves notre président qu’est remis le gros lot :

- un superbe jeton de caddie estampillé ‘’Carrefour’’, valable partout en France, sans limite de durée !

Yves n’a d’ailleurs pas caché sa joie !

Puis une collation abondante préparée par les 3 hôtesses aidées de camarades a nourri les 38 participants !

Notons que ce repas fut émaillé de bonne humeur, d’attention et de joyeux chants.

Merci à tous pour ce moment qui nous restera en mémoire.




P.S. : Quand fut venue l’heure de la séparation, en véritable randonneurs chacun est parti retrouver (je l’espère) son véhicule

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Rendez-vous à 14 heures de la salle Calquella pour une balade organisée et guidée par Pierre.
25 marcheurs sont au rendez-vous pour cette belle journée d’été, ciel un peux nuageux, mais températures agréables.
Nous nous élançons sur les hauteurs de Coquelles en direction du Fond de la Forge.
Le Fond de la Forge est une ancienne carrière de craie. La partie supérieure du site abrite des pelouses calcicoles pâturées par les génisses d’un éleveur local. Elle offre un point de vue remarquable sur la plaine maritime du Calaisis.
Nous passons à proximité du terrain de moto-cross et nous nous dirigeons ver la Cimenterie. Le ciel est clair et la vue sur le détroit est splendide.
Nous empruntons la Digue Camin goudronnée, puis la Digue Royale sur un chemin de terre.
Les Digues Camin et Royale, vestiges du passé, furent érigées pour faire face aux irruptions de la mer à l’intérieur des terres du Calaisis.
Retour par les rues du quartier « les Cottages » de Coquelles, puis la coulée verte le long de l’A16 jusqu’à notre point de départ.
Rendez-vous pris pour la prochaine randonnée, ce dimanche à Hames-Boucres, avec Francine F notre guide du jour.
Merci à tous les participants.

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Randonnée à Sorrus le 24 juillet 2022
C’est après avoir bu un petit café que les 20 randonneurs se mirent en marche pour 11 km à travers champ sous une température déjà chaude, les passages ombragés étaient les bienvenus.
A l’entrée du bois Chandeliez , à mi-parcours, une petite pause gourmande a été appréciée et c’est dans la bonne humeur que nous sommes repartis vers la D145. Nous avons pu admirer au passage le château de la Bruyère. C’est par cette D145 que nous sommes entrés dans Sorrus afin de regagner notre point de départ, la maison des animateurs, en passant devant la belle église de Sorrus.
Après le pot de l’amitié, l’apéro pour ceux qui n’auraient pas compris, nous avons apprécié notre pique-nique avant de repartir, cette fois , en voiture pour Argoules et visiter l’Abbaye de Valloires et son jardin.
Un dernier verre vint clôturer cette belle journée ensoleillée

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Compte rendu de la randonnée du mercredi 20 juillet à Guînes «Le mont de Plaisance»

21 participants pour cette rando reportée au mercredi pour cause de canicule la veille.
C’est avec soulagement que nous retrouvons une température ordinaire en ce 20 juillet, surtout dans cette forêt fraiche mais bien sèche !
Quelques reliefs agrémentent ces chemins forestiers, parfois rectilignes, parfois sinueux. Nous croisons de nombreux chemins balisés dans cette forêt très fréquentée.
Le Mont de Plaisance culmine à 105 m, mais on ne saura jamais pourquoi il se nomme ainsi !
Notre tranquillité est soudain troublée par un vacarme impressionnant : le TGV vient de passer à quelques mètres de nous. Il emprunte la voir qui relie Paris à Londres, et nous essayons d’orienter ces deux villes dans notre paysage.
De passage au parc de loisirs accrobranches, on s’imagine prolonger notre randonnée … dans les arbres !
La moisson bat son plein et nous admirons la technicité efficace des machines qui peuvent récolter une grande parcelle en si peu de temps.
Nous nous quittons sans oublier de rappeler nos prochains rendez-vous : dimanche prochain à Sorrus et le mardi suivant à Coquelles.

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Rendez-vous à Alquines à 9 h pour une randonnée en deux parties : « Le Bois de Fortetaille », le matin et « Le Circuit de l’Ecliette », l’après-midi.
19 randonneurs sont résolus à profiter de cette belle journée d’été, qui s’annonce très chaude.
Alquines est une commune de plus de 1000 habitants.  Le village appartient à l'arrondissement de Saint-Omer et fait partie de la Communauté de Communes du Pays de Lumbres. L’histoire de ce bourg est fort ancienne puisqu’on le trouve cité au début du 12 siècle sous le nom d’ALEKINA en raison d’une voie romaine « l’ALEKINA » qui l’aurait traversé.
Nous quittons le village et empruntons un chemin de terre tout en montée à travers le bois Lottin jusqu’au Mont Breuchet. Un chemin à travers champs nous mène au lieu-dit « Le Buisson ». Descente par un sentier jusqu’au bois de l’Eglise et traversée du hameau de Fromentel.
Nous passons à proximité d’un élevage de cerf près du bois de l’Epesse, puis c’est la descente du Mont Vert. Nous sommes au creux de la vallée d’Alquines et nous entamons une longue remontée par une petite route de campagne, le terrain est dépourvu d’ombre et les organismes sont mis à rude épreuve avec la chaleur. Nous arrivons au lieu-dit « Les Bullescamps » à 212 mètres d’altitude, nous sommes sur le point culminant du Pas de Calais.
Un chemin nous conduit vers le bois de « La Forte Taille » que nous traversons par un joli sentier en sous bois avant de redescendre au village.
C’est au café « La Descente », tout nouvellement ouvert, que nous prenons notre pique-nique accueilli par le jeune patron Cédric. Moment réconfortant en terrasse.
Avec un groupe réduit à 12 personnes, nous entamons notre dernière boucle avec l’ascension du sentier de l’Ecliette qui nous amène sur les hauteurs du Mont de Héteux. Assez pénible au vu de la température élevée et l’estomac plein ! Mais bon, le plus dur est fait, on traverse le plateau et le reste du parcours se fera en descente jusqu’à Alquines.
Belle balade dans la campagne Alquinoise sous un soleil magnifique avec tout de même un dénivelé positif cumulé de 350 mètres et des températures très élevées. Bravo à toutes et à tous.

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Rendez-vous à 14 heures pour une balade organisée et guidée par Dominique et Pierre.
Nous sommes 25 au départ de la mairie de Wimille.
Nous traversons le joli village de Wimille et poursuivons par le sentier de Lozembrume qui longe les jardins du château.
Une petite route de campagne nous mène à Honvault. Puis un chemin de terre, tant soit peu boueux, contourne le camping « L’Eté Indien » jusqu’au centre équestre.
Nous empruntons la piste cyclable le long de la D940 sur quelques centaines de mètres.
Retour par le GR du littoral à partir de la pointe de la Crèche sur un sentier nouvellement réaménagé.
Superbe point de vue, avec d’un coté en direction du Calvaire des Marins, le port de Boulogne et de l’autre en direction de Wimereux, le Cap Gris-Nez, le tout, avec en toile de fond, les côtes anglaises.
Après la digue piétonne très fréquentée, nous longeons la rivière « Le Wimereux ».
Passé le pont, nous remontons toujours le cours de la rivière en suivant le quai de Wimille, puis empruntons un sentier à travers le parc verdoyant d’Houlouve jusqu’à notre point départ
Agréable randonnée, sous les cieux du Boulonnais.
Températures caniculaires, heureusement qu’un petit vent, bien que chaud, nous a accompagné sur une bonne partie du chemin.Voila une belle journée d’été ! Que demander de plus pour un randonneur !
Merci à tous les participants
A bientôt, pour la découverte d’autres paysages…

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31 participants pour une rando de 12,7km à travers la campagne Guinoise. Nous partons de l office du tourisme située sur l ancienne minoterie Boutoille .l alliance du moderne et de l ancien est une belle réussite pour ce lieu où l on peut pique- niquer et se promener .nous empruntons ensuite le chemin du petit St Blaise (St patron des agriculteurs )qui nous amène sur la route Guines-Calais. Notre périple continu le long du canal de Guines jusqu au pont du marais rénové il y a peu de temps .Nous passons par le vélo route et l ancienne ligne de chemin de fer (ligne d Anvin)qui nous ramène vers l intérieur de la ville au niveau du toune puit.Apres le passage du boulevard Blanchard nous montons en direction du bois à travers un chemin boisé. les muriers sont en fleurs ce qui prédit une bonne récolte pour les confitures . au niveau du moulin aux corneilles nous avons une vue magnifique de la campagne verdoyante .près du calvaire nous traversons la route qui mène à Fiennes pour finir notre parcours en longeant le camping de la bien assise. Le temps était beau et l ambiance chaleureuse

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16, 18, 19 et enfin 20 randonneurs, aguerris, ont posé pour la traditionnelle photo de départ, puis ce fût l’aventure du sentier du Tilleul à l’envers (n’allez quand même pas croire que les racines poussent vers le haut).

Dés la sortie du village une traversée de route, faite avec prudence, nous donne accès à la campagne.

Au Mont Blanc, nous prenons 90° à gauche avant d’atteindre le Bois du Mont et son célèbre raidillon.

En haut, une pause pour admirer le panorama vers le boulonnais et c’est reparti au pied des éoliennes jusqu’au rel ais télécom ; à nouveau une traversée de route et cap sur Caffiers, la coupe du lin génère beaucoup de poussière…

Encore 90° à gauche et nous rentons au village en passant prés du fameux ‘’Tilleul’’ avant de rejoindre le parking en ayant profité d’une météo des plus agréables.



RDV dimanche à Guînes pour 12 km et mardi prochain à Wimille pour 8 km.

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C’est par une belle journée que nous parcourons 18km (12km le matin, 6km l'après midi) avec un dénivelé positif cumulé de 203m et un dénivelé négatif de 196m. Le point le plus haut culmine à 100m.
Rappelons notre parcours :partant du parking du collège le Trion, nous nous dirigeons vers la place de Samer, puis vers Lédre, Bellozane, l'Enfer afin d'atteindre Carly. De là, nous traversons le cimetière pour prendre le PR, passons à proximité de la Liane, et poursuivons notre parcours qui est des plus bucolique, et, continuons vers ; les Places, le petit Houret, les Chasses, Hurtevent, le Mt Cornet la plaine du Droret pour arriver à Questrecques. Nous persévérons par le Camp Delcroix , le Brunquet, les Plaisirs pour arriver au bistrot St Gendulphe où nous sommes cordialement accueillis dans un cadre très agréable pour notre de pique-nique. Nous reprenons notre périple vers le Font Manoir en direction du parcours de la Blanche Jument que nous délaissons pour rallier notre point de départ à Samer.
Au coeur de la boutonnière du boulonnais, le Hourquet permet de découvrir à la fois les richesses du patrimoine bâti local, et, les paysages typiques du bocage. Il fait parti du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale. Au VIIème siècle, ce territoire est connu sous le nom de SYLVACIUS. La terminaison de ce nom semble gauloise, et signifie "pays de bois". En effet, la contrée était l'extension de la forêt de Boulogne.
Patrimoine culturelle:
L'origine de Samer très ancienne. Fut découvert dans les environs, de nombreux cimetières que les archéologues font remonter au temps de Mérovée.
L'église St Martin, de style flamboyant est construite sur la base d'une chapelle du XIIe siècle, elle est agrandie au XVe siècle, et forme un ensemble original avec les demeures accolées. L'abbaye de St Wulmer, site religieux très ancien, qui est à l'origine du bourg abrite désormais un presbytère et une école privée. A visiter le musée JC Cazin qui était un illustre peintre, graveur et céramiste ainsi que le musée de la nature créé par André Caron Géologue.
Carly, l'église St Martin a été refaite fin XIXème siècle avec les fonds baptismaux du XIIIème siècle classés, provenant de la 1ère église. Le manoir de Contery dont les origines sont anciennes ainsi que la ferme du Grand Houret datant du XVIIème sont visibles.
Questrecques, est un village plein de charme ; patrie imaginaire du merveilleux humoriste patoisant Ch’guss, situé sur le cours de la Liane, entre Carly et Wirwignes, touchant Samer et Wierre au Bois. Vous découvrirez son église Saint-Martin de stye ogival du XVIème siècle, son château du xvème siècle, et les vieilles résidences comme la Halle du XVIIème siècle, le Hamel et les Camps Grelins.
Légende, La Fontaine de Saint-Gendulphe à Wierre-au-Bois
Selon la légende, Gendulphe ayant des doutes sur la fidélité de sa femme l'invita à plonger son bras dans une fontaine pour y prendre une pierre. L'impudique ne craignant pas le jugement de Dieu trempa son bras dans l'eau et l'en ressortit tout brûlé. Gendulphe quitta son épouse, mais celle-ci se vengea en le faisant assassiner par l'un de ses amants.
Toponymie: Carly, viendrait de l'anthroponyme gallo-roman Quartilacius "nom d'homme en latin" suivi du suffixe aucun "domaine" avec la terminaison Y, donnant le domaine de: Quartilius au dessus du fleuve.
Hourquet viendrait du Néerlandais Hulke signifiant un bateau à la forme arrondie avec une vitesse peu performante. Par ironie, hourque s'applique à un bateau mal construit, et qui avance lentement naviguant sur les eaux du Houret , affluent de la Liane.
Hydrographie: La présence du fleuve la Liane qui se déverse dans la Manche, les cours d'eau environnants ( le Houret, le ruisseau de Wierre au Bois, l’Edre, le Brêle, le bois Labbé) font que Carly et les communes adjacentes subissent régulièrement les méfaits des crues.
Gastronomie: Ils est possible de se restaurer dans les estaminets et restaurants qui mettent en valeur entre autres les produits locaux et artisanaux comme la "fraise de Samer", le "vieux Samer" , la tarte papin et la bière "la Silvacius".
C’est avec plaisir que j’ai cheminé avec vous, et je vous en remercie. A bientôt sur d’autres randonnées.
La prochaine rando douce au départ de Fiennes se déroulera le mercredi 6 juillet.

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22 participants par cette belle après-midi ensoleillée.
Nous sommes accueillis par Blandine et Dominique, les « régionaux de l’étape ».
Et, dès le départ, c’est un festival de couleurs : Le patchwork des différentes parcelles de cultures, souligné par le vert profond des frondaisons, le ciel bleu lumineux parsemé de blanc, et … la mer toujours opale mais variante selon l’éclairage.
Nos photographes réquisitionnés en l’absence des spécialistes habituels s’en donnent à cœur joie !
Nous grimpons tranquillement sur ce fameux Mont de Couple par une des pentes les plus douces.
Mais l’effort est bien là car la chaleur est aussi présente.
Beaucoup de promeneurs sur le chemin :
• des Vététistes qui filent dans les descentes et même en montant grâce à une bienvenue assistance électrique.
• Tous les écoliers d’Audembert, très heureux de quitter leur classe pour aller chanter à tue-tête autour de la table d’orientation : « Aux champs Élysées ».
Une descente prudente vers Wissant avant de retrouver tranquillement le village de départ.
On se donne rendez-vous Dimanche prochain à Samer et mercredi prochain (et non mardi pour cause de Tour de France) à Fiennes.

Description:

Nous sommes 16 à 14h devant la
base de voile et de loisirs Tom Souville.
Cet équipement accueille des groupes et des individuels et organise ses activités sportives avec les clubs sportifs associatifs qui encadrent leurs propres activités (plus de 100 000 personnes par an dans sa globalité de fonctionnement).
Nous empruntons d'abord le chemin de randonnée périphérique du plan d’eau de 2.3 km.
À la sortie de la base de voile, nous traversons prudemment la D 940 pour rejoindre le GR 120.
Nous montons alors l'escalier situé derrière le VVF puis nous descendons vers la plage.
Nous nous dirigeons alors vers l'ouest en direction du sémaphore de Sangatte.
Aujourd'hui, le sémaphore est un poste de surveillance en bord de côte qui assure des missions diversifiées qui vont de l'assistance à la navigation jusqu'à la surveillance du territoire en passant par la régulation du trafic maritime et de la pêche.
Au sémaphore, nous rejoignons les dunes de Fort-Mahon.
Ces dunes ne dépassent pas une vingtaine de mètres de haut et environ 200 m de large et s'allongent sur 3 km.
Nous nous dirigeons alors vers l'est et continuons notre chemin à travers les dunes
jusqu'au niveau de l'escalier déjà cité précédemment puis nous regagnons la base de voile.
Ballade tranquille avec une météo mitigée en ce
premier jour d'été.

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Le col des 3 Sœurs
Le col des Trois Sœurs a été le théâtre d'une tragique histoire : en hiver, trois sœurs de La Panouse travaillant l'une à la Baraque-de-Bor, l'autre à la Baraque-des-Bouviers, et la troisième à la Baraque-de-la-Motte, reviennent tardivement d'un bal à La Villedieu et se laissent surprendre par la fournelo, sorte de tempête de neige fréquente en hiver en Margeride, sur les hauteurs ventées et dénudées du col. Elles s'égarent et périssent ensevelies sous la neige.

Le lendemain, avertis de l'inquiétante disparition des trois jeunes filles, les hommes du village montent au col et les retrouvent sans vie sous un épais linceul de neige. Selon d'autres versions, elles auraient été dévorées par des loups.

Depuis ce tragique événement, le col porte le nom des malheureuses sœurs.

Lorsque le brouillard ou la neige recouvrent la Margeride, les trois sœurs reviendraient hanter le sinistre col.
Nous partons donc à la découverte de ce col. La montée est longue et il faut ménagé le souffle !.Enfin arrivés à cette altitude de 1 454, une photo souvenir est réalisée avec non pas 3 sœurs mais 10 !
Nous poursuivons notre chemin par les buissons et autres petits résineux, passons quelques clôtures un peu étroites, et arrivons en vue du Roc de Fenestre. Et comme dirait JPF : « Et soudain le randonneur est récompensé par une vue à 360 ° ». Après avoir escaladé 2 amas rocheux, nous cherchons en vain le sentier qui doit redescendre dans la vallée.
Nous rebroussons chemin pour trouver une variante jalonnée de pieux chapeautés de marques orange vif. Sans doute un marquage spécifique pour l’hiver.
Pour traverser des grandes zones de pâturage nous devons franchir des échelles de bois avec plus ou moins d’élégance !
De retour à La Panouse nous sommes accueillis par Didier, un randonneur de « Sentiers en Margeride » qui nous fait découvrir son jardin extraordinaire. Nous y pique-niquons.
Puis en route pour Cellier, hameau de Saint Jean La Fouillousse. La balade nous fait découvrir d’abord une grande tour d’avant le XII ème siècle qui servait de défense, de refuge et surtout de cellier (d’où le nom du Hameau).
De retour aux bungalows l’averse orageuse nous réunit au chalet 9 pour un apéro bien à l’abri !

Jeudi 23 juin.
Changement de programme. Nous partons pour le Lac de Charpal. Le ciel est couvert. La météo peu favorable.
Ce lac, bien plus modeste que celui de Naussac est une réserve d’eau potable pour la ville de Mende. A l’origine il avait été imaginé pour y cacher des réserves de munitions après la première guerre mondiale.
Le tour du lac se parcourt sur des chemins très confortables, parfois aménagés en platelage au-dessus des tourbières.
La pluie s’invite un peu à notre cheminement mais sans gâcher le paysage que l’on dit ressembler au Canada.
Par contre, des nuées de mouches s’agglutinent autour de quelques-unes d’entre nous et c’est ainsi que pour leur échapper, Dominique H fait le parcours en un temps record !
Nous pique-niquons sur un muret . On apprend alors qu’un violent orage est annoncé dans l’après-midi. L’ascension du Truc de Fortunio est annulée et nous nous y rendons en voiture. A peine arrivé, on assiste en effet à l’arrivée de l’orage et nous avons juste le temps d’atteindre le belvédère avant de redescendre bien vite s’abriter.
Nous repartons vers Langogne et notre annexe préférée : le Saint Joseph !
Le soir nous dégustons un délicieux cochon de lait cuit à la broche avec quelques jambonneaux ! Un régal !

Vendredi 25 juin.
Coucouron, cette fois nous sommes en Ardèche. Le ciel est menaçant, le paysage est plus ouvert et notre regard porte loin vers des sommets arrondis. Nous partageons notre chemin avec un troupeau de vaches avant d’atteindre la table d’orientation de Chabanes à 1200 m pour bien situer le Mont Gerbier des Joncs, où la Loire prend sa source.
Puis nous atteignons le Moulin de Courbet avant de rejoindre Le Pièbre pour un moment de restauration bien mérité.
Une partie de la troupe rejoint Coucouron en minibus pour une découverte touristique du bourg tandis que l’autre partie poursuit le chemin.
Une fois la troupe réunie, nous partons pour Chaussenilles (près de Fontanes) pour y retrouver Manoël ATMAN, président de l’association Alliance avec les loups. Il nous emmène sur la piste du loup sur un parcours boisé et très pentu en surplomb de l’Allier. De nombreuses anecdotes et d’informations sur le vie du loup et de son organisation en meute. Nous découvrons une Louvière, une tanière con campement d’observation. C’est un passionné qui vit au plus près de la nature et des animaux sauvages. Le cheminement n’est pas facile, il n’y a pas de chemin, et nous devons prendre mille précautions. Ce qui n’empêche pas quelques chutes, heureusement sans gravité et un peu de stress pour Sylviane, qui solidairement encadrée et accompagnée finit sans encombre ces passages difficile.
Encore un grand moment !

C’est avec un peu de nostalgie que nous tenons notre dernière réunion apéro et pensons déjà au retour.

Description:

Samedi 18 juin
Après un long voyage, voici toute l’équipe à pied d’œuvre.
Tous ? Non, car Patricia s’est aperçu qu’elle avait oublié ses chaussures de marche dans son coffre à Bonningues !
Christian et moi l’accompagnons à Langogne, petite ville toute proche où elle trouve facilement chaussures à son pied ! Ouf !
Nous sommes très bien installés dans des chalets lodges prestige ! Et c’est le cas de le dire : 2 chambres spacieuses, 2 Salle de bains avec toilette.
À 19 h nous sommes déjà à table pour un pot d’accueil, où Margaux, notre hôtesse nous présente toute l’équipe qui sera à notre service au cours de la semaine. Tout le monde est au petit soin pour trois groupes (des cyclistes et des randonneurs).
Repas copieux et délicieux et petite réunion près des chalets, pour présenter la première randonnée et son organisation.

Dimanche 19 juin
Bonne fête à tous les papas !
Après un petit déjeuner peut-être un peu trop copieux, nous partons du camping à pied en longeant le lac. On apprend que dans les profondeurs de celui-ci le vieux Naussac est immergé. Certains d’entre nous, cherchent si le clocher de l’église ne sort pas de l’eau !
Avec une superficie de il contient m3
Nous passons sur une digue qui sépare le petit lac du grand Lac. Puis nous longeons les rives pour atteindre la cascade du Donozau. Ce petit ruisseau se jette dans la lac normalement par une très vive et spectaculaire cascade.
Mais avec la sécheresse qui sévit depuis quelques jours, celle-ci est bien modeste.
Nous poursuivons notre parcours par un chemin qui très pentu et assez difficile. Le souffle manque parfois, l’équilibre aussi. La prudence est de mise ! Enfin nous franchissons ce passage difficile , fiers d’avoir franchis l’obstacle. Nous retrouvons les bords du lac avant de découvrir un petit coin ombrageux équipé de tables de pique-nique. On y déjeune tranquilles.
Bien restaurés nous repartons vers le golf où 5 d’entre nous retrouvent le voiture de JP.
Allez il faut maintenant filer vers Langogne. Là nous retrouvons nos amis qui nous ont déniché la terrasse du Saint Joseph à l’ombre pour y déguster quelques boissons rafraichissantes dont la célèbre bière ambrée « La bête » (du Gévaudan bien sûr).
Après cet agréable moment de repos nous terminons notre parcours par une dernière grimpette et une arrivé directe aux chalets !

Un traditionnel apéro devant l’un des chalets. Moment très convivial et chaleureux avant un dîner délicieux.

Lundi 20 juin
Un petit déjeuner plus tôt nous permet d’avancer quelque peu le départ pour Saint Symphorien en Margeride.
Nous découvrons d’abord le belvédère. Paysage de collines parsemé  de bouquets de résineux et de pâturages, quelques chaos granitiques et de familles de magnifiques bovidés (certainement Aubrac) toutes organisées autour du taureau dominant et des vaches entourant maternellement leurs jeunes veaux soit un peu craintifs ou au contraire trop curieux.

Dès le début, une chienne très sympathique, Sarah, de la race des gardiens de troupeaux, nous accompagne. Elle fera tout le parcours avec nous, surveillant notre cheminement et même nous faisant comprendre que parfois nous prenions le mauvais chemin !

La chaleur se fait parfois pesante et suffocante, le vent chaud du Sud-Ouest a bien du mal à nous rafraichir.
Les dénivelés positifs nous coupent le souffle, et les négatifs font souffrir les genoux.
Et c’est bien fatigué que nous arrivons vers 13 h au Moulin de Fortune. Là Christiane une habitante accepte de nous recevoir dans son jardin ombragé afin de pouvoir pique-niquer en toute quiétude. Quelques une d’entre nous ont même le luxe d’avoir une chaise et un petite table !
Après ce repos salvateur 3 groupes se forment :
• 4 dames restent à l’ombre chez Christian, à papoter en attendant le minibus
• Un groupe de 5 entament une longue montée régulière de 4 km sous la chaleur
• 11 intrépides terminent la boucle prévue avec un chemin disparu et un beau dénivelé.
Yves et Christian retournent en minibus rechercher les 4 dames. Yves prend les coordonnées de Christiane pour la remercier encore de son très chaleureux accueil, et se voit offrir une liqueur de verveine maison !

Peu après nous voici tous réunis pou aller découvrir le château de Chambon. Hélas celui-ci est à peine visible.
Deux fois Hélas : les bars de Chambon sont fermés et la bourgade est désertique.
Nous repartons pour le viaduc de Chapeauroux avec ses 23 arches, difficilement observable depuis la route.
De retour au camping, vite une réunion au chalet n° 12 pour pouvoir enfin de désaltérer !

Mardi 21 juin
Nous suivons l’exemple des cyclistes pour petit déjeuner dès 7 h 30 et partons au départ du circuit de la Reisse non loin à Langogne. La Reisse en patois local désignait une scierie.
7 Km dont la première partie très pentue fait regretter aux gourmands un petit déjeuner trop copieux !
Bien en avance sur notre programme nous prenons le luxe de se rafraîchir dans un bar près du Pont d’Allier avant de rejoindre le square Stevenson et le Langouyrou où nous déjeunons face à un collège.
Après-midi , 2 dames décident d’investir la ville, 5 marcheurs font une boucle de 3 km, et le reste parcours le circuit de Langouyrou (8 km) en partie sur le chemin de Stevenson.

De retour en ville , un passage incontournable au « Saint Joseph » et sa maintenant célèbre « La Bête » avant de visiter le musée de la filature des Calquières.
Petites emplettes (dont des chaussures dans le magasin maintenant célèbre « Patricia ») avant de retrouver traditionnellement pour la concertation apéro. Mais ce soir, c’est la fête de la musique, et pour l’occasion notre chef de Fanfare JPF fiat répéter sérieusement chacun des pupitres :percussion et grosse caisse, cuivres, clarinettes, piano, … et même un sergent Major et sa majorette.
Une répétition générale exceptionnelle dans la puissance et la qualité d’interprétation, pour terminer par un émouvant solo de notre chef : « El têt éd viau ». Un grand moment qui a vu couler chez quelques participants quelques larmes !

Mercredi 22 juin.
Le col des 3 Sœurs
Le col des Trois Sœurs a été le théâtre d'une tragique histoire : en hiver, trois sœurs de La Panouse travaillant l'une à la Baraque-de-Bor, l'autre à la Baraque-des-Bouviers, et la troisième à la Baraque-de-la-Motte, reviennent tardivement d'un bal à La Villedieu et se laissent surprendre par la fournelo, sorte de tempête de neige fréquente en hiver en Margeride, sur les hauteurs ventées et dénudées du col. Elles s'égarent et périssent ensevelies sous la neige.

Le lendemain, avertis de l'inquiétante disparition des trois jeunes filles, les hommes du village montent au col et les retrouvent sans vie sous un épais linceul de neige. Selon d'autres versions, elles auraient été dévorées par des loups.

Depuis ce tragique événement, le col porte le nom des malheureuses sœurs.

Lorsque le brouillard ou la neige recouvrent la Margeride, les trois sœurs reviendraient hanter le sinistre col.