Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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30 randonneurs au départ pour ce bel après midi d’hiver, depuis le parking de la salle des fêtes direction Nord. Nous empruntons l’avenue de l’Europe ancienne RN1 puis la rue D’ Uzelot ,au bout nous empruntons un chemin qui longe l’autoroute et un passage par le tunnel nous rapprochant vers le vieux moulin du hameau de Bernes.Un sentier agréable nous amène aux abords de l’A16 périlleux passage par son intense circulation le PR nous fait traverser la zone artisanale de Marquise,et les carrières de la Vallée Heureuse . Nous nous rapprochons du village de Leulinghen ,un détour vers l’église de st Léger pour connaître une partie de son histoire, durant la guerre de cent ans du fait que la frontière Anglo- Française traversant son église plusieurs trêves furent signées à Leulinghen .Proche de l’église une pierre dressée ((bleue )) atteste aussi de cette démarcation.
en 1420 dans cette église le mariage de Catherine de Valois et d’Henri V d’Angleterre y fût célébré.
Également à côté de l’ église se trouve une chapelle dédiée à notre Dame de Fatima .
Nous terminons ensuite notre parcours par le lieu dit la Queue au Gibet et rejoignons notre parking
Agréable rando autour de Leulinghen Bernes avec un soleil radieux ,des chemins praticables et des superbes vues sur la campagne
Merci à tous ….,

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Nous sommes 30 pour notre première randonnée dominicale pour la saison 2024 sur les terres de Saint folquin , Cette randonnée a pour objectif premier le fleuve L Aa , Ce fleuve a souvent été mentionné ces derniers jours suite aux inondations dans notre région , Ce fleuve prend sa source à Bourthes et mesure 93 kilomètres et se jette dans la mer à Gravelines , A partir de gravelines nous longeons ce fleuve jusque Saint Folquin Les terres autour de Saint Folquin étaient envahis par l 'eau , Vers 1100 Les moines de l 'abbaye de Saint Busin ont arrachés les terres de la mer pour permettre la culture et la vie , Saint Folquin était un évêque de therouanne cousin de Charlemagne, la fin de notre randonnée nous empruntons une départemental sur lequel se trouve un mémorial suite a la perte de 41 civils belges et français en Mai 1940 pour défendre Saint folquin face à nos envahisseurs allemands entre le pont du bac et le pont du halot ,A l arrivée Dominique a offert une boisson a l occasion de son anniversaire Un grand merci pour ce moment convivial mais aussi aux participants de cette randonnée ,

A bientôt sur les chemins

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Nous sommes 33 randonneurs sur le parking de la Mairie pour cette première randonnée de l’année 2024. Un bon « décrassage » s’impose après les fêtes de fin d’année pour éliminer les quelques excès !
Nous partons pour une boucle sur les hauteurs, à l’est du village.
L'existence de Tournehem est attestée dès l'Antiquité, lorsque les légions romaines pénétrèrent dans la Morinie et que César prit cette place en l'an 57 avant notre ère. Tournehem était située sur la voie romaine reliant Boulogne-sur-Mer à Cassel. De ces fortifications part un réseau complexe de passages souterrains. Certains de ceux-ci rallient la chapelle Saint-Louis, d'autres se terminent à Ardres. En raison de leur dangerosité, les souterrains sont interdits au public et les visites ne sont plus autorisées.
Après avoir contourné l’église Saint-Médard, belle grimpette vers « Le Haut de la Leulenne », ainsi bien nommée. Nous contournons le bois d’Elloo par la vallée du Wat et la plaine de « La Belle Verdure ».
Un joli sentier ombragé nous ramène à notre point de départ.
Ainsi s’achève cette primo-marche avec une météo bien hivernale avec un froid vivifiant, mais le soleil était au rendez-vous. Merci à tous les participants et rendez-vous dimanche à Saint-Folquin.
Place maintenant à notre traditionnelle galette des rois.
Merci à Nicole notre charmante hôtesse du café de la Mairie qui nous a gentiment accueillis et proposés ces délicieuses pâtisseries.
Belle entame 2024 avec ce moment gourmand convivial et le plaisir de se retrouver autour d’un verre de cidre dans ce chaleureux estaminet.
Nos reines et rois du jour sont Francine F., Sylviane, Dominique H. et Philippe.
Bonne et heureuse année à toutes et à tous…

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Boulogne sur mer, 1er port de pêche avec une flotille diversifiée de près de 150 bateaux.
35 participants commencent par longer le Bassin Napoléon avec les bâteaux de plaisance, puis passons devant le chantier naval de la SOCARENAM, là où sont construits ou réparés les bâteaux, puis passons plusieurs tourniquets afin de passer l’écluse du bassin Loubet, réservé aux bateaux de pêche artisanales. Nous longeons ce bassin et gagnons la piste cyclable puis la darse Sarraz Bournet, ici ce sont de gros bâteaux de commerce pour la pâte à papier, les produits forestier, agrégats et les enrochements des carrières et zones de stockages.
Nous rejoignons l’ancien parking de l’hoverport qui permettait de 1968 à 1991, la traversée de la manche avec des aéroglisseurs (ou hovercraft) plus rapides que les ferries (25mn pour Boulogne-Douvres).
Nous faisons une pause, avant de monter une petite dune, mais raide pour arriver sur le plateau du Parc de la Falaise. Nous traversons ce parc de verdure et de jeux. Puis nous rejoignons le bois Farjon, que nous traversons. Nous passons devant un accrobranche et un magnifique terrain de boules couvert. Nous traversons la Liane, par un pont (ce fleuve qui a fait tant parlé lors des inondations, surtout celles de novembre). Quelques-unes nous quittent pour rejoindre les bords de Liane. Nous continuons vers le bord du quartier de Brequerecque et montons un beau chemin (où quelqu’un a indiqué « piste noire » direction de la haute ville et le bas des remparts. Nous traversons le jardin Mariette, le jardin Bucciali, le jardin des Tintelleries, plus ancien, qui était bordé par le ruisseau des Tintelleries où les teinturiers venaient laver leurs toiles. Nous découvrons un passage en forme d’arc de Triomphe, qui provient du second établissement des bains de mer contruit en 1861, auquel s’ajouteront théâtre, établissement d’Hydrohérapie, salle des fêtes, restaurant, casino, lequel sera détruit par un incendie en 1937 et le reste par les bombardements de la seconde guerre mondiale. Cet arche était l’entrée du casino. En sortant du parc, nous cheminons par des ruelles afin d’observer quelques street-art, 8 édition et 70 fresques, que l’on peut découvrir en parcours libre ou visite guidée, à travers toute la ville. Nous arrivons au bord de la Liane, pont Marguet
Un anglais qui a débarqué d’un ferry à Boulogne sur Mer, veut rejoindre le bâteau pour rentrer. Il interpelle, sur le quai, un marin occupé à ranger ses filets. « marguette pont please ? » Le marin de lui répondre : pourquoi que je n’arguetterais pont ? té marguettes bien ti. »
Nous avons commencé sous une bruine et fini cette belle randonnée sous le soleil.
Merci aux 35 randonneurs qui ont voulu découvrir Boulogne et une partie des jardins.
Rendez-vous l’an prochain découvrir d’autres parcs et jardins

Que pour les adhérents avec photos apéritives.
Retour aux voitures ou un apéritif fût servi à l’occasion de l’anniversaire de Martine L.

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking du cimetière Canadien.
31 marcheurs ont répondu présent pour notre balade estivale du mardi.
Départ du parking du Cimetière militaire canadien. Nous franchissons le pont au dessus de l’A16 pour accéder au hameau de Hauteville. Nous cheminons sur un sentier en contrebas de l’autoroute sur un kilomètre et la refranchissons, cette fois par le dessous.
Arrivé à un carrefour, nous empruntons le chemin au Vaches, puis le sentier qui traverse le bois de l’Abbaye.
Nous longeons avec prudence la D249 qui nous mène à la forteresse.
La Forteresse de Mimoyecques, également appelée « le site du canon de Londres » est l’un des édifices les plus impressionnants imaginé par Hitler.
Cette construction entièrement souterraine était prévue pour y installer « le super canon V3 »
Comme toutes les armes de représailles, le V3, canon à charges multiples, devait bombarder l’Angleterre, plus précisément Londres.
Elle a été mise en place du printemps 1943 à l’été 1944 par plus d’un millier d’hommes, notamment une main-d’œuvre forcée aux origines très diverses.
Un vaste réseau de galeries a été creusé desservant ainsi cinq puits de tirs de cinq canons chacun. Ces canons étaient censés envoyer 1500 obus par jour. Un site jumeau aurait dû également voir le jour, portant le nombre de projectiles envoyés à 3000 par jour.
Malgré de multiples bombardements, ce n’est que le 6 juillet 1944 que le cœur de l’ouvrage sera atteint, la Forteresse sera bombardée par des bombes d’un genre nouveau : les bombes Tallboy.
Sur les ordres de Churchill, la Forteresse sera dynamitée en Mai 1945 pour qu’elle ne puisse plus à l’avenir être à nouveau utilisée comme base militaire.
La Forteresse a été ouverte en 1984 comme musée par des propriétaires privés. Elle sera ensuite acquise en 2008 par le « Conservatoire des Espaces Naturels du Nord et du Pas-de-Calais ». Après une période de travaux, le site sera de nouveau ouvert au public en 2010.
Encore quelques centaines de mètre sur la départementale, puis un large chemin de terre nous même aux monts Roland et Repère sur les hauteurs de Bainghen à 157 mètres d’altitude pour un retour à notre point de départ.
Merci à tous les participants.

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Aujourd’hui nous nous réunissons afin de partager un moment convivial lors de notre randonnée de Noël ,Nous étions 32 au depart de notre randonnée de 12 kms dans les remparts et dans la réserve des rives de L 'Aa Départ de cette randonnée parking des islandais ,Parking en mémoire aux pécheurs islandais car Gravelines à un historique maritime important , L’histoire de Gravelines ne commence réellement qu'en 800, Puis au XIIe siècle le comte de Flandre, Thierry d’Alsace, décide d’entourer d’un rempart de pierres et de pieux et d’aménager un nouvel estuaire pour l’Aa. La ville devient l’avant-port de Saint-Omer port de pêche aux harengs, de transit pour le sel, les fruits et le vin.

La guerre entre François 1er et Charles Quint conduit ce dernier a construite cinq bastions Le bastion du moulin ,le bastion de la digue,le bastion du maréchal Gassion ,le bastion du grand Maître et le bastion du Roi . La ville prend sa forme d’hexagone.


Nous entrons dans le marché de noël pour nous rendre vers le bastion du Moulin,Nous profitons du décor du marche de noël pour prendre la photo du groupe ,Sur le bastion du Moulin on découvre au loin le chantier du jean Bart à l espace Tourville ,Le projet est titanesque, puisque le Jean Bart va mesurer près de 57m de long, pour un déplacement de près de 3000 tonnes en ordre de marche. A l'époque, son équipage était constitué de 700 marins repartis sur trois ponts et son armement était composé de près de 84 canons. Sa cousine l'Hermione,frégate reconstruite à Rochefort et lancée en 2012, semblera bien frêle avec ses 44 mètres et ses 1250 tonnes.3600 arbres issus de forêts d'élevage sont nécessaires à la construction. On travaille sur du chêne, qui est utilisé depuis des milliers d'années pour sa résistance notamment à l'eau. 10 000 visiteurs se pressent chaque année pour venir observer le géant, et l'engouement ne fait qu'augmenter. Le corps de garde du bastion du Moulin, construit en 1771, dévoile ses trois petites arcades et ses volets bleus. Nous empruntons un pont sur notre droite se trouve le bastion de la digue , Gravelines possède 5 écluses , L écluse 63 bis a l entrée de Gravelines fait barrage a la mer ,L écluse Vauban isole le bassin Vauban ,La station de la rivière d'Oye évacue les eaux de la rivière d'oye,L écluse thoris recule le niveau d 'eau du canal extérieur des fortifications ,Enfin l exutoire du schelfvliet fait barrage a la mer et permet de contenir le watergang , Nous quittons les remparts pour nous rendre vers l exutoire Shelfvliet Après une promenade dans un parc direction le bastion du Maréchal Gassion ,Tout d abord un arrêt au pavillon des officiers il assurait la surveillance de la place d'armes de la grande caserne La caserne Varenne édifiée en 1737 sur le modèle de Vauban ,La caserne pouvait héberger plus de 600 hommes , 12 hommes par chambre ,la citerne bâtie en 1724 sur les plans de Vauban ,Elle reçoit les eaux pluviales des deux casernes Varenne et Huxel ainsi que de l Église ,Elle peut contenir 1 420 000 litres ,L 'église saint willibrord est le plus plus vieux bâtiment de la ville ,Il date du 11 ieme siècle Elle porte le nom de l 'évêque qui aurait selon la légende fondé la ville ,Derrière nous la caserne Huxelles elle porte le nom du marquis louis chalon du blé tue lors lors du siégé de gravelines en 1658 ,Construite de 1793 à 1822 ,La caserne Huxel est parallèle aux remparts des casemates voûtées a l épreuve des bombes ,Nous traversons la poudrière d asfeld ,Halte de la jardin de la liberté On y retrouve les caractéristiques des jardins de la fin du 19siècle: le kiosque, les allées bordées de buis, les rosiers anciens, la gloriette et les tonnelles blanches.Nous profitons du cadre pour prendre des photos de groupe avec nos habits de père et mère noël Nous passons a cote du blockhaus recouvert d'herbe durant la guerre , qui servait de poste de commandement lors de la dernière guerre Il possède un périscope ,




,Nous prenons la direction du bassin olympique Avant nous traversons le parc des chênes créé en 1990 ,En 2005 Albert Denvers a plante un un arbre pour ses 100 ans , ,Les dimension du bassin sont impressionnantes (longueur 2 337 m, largeur 138 m, profondeur 3 m), le Stade Nautique répond aux normes des fédérations Internationales est peut accueillir depuis le printemps 2011 des équipes d’aviron, de le bassin d 'avirons

Nous bénéficions d un chemin pédestre dans une réserve qui préserve la biodiversité , Tout d 'abord la colline aux mésanges de rivage plus de 300 couples nichent dans cette colline, Savez vous qu 'une mésange parcoure prés de 300 kilomètres pour nourrir ses petits Deux observatoires mais aussi un verger ainsi que des zones humides , Le tout pour préserver la faune et la flore de notre région ,

Bel équipement pour le plaisir des familles et des sportifs ,Nous retournons vers L arsenal,Nous passons a cote du musée des estampes , Petit détour dans les jardins de Gravelines ,Puis retour dans le marche de Noël avant notre retour sur le parking afin de partager nos cadeaux ,Belle promenade dans les remparts mais aussi dans la réserve des rives de l ' Aa ,

Un grand merci a l ensemble des participants pour cette belle promenade dans l ambiance de Noël du marche de Noël de Gravelines ,

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Ce jour nous avons rendez vous sur le parking devant l’Eglise de St Pierre Brouck pour une randonnée autour du village .
Village paraissant bien agréable, au départ nous empruntons la rue de la Chapelle, le lotissement du Vert Sifflet et la rue de la gare, pour nous engager dans un passage longeant la sécherie traitant la chicorée, l’ endroit ayant été bien nettoyé de ses coulées de boue conséquence des dernières inondations
Nous avons pus poursuivre le chemin nous amenant sur le GR128A nous avons passés la seigneurie d’ Hanon,le canton de Rabeau ensuite retour par le sentier du nom de Denna Watergang et rejoindre la D21, la rue de la gare, et le village dont nous avons pu visiter l’église exceptionnellement ouverte puis ensuite rejoindre le parking
Une agréable randonnée particulière ,inédite en Flandre sans pluie avec un groupe sympathique de randonneurs intéressés et satisfaits
merci a tous vive la rando . 

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Nous partons de la place d'Audresselles et après 200 mètres environ nous sommes arrêtés brusquement suite à la chute heureusement sans gravité de notre vice présidente Catherine, après quelques petits soins prodigués sur place nous reprenons notre chemin et rejoignons la côte vers le cran du "Noirda" et profitons alors de la proximité de la mer pour admirer le bouillonnement incessant produit par les vagues.

Nous arrivons bientôt au cran "Mademoiselle" et poursuivons jusqu'au cran "Poulet" direction cran aux "Oeufs" que nous ne pouvons atteindre suite aux éboulements récents dus aux intempéries de ces dernières semaines.

Nous partons alors vers la hameau de Waringzelle direction le Gris Nez où nous tournons à droite à l'amorce du virage pour entamer notre retour vers Audresselles et cette fois ci par l'intérieur des terres sous un vent beaucoup plus actif et frais.

Merci aux participants.

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking de l' avenue de Rouville à Ardres.
La pluie ,qui, pourtant, n'était pas invitée est également présente à notre rendez-vous, mais , les 18 courageux présents au départ affichaient une bonne humeur qu'ils ont gardée tout au long des 8 km.
La randonnée , initialement prévue par Frank qui, indisponible, s'était fait remplacer par Catherine, a dû être modifiée en raison des inondations et de passages encore impraticables.
C'est donc pour une randonnée “ hivernale ” que notre joyeuse bande s'est mise en route.
Nous prenons la direction du boulevard Constantin Senlecq puis, de l'avenue de Verdun jusqu’au chemin des Conduits que nous empruntons.
Au bout de ce chemin, nous bifurquons vers la droite sur le vélo route qui nous amène rue de la Chapelle à Balinghem, nous tournons de nouveau à gauche en direction de l'église puis nous prenons à droite la route partagée qui nous amène rue du Camp du drap d'Or toujours à Balinghem .
Nous rejoignons alors la rue du Fort puis, à droite, la rue du Milieu pour atteindre la rue de la Riviérette qui nous conduit à la maison illuminée pas encore tout à fait prête à recevoir les visiteurs à cause des intempéries mais, ça ne saurait tarder.
Nous tournons alors à gauche rue Goudenove , puis à droite rue Transversale, nous sommes alors sur le territoire de Brêmes , encore à gauche rue du Watergang pour rejoindre le canal d' Ardres que nous traversons par une petite passerelle .
Nous longeons alors le canal en direction d' Ardres pour ainsi retrouver notre point de départ .
Merci à tous les participants.

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32 participants pour cette après-midi aux couleurs d’automne. La météo nous est favorable avec de belles éclaircies nous offrant une extraordinaire palette de couleurs et le spectacle des falaises anglaises semblant se rapprocher à chaque nouvelle apparition. Les photographes s’en donnent à cœur joie et Martine et moi invitons ceux-ci (celles-ci) à nous faire parvenir leurs meilleurs clichés !
Avant de quitter le village nous traversons le petit cimetière, pour saluer la tombe de Francis DELBARRE, autrement nommé Raoul de Godewaersvelde.
Nous empruntons essentiellement des petites routes rurales pour se rendre à Tardinghen. Bien entretenus, les fossés canalisent efficacement le fort ruissellement continue. Toute cette eau se retrouvent dans le point le plus bas de notre cheminement : le ruisseau de Waternel qui se donne des allures de torrent !
Voici Tardinghen et ses marais gorgés d’eau, au pied de la dune qui malheureusement recule inexorablement devant les assauts des vagues.
Nous prenons le chemin des Berniques qui s’élève vers le Mont au Leu. C’est ainsi que Jean-Pierre, célèbre humoriste de l’ARCO, suit « Yves montant » !
Sur le plateau nous observons les nuages menaçants qui nous rappellent que l’automne trop pluvieux est toujours prêt à reprendre ses droits !
Mais voici en ligne de mire le clocher en forme de lyre de l’Église d’Audinghen où nous retrouvons bientôt notre point de départ, pour se donner RDV dimanche prochain à Ambleteuse.

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Nous étions 23 au départ de cette randonnée dans le village de Zutkerque. Suite aux inondations récentes l’animateur a adapté son parcours afin de pouvoir randonner les pieds au sec en évitant les chemins qui sont encore très humides. Le nom du village provient de Zut qui signifie Sud en Néerlandais et Kerque qui veut dire Eglise donc église du sud. Comme promis au départ, le parcours s est déroulé sur les petites routes de campagne. Temps très favorable et agréable pour randonner et surtout sans pluie. Vers la fin de la randonnée notre célèbre Hervé a fait une rencontre avec un cycliste. Heureusement plus de peur que de mal. Preuve qu’il faut toujours être attentif à son environnement lors d’une randonnée. Un grand merci à l’ensemble des participants de ce jour. Il est agréable de se retrouver pour une balade hivernale après les inondations qui resteront graver dans nos mémoires. Une pensée pour les sinistrés. A bientôt sur les chemins.

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Rendez-vous à 9 heures quai Auguste Delpierre. Nous sommes 29 participants.
Nous quittons le Courgain Maritime, contournons le Bassin du Paradis et nous empruntons le sentier qui longe le Bassin des Chasses en direction de Blériot.
Passage devant la mairie, pour rejoindre de plaisants chemins, bordés de fossés et de haies, aménagés à l’arrière des belles résidences au sud de Blériot.
Nous traversons la D940 au niveau du Village vacances et nous suivons le chemin piéton jusqu’au camping, le GR étant inondé. Nous rejoignons le Ford Lapin et nous poursuivons par la rue Vigier jusqu’au cimetière de Blériot que nous traversons et retour par le front de mer en suivant la digue, puis la promenade du Fort Risban et son square, ce qui nous ramène notre point de départ. Fin de notre balade dominicale avec météo relativement clémente sur une grande partie du parcours si l’on fait abstraction à une bonne averse et remerciement à tous les participants.
Le quartier plutôt calme à 9 h est maintenant en pleine effervescence. En effet, en ce 3ème weekend de novembre, c’est la traditionnelle fête du hareng qui rappelle le temps où les hommes, de retour de mer, fêtaient joyeusement les pêches miraculeuses dont ce poisson était la vedette !
Une vingtième édition calaisienne qui promet de régaler les gourmands. Ça va sentir le hareng à l’autre de bout de la ville ! Ce ne sont pas moins de 300 kg de ce poisson qui vont être dégustés, grillés au barbecue, fumés ou en soupe.
Bons moments de convivialité avec des chants traditionnels, de la cornemuse et de l’accordéon… et récital de tubes des années 80.
C’est tout la conservation de la tradition de ce quartier de pêcheur…
Mais d’où vient cette expression : « Chacun sin pain, chacun s’n’ héring» ?
Du plus profond des âges, au 13ème siècle ! La pieuse comtesse Mahaut de Boulogne, épouse de Philippe Hurepel (fils bâtard de Philippe Auguste), faisait don, annuellement, aux plus pauvres, d’un pain et d’un hareng, et cette aumône se nommait « la partie Mahaut »… Chacun repartait alors avec son pain et son hareng. 
Belle tablée avec une vingtaine Arcosiens à la fête du hareng …

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30 participants pour cette première rando de la nouvelle saison. Le traditionnel parcours a dû être modifié pour cause de chemins inondés.
Nous accueillons Lydie des hemmes de Marck. Jean-Pierre est heureux de nous annoncer qu’au palmarès 2024 nous sommes 60 ex aequo !
Nous quittons donc la maison des Islandais pour rejoindre le front de mer. Il fait frais et les prévoyants sont équipés de gants, bonnet, cache-oreilles, voire de passe-montagne !
C’est toujours un spectacle de revoir ce vaste estran assez végétalisé au bout duquel on a peine à apercevoir la mer.
Nous longeons la dune sur le GR 120 vers l’Est. Nous ne sommes pas les seuls à prendre l’air ce matin de novembre. En effet les chasseurs sont déjà en place et les coups de fusils accompagnent notre cheminement.
Pour ne pas les déranger au bord des mares de huttes nous progressons dans la dune. Bientôt il faut rejoindre l’estran par un beau dénivelé technique dans le sable.
Voici les Hemmes d’Oye et, à partir de là nous progressons sur des petites routes sèches … mais pas toujours ! Il est alors temps de tester l’imperméabilité de nos chaussures !
Le parcours traverse ce polder gorgé d’eau et nous essayons d’imaginé ce que sera celui-ci en 2050 !?
Bientôt voici la rue Robelin, avec son camping et son école avant de retrouver notre point de départ.
Une belle matinée précieuse sans pluie !
La plupart des participants se retrouve alors dans la maison des Islandais pour l’incontournable «Raccroc » de l’AG où dans la bonne humeur et la convivialité nous dégustons les délicieux restes du superbe buffet de la veille.
Lucien ne manque pas de nous mettre un peu d’ambiance musicale, tandis que Philippe monopolise la plonge pour assurer un cuisine impeccable. Lucile ne manque pas de remarquer que notre chef plongeur est tout à fait adapter à cette tâche, vue sa taille !
Et c’est dans la bonne humeur et parmi les rires que nous nous quittons à regret après avoir ranger, nettoyer, balayer, récurer …
Vite à la prochaine !

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Nous sommes réunis dans le charmant village côtier d’Audresselles. Son Blason représente un crabe et un flobart preuve que ce village à un passe maritime tourne vers la pêche. Fin la fin de notre randonnée, il sera possible de voir ce blason sur la façade d’une maison. Mais aussi avoir une vue sur l’église d’Audresselles située à l’extérieur du village. Les terrains ont été offerts par une ancienne famille flamande selles. L’église d’origine se trouvait dans une grotte engloutie par la mer en centre-ville. Lors de notre promenade, nous allons rencontres de nombreux restaurants de fruits de mer mais aussi des flobarts navire de pêche traditionnel. Le nom du village Audresselles se décompose en deux d’un côté Audre qui signifie other en germanique et du flamand sele qui signifie demeure qui comporte une seule pièce comme beaucoup de maison de marins pécheurs. Lors de ma dernière randonnée, j’ai mentionné la légende du fantôme dans la vallée de Denacre. Aujourd’hui je vais vous conter la légende du sel et de la mer. Autrefois les marins pêcheurs pour améliorer l’ordinaire allumaient des fanaux sur les côtes pour attirer les navires de commerce égarant ainsi les navires de leur route. Un jour à la tombée de la nuit la population était rassemblée suite à l’échouage d’un navire. Toute la nuit la population pilla la cargaison du navire sans se soucier de l’équipage. Au petit matin Jean Batiste jeune marin pécheur s’éloigna du navire ou les courants sont plus forts pour récupérer une belle pièce de soie. Il entendit des plaintes. Jean Batiste était bon, Il porta secours au pauvre marin en lui donnant à boire. Avant de mourir le marin dit. Tu as été généreux. Voici un moulin magique Il te suffira de dire Petit moulin, par ton maitre le prophète, je te l’ordonne donne ceci ou fais cela. Le moulin te servira. Et pour l’arrêter, tu diras de la même manière. Petit moulin, par ton maitre le prophète, je te l’ordonne, arrête de travailler. Mais garde toujours ce secret cette formule magique. Ainsi ta fortune sera assurée. De retour à son domicile il raconta son aventure à sa mère. Sa mère lui reprocha d’avoir porté secours au marin. Il déposa son moulin sur la table et grâce à la formule magique Il obtint une bourse pleine d’écus d’or. Il ordonna à sa mère de garder le secret puis il cacha le moulin. Sa mère bavarde raconta l’existence du moulin. Très vite, les visites affluèrent au domicile du marin. Il refusa de montrer son moulin. On lui lança des injures. Pierre son frère lui demanda de l’aider. Devant l’insistance de sa mère. Il alla chercher son moulin de sa cachette puis recita la formule magique. Son frère pierre observa où se trouvait la cachette. Lors d’une absence il déroba le moulin. De retour à son domicile. Il utilisa son moulin pour avoir du vin et de l’or. Il décida de faire partager sa fortune à l’ensemble des villageois. Il distribua de l’or à tout le village. Lors de sa balade il rencontra un marin étranger aide cuisinier. Pierre dans son ivresse se jeta à son cou en lui donnant des pièces d’or. Le marin était septique sur l’existence du moulin. Pierre lui fit une démonstration en utilisant la formule. Le marin lui déroba son moulin. Puis il embarqua sur son navire. Lors de la préparation du repas le chef cuisinier lui demanda du sel. Mais l’aide cuisinier avait oublier de commander du sel. Afin de se procurer du sel il utilisa son moulin. Mais il ne connaissait pas la formule pour arrêter le moulin. Le navire se remplit très vite de sel. Pour éviter que le navire sombre, un marin jeta le moulin à la mer. C’est pour cela que la mer est salée car le moulin tourne toujours.

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Bouquehault « Viens dans Mongardin ».
Nous sommes 25 au départ de la mairie de Bouquehault.
Halloween oblige, quelques enfants déguisés avec leur maman sont également sur place. Beaucoup de monde donc, à tel point que les enfants nous ont pris pour des parents déguisés en « Vieux », ce qui nous a mis un coup au moral !!!
Nom d'origine néerlandaise, Bouquehault est composé de boek/beuk ("hêtre") et holt/hout ("bois"), soit « bois de hêtres ».
Quel titre bizarre que celui donné à cette randonnée : « Viens dans Mongardin » !
Inutile de se casser la tête, il s’agit simplement du patronyme de « Philippe de Montgardin, nom du sentier emprunté ce jour !
Philippe de Montgardin, peu d’information sur le personnage ! Après quelques recherches : c’était un baron au 12ème siècle, et il gravitait autour d’Arnault, seigneur d’Ardres et fils de Baudouin II, comte de Guînes, lui racontant des récits épiques sur les croisés et la conquête de Jérusalem. (Source de la Société Historique des Antiquaires de La Morinie en 1852).
Nous partons pour une balade autour du village sur des sentiers parsemés de flaques d’eau, suite aux précipitations subies depuis quelques semaines, parfois un peu boueux et même glissants en particulier à mi-parcours lors d’une descente.
Passage devant le moulin de Bouquehault : Il ne reste qu’une tour de pierres ! Construit avant la révolution, il fut déclaré bien national, puis vendu à une famille du village. Reconstruit en 1875, il cessa de fonctionner en 1943. Frappé par la foudre, il fut laissé en l’état et son mécanisme vendu pour servir à la restauration d’un autre moulin.
Pas de vent et température idéale, malgré quelques gouttes, de quoi avoir envie de revenir contempler ces jolis panoramas.
Merci à tous les participants.

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« Le port, la nouvelle digue promenade, le dragon »
28 participants se retrouvent devant le cirque Calais Générosités parmi la foule de nombreux enfant venus assistés à la dernière représentation de ce beau spectacle.
Mais pour nous ce n’est pas le cirque qui est au programme, mais une balade citadine. Nous commençons par entrer dans la citadelle par la porte de Neptune pour cheminer dans cette enceinte construite par Richelieu sur les ruines d’un ancien château médiéval. Renforcée quelques temps plus tard par l’incontournable Vauban, elle accueille aujourd’hui des installations sportives. Nous sortons par la porte de Boulogne pour rejoindre les bords du canal et arriver sur le pont Georges V, qui faisait frontière jadis entre la ville portuaire de Calais et la ville de Saint Pierre.
A l’entrée du parc Richelieu, nous ne manquons pas de remarquer Les statues du Général De Gaulle et de Winston Churchill : Le monument en bronze est constitué de sept arches en acier galvanisé laqué culminant à 5 mètres. Sept arches qui représentent la France d’après-guerre en pleine reconstruction sous lesquelles marchent côte à côte Churchill et De Gaulle.
Voici maintenant l’Église Notre Dame de style Tudor. Sa construction a débuté en 1241 et terminée en 1347 par les anglais, alors rattachée à l’archevêché de Canterburry.
Elle vit le mariage d’Yvonne Vendroux (calaisienne) d’avec le Capitaine Charles De Gaulle en 1921.
Adossée à l’Église, La citerne construite par Vauban. Celle-ci servait à collecter les eaux de pluies ruisselant des toits.
Nous traversons Le Jardin Tudor : Le jardin porte ce nom pour rappeler le règne de Marie 1ère Tudor qui perdit la ville en 1558. Il accueille la rose « Notre Dame de Calais » présentée à la reine d’Angleterre en 2010.

Au pied du phare nous nous rappelons qu’il fût allumé la première fois le 15 octobre 1848. 59 m de haut, il comporte 271 marches. Sa portée est de 43 km.
Nous passons devant la salle du Minck et près du célèbre café du même nom, à l’ambiance inégalable !
Le bassin du Paradis est la partie restante du port médiéval. Les bites d’amarrages sont des canons retournés.
le Fort Risban, fort maritime au Moyen âge, on y accédait qu’en bateau ou à pied sec à marée basse. Son nom pourrait venir de l’anglais « Riskbank » (hauteur périlleuse). Il fût construit sous Edouard III.

Nous le contournons pour apercevoir le Dragon de Calais qui rentre dans son antre. Une impressionnante machine :
Hauteur : 10 à 15 mètres ; Largeur : 5 à 17,5 mètres ailes déployées ; Longueur : 25 mètres ; Poids : 72 tonnes
Vitesse : 0 à 4 km / h ; Propulsion : Hybride ; Matériaux : bois, métal, cuir, toile, cuivre ; Manipulations : 4 à 6 personnes.

Nous empruntons maintenant la digue promenade, agréablement aménagée, cherchant des yeux, du nez et du goût les célèbres beignets tunisiens ! Une petite pause devant la stèle colorée et originale « Calais La Plage » avant de rejoindre le chemin longeant la bassin des chasses.

De nouveau sur le pont Henri Hénon, nous saluons Tom Souville corsaire calaisien qui a fait ses études à Douvres et qui a combattu les Anglais (ces derniers l'appelaient "Captain Tom"). À ce titre, il a rapporté plus de 5 millions de francs à la ville de Calais entre 1811 et 1815. Il arborait sur son navire le drapeau de Calais, bleu orné d'une croix blanche. On estime à entre 200 et 300 le nombre de corsaires qu'a connu la ville, à différentes époques.
Voici le terme de cette promenade citadine et nous nous donnons rendez-vous dimanche à Houlle et mardi prochain à Bouquehault.

Description:

Belle balade autour du Mont des Cats,de beaux paysages de la campagne flamande et cheminement sur des sentiers, des sous bois ,des routes de campagne avec quelques belles montées : un bon moment convivial dans un estaminet avec dégustation de plats flamands et de bière . Une interessante visite du musée de la vie frontalière. Merci à Philippe, notre animateur belge préféré pour cette agréable journée automnale

Description:

Rendez-vous à 14 heures sur le parking de l’église d’Andres.
Le soleil est également présent à notre rendez-vous.
L’église Saint-Jean-Baptiste d’Andres, a été édifiée en 1754. Les fonds baptismaux datent du XII° siècle .La cloche qui s’appelle Fidéline Clémence Louise Mélanie date de 1637, fendue, fut refondue en 1865.
Cette église est le seul édifice historique du village, restant un lieu hautement symbolique de sa ruralité.
Nous prenons la direction du centre du village jusqu’au chemin de la motte que nous empruntons.
Puis, nous bifurquons vers la gauche sur un chemin qui nous amène Rue à reine sur le territoire de Balinghem, nous tournons de nouveau à gauche puis nous prenons à droite le chemin de Balinghem .
Au bout de ce sentier, nous prenons la Rue de la plate rivière qui nous ramène vers Andres jusqu’à la résidence de la Riviérette.
Nous nous dirigeons alors vers un sentier qui passe à travers champs et qui va nous conduire Route de Guines pour rejoindre la chapelle Notre Dame de Lourdes.
Cette chapelle a été érigée en 1876 par la famille Boulanger Bernet afin de remercier Notre Dame de Lourdes pour la guérison de leur fille. Elle fut inaugurée le 26 mars 1876. C’est une chapelle à “loques”. Elle fut rénovée en 2012 et le christ qui se trouvait à l’origine au dos de la chapelle a été fixé sur une croix. Elle a été repeinte en 2018. Ces jardins sont régulièrement entretenus par des bénévoles.
Chapelle dite à Loques (Capelle à loques in chti) : Il suffit d’accrocher un effet personnel, d’une personne malade pour avoir des raisons d’espérer sa guérison. Les loques sont des pièces de vêtements variées, attachées aux grilles des chapelles ou des arbres voisins.
Elle appartiennent à des personnes malades qui viennent “abandonner ” leur maladie.
D’après les croyances, plus le linge est serré, plus le mal s’éloigne vite et à la chute du tissu, après plusieurs mois, le malade est en voie de guérison.
Ces chapelles à loques possèderaient des vertus guérisseuses. Cette tradition, déjà connue dès l’Antiquité, touche encore beaucoup de personnes croyantes ou non.
Nous nous dirigeons ensuite vers notre point de départ .
Nous passons alors sur un petit pont qui enjambe le ruisseau la Riviérette.
La Riviérette est un ruisseau qui prend sa source à Andres et se jette aux Attaques, dans la rivière du Nouveau Banc.
Nous retrouvons alors le parking de l’église et nous prenons déjà rendez-vous pour les prochaines randos.
Merci à tous les participants