Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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Quel plaisir de se, retrouver après près de 7 mois d’interruption ! Même de loin, derrière les masques, et dans les yeux les sourires étaient présents.
C’est ainsi qu’avec beaucoup de discipline, les 5 groupes se forment sur le vaste parking Hubert Latham avant de cheminer tranquillement. Pas toujours facile d’estimer une distance de 50 m minimum …
Une montée régulière d’abord au pied de la digue artificielle de 35 m de haut du Fond pignon. Cette digue retient 5,3 millions de m3 de craie bleue, extraite lors du creusement du tunnel sous la manche du côté français. Plus haut , nous dominons l’étang qui peut accueillir les oiseaux migrateurs pour une pause salutaire.
Voici le Mont Hubert, sommet de notre balade qui nous ouvre l’horizon sur le Calaisis, la baie de Wissant et le Cap gris Nez. Paysages bien familiers et pourtant toujours aussi spectaculaires sous ce franc soleil et cette bise rafraichissante.
Nous parcourrons le tour des belvédères découvrant au passage le ballet des avions de talentueux aéromodélistes.
La descente vers Sangatte nous permet au passage de saluer l’aviateur Hubert Latham qui, par deux fois, essaya la traversée de la manche, deux fois il échoua, la seconde fois au port, si l’on peut dire, à moins de 500 mètres de la côte anglaise. C'était le 19 juillet 1909.
Le 25 de ce même mois, Louis Blériot réussissait cet exploit et recevait le prix du Daily Mail pour cette traversée de Sangatte à Douvres.
Enfin, près de notre arrivée, une large tache blanche dans la mer qui se retire nous intrigue. Quel est le phénomène responsable de cette anomalie ?
L’hypothèse la plus probable est que c’est à cet endroit que Gargantua s’est lavé les dents avant de rendre visite au Dragon de Calais !
Les animateurs et responsables de groupe remercient chaleureusement les participants à cette première randonnée de reprise pour leur discipline et leur respect des contraintes imposées par les gestes barrières.
Rendez-vous, pour ceux qui ont réservé, ce dimanche 16 mai au départ de Marquise pour une balade « en passant par les carrières ».

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Nous étions 39 au départ de cette balade qu'on pourrait appeler "dans les pas de LYSE" puisque c'est aussi un hommage à Lyse qui nous a quittés le 20 septembre dernier, que la majorité des randonneurs présents ont très bien connue et beaucoup estimée.

Yves a préparé un texte pour rappeler quelques bons souvenirs partagés avec Lyse et nous observons une minute de silence.

Nous sommes guidés aujourd’hui par Annie et Geneviève une première pour elles !
Une chance le soleil est de la partie, après une matinée très pluvieuse.

Nous partons vers le lac d'Ardres, un petit détour par la rue Couteau pour passer sur les petits ponts qui enjambent le lac.
Les sols sont jonchés de feuilles, ça sent l'automne.
Nous nous dirigeons vers Brèmes par la rue des Rainettes qui a été refaite, pour arriver à la passerelle qui enjambe le canal et  continuons par la route du Watergang  et ensuite  des chemins de terre  pour arriver devant chez Lyse cette maison qui évoque tellement de bons moments pour ceux qui l’ont connue.

Nous entamons ensuite le retour à travers un autre chemin de terre qui rejoint le vélo route de BREMES et après avoir traversé prudemment la D 231  en suivant les conseils d'Yves.
Nous nous retrouvons sur la ligne d'Anvin ou  passait naguère le train de CALAIS ANVIN qui faisait un arrêt à ARDRES mais la gare est disparue aussi.
A Ardres nous traversons un lotissement puis une porte  très ancienne  dans les  fortifications  pour nous retrouver dans la rue Lambert et retour au parking.
 Nous n'avons noté aucune perte malgré cette participation record.
 

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C'est sous un soleil radieux, que 37 randonneurs prennent le départ vers le mont de Couple, en démarrant par une belle petite côte pour la mise en jambes.
Puis nous partons vers la table d'orientation au sommet de celui ci, une petite pose nous permet d'admirer le paysage et d'apercevoir les côtes Anglaises.
Nous poursuivons le chemin jusque la D249 qui nous mène jusqu'à la fontaine aux animaux puis nous traversons le cimetière pour retrouver la place de la salle des fêtes où nous retrouvons nos véhicules.
Merci à tous pour votre participation

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Après l’accueil de Dominique l’époux de Rose-Marie et de Lison la petite fille de Marie-Jo qui n’a guère déméritée de toute la durée de la rando, nous commençons notre parcours.
Un arrêté préfectoral nous oblige à contourner le cran de Quette, mais, nous permet de rejoindre le cran des Sillers. Nous poursuivons, par le cran Barbier, la pointe de Riden, le cran aux Oeufs, le cran Poulet, le cran Mademoiselle et la pointe du Nid de Corbet. Ce cheminement nous offre une vue constante sur le trafic maritime, mais surtout nous permet d’apprécier la palette aux couleurs irisés que la Côte d’Opale met à notre disposition. Par la suite, nous cheminons vers les Cardaux, Haringzelles, Waringzelle, les Flatières, le Sodit avant de regagner notre point de départ.
Le Cap Gris-Nez situé à Audinghen, représente un site emblématique du parc naturel régional des caps et marais d’opale accueillant 2,5 millions de visiteurs par an. Proche de l’Angleterre (30,3km), le Gris-Nez est un point stratégique pour le transport maritime international entre la Manche et la Mer du Nord (plus de 500 mouvements de bateaux par jour).
Les crans résultent de l’entaille faite dans la falaise par l’écoulement plus ou moins abondants de petits ruisseaux . Ces vallons suspendus aux noms significatifs comme le cran aux œufs, résulte d’une lente érosion ainsi que d’un éboulement dû aux argiles sous jacentes en formes d’oeufs. Par contre le cran Poulet est un lieu de pèlerinage à Notre Dame des Flots en mémoire des nombreux naufrages survenus à cet endroit.
Je vous remercie pour votre présence et j’espère que cette sortie vivifiante vous donne l’envie de nous retrouver prochainement.

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Ce Mardi 20 courageux randonneurs étaient pr ésents pour braver le mauvais temps .
Départ sous la pluie depuis la statue du Semeur, a Clerques direction le nord du village :
Nous prenons ensuite a droite un chemin ,pour traverser un pont sur la rivière la Hem et
se retrouver à Bonningues les Ardres,de là nous suivons l’ancienne ligne de
chemin de fer Calais Envain
Nous retraversons la Hem ,le village de Clerques et retour au parking toujours
sous la pluie, randonnée bien humide mais un parcours assez agréable. Merci a tous

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Nous partons du parking à proximité de la place de la Mairie et arrivons rapidement à La Chapelle Leclerc, récemment restaurée, que nous laissons sur la gauche avant d’aborder le Château de la Baronne de Draeck ( appelée la Dame aux loups connue pour avoir exterminer jusqu’à 767 loups ).
Nous continuons jusqu’au lieu-dit « La Grasse Payelle », direction Polincove dont nous découvrons déjà au lointain le clocher de son église.
De là, nous empruntons la rue du Moulin pour arriver au Moulin Bleu (connu pour son parcours de pêche à la truite), nous traversons la Hem et longeons le watergang du Tiret que nous enjambons ensuite pour rejoindre le fort St Jean par la rue de Moulle et la rue de la Rivière.
Nous entamons notre retour en direction du Blanc Pignon et enfin La Chapelle Leclerc pour rejoindre le parking.
Merci aux participants

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Samedi 10 octobre : adieux déchirants / Perros-Guirec (Ploumanac’h) 3 km
Sur le chemin du retour à la maison, un petit groupe de 5 fait un détour pour aller admirer les chaos de granit rose des pointes de Ploumanac’h.
A chaque détour du sentier, c’est une surprise : chacun, selon sa sensibilité, voit des formes extraordinaires dans ces amas d’énormes rochers ponctuant la côte mais aussi les jardins.
Une importante carrière de granit rose s’est implantée et un parc accueille une exposition de sculptures.

Nous avons eu beaucoup de chance de pouvoir réaliser ce séjour en ces temps si particuliers.

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Vendredi 9 octobre : La baie de Morlaix (côté Trégor) et Barnenez. (13 km)

Un linéaire est organisé pour cette journée au départ de la plage de Guerzit. C’est un beau soleil qui nous accueille et nous commençons notre cheminement sur de gros galets clairs. Puis le sentier s’élève et contourne quelques pointes. Là, le passage est parfois délicat, rétrécit au milieu d’un rocher ou en bordure de précipice
Mais peu importe, le spectacle est là : ilots, gros amas granitiques où chacun devine un animal, un personnage, une plante.
Voici Trévenez, le sentier devient plus facile et nous filons vers le fond de l’anse.
Barnenez est à notre portée et nous arrivons à l’entrée du Cairn où Francine et Christian nous attendent. Transfert des chauffeurs et pique-nique au soleil.
Un petit groupe part faire quelques achats à Morlaix tandis que les autres entame un petit tour du Cairn qui de révèle un moyen tour !
Tout le groupe se retrouve à l’heure dite pour découvrir ce site préhistorique. En effet nous découvrons là le plus grand Cairn d’Europe construit vers 4 000 ans avant notre ère !
Il servait de sépultures à des personnages importants et devait montrer aux autres la puissance de ce peuple capable d’élever un tel monument de plus de 25 0000 tonnes de pierres.
Nous sommes impressionnées par tant d’ingéniosité, de force et d’organisation à une époque où l’on ne connaissait pas la roue !
Qui sommes-nous, pauvres randonneurs devant de telles prouesses ?

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Jeudi 8 octobre : Locquénolé / Morlaix (15 km)

Atmosphère humide mais temps très doux. Nous partons de la place si typique de Locquénolé pour « balcons de Morlaix ». La première partie, très facile nous offre de points de vues sur la baie. Mais bientôt, le chemin en balcon serpente dans la forêt de pins avec des dénivelés plus marqués. La progression est difficile et assez éprouvante pour nos articulations et muscles déjà bien sollicités.
Enfin nous retrouvons la jolie place où nos pique-niquons aux pieds de l’église.
Départ pour Morlaix. Malheureusement la foire aux manèges a envahi le parking prévu et nous avons bien des difficultés à stationner !
Découverte des venelles et du viaduc qui nous permet une découverte à 360 ° de cette ville encaissée au creux d’une vallée profonde juste à la frontière entre deux régions de Bretagne : le Trégor ( à l’Est) et le Léon (à l’Ouest).
Visite de la maison de la Duchesse Anne où notre guide nous conte avec passion toute l’histoire de cette maison dont la construction a débuté en 1 530.
Un petit tour rafraichissant au bar et quelques emplettes pour terminer cette journée.

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Mercredi 7 octobre : Roscoff / Algoplus / La Maison des Johnnies / Saint Pol de Léon (11 km)

Franc soleil ce matin pour le tour des pointes de Roscoff. La mer est haute et nous devons suivre le GR à l’intérieur de la ville. L’île de Batz semble être à notre portée. L’église nous dévoile une voûte semi circulaire et de riches parements..
Nous évitons le marché pour emprunter un chemin côtier barré de tamaris effondrés par la tempête de la semaine dernière.
Voici la gare maritime et la conserverie artisanale ALGOPLUS. Nous y apprenons tout sur la récolte de différentes espèces d’algues, particulièrement abondantes et variées à Roscoff.
Puis nous passons dans la partie exploitation où l’on nous explique la fabrication et le conditionnement de différents produits. Nous voici maintenant dans la partie dégustation et nous découvrons avec surprise et bonheur le goût des différentes préparations.
Enfin la partie magasin n’est pas négligée et chacun repart avec des produits divers et variés.
Pique-nique au soleil près de la gare maritime, avant de se diriger vers la maison des Johnnies en passant près du jardin « érotique » ? Mais non, Michel ! « exotique » !
Au musée des Johnnies (petits Jeans) Natacha nous conte l’histoire de la célèbre culture de l’oignon rose de Roscoff et des vendeurs qui ont longtemps fait du porte à perte en Angleterre pour vendre leurs magnifiques tresses.
Un petit tour à Saint Pol de Léon avant de retrouver le gîte pour y déguster les fameuses crêpes de Francine !

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Mardi 6 octobre : Les Monts d’Arrée / Yeun Elez (La Porte de l’Enfer)

Nous voici sur les sommets de la Bretagne et tout de suite accueillis par une forte averse cinglante qui fait ruisseler les chemins qui montent au Roc’h Trévelez. Tout autour de nous, la lande : Fougères, bruyères et ajoncs, aucun arbre dans ce paysage exposé à tous les vents.
Une deuxième averse s’abat sur nos capes. Les sentiers sont maintenant des ruisseaux et les chaussures et chaussettes sont bien trempées !
Nous franchissons le Menez Quador (Le Tertre du Trône), mais la chapelle Saint Michel nous semble bien lointaine pour nos corps fatigués , usés par le vent puissant et par les sentiers ruisselants
Enfin la Chapelle où nos anges gardien (Francine, Christian et Gisèle nous attendent avec un large sourire réconfortant. Le pique-nique est le bienvenu, avalé dans un silence … religieux !
Les conditions difficiles de cette matinée ont raison de quelques-uns et c’est un groupe réduit qui entame la descente vers Yeun Elez (La Porte de l’Enfer).
Cette fois nous sommes à l’abri du vent mais l’eau est toujours omniprésente dans ce marécage parfois aménage de platelages (chemins de bois) bienvenus.
A Kervenez, nous retrouvons comme convenu Francine et Christian qui emmène les chauffeurs au point de départ.
Encire un transfert et le sauvetage d’une vache retardataire pour terminer cette journée riche en évènements.

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14h00 en place pour la traditionnelle photo ! 24 présents pour cette rando-douce concoctée par Bernadette (absente cause séjour ARCO) et menée par JPF; soleil mais risque d'averses au programme de ces 8,4 km ,cheminement agréable avec pour fil conducteur: le fil de l'eau et c'est groupé que nous atteignons « l'écluse carrée » point médian de notre ballade; a cet endroit précis votre guide du jour vous narre l'histoire surprenante du 07 Septembre 1976 vécue par Gaston Surry
(hélas resté inconnu de tous) même la presse n'avait point signalé l’Événement et pourtant,,,,,,,,,,,,,
ce jour la ; il ne s était rien passé !
Nous reprenons le chemin qui borde la canal a la queue-leu-leu en toute sécurité et le retour s'effectue au rythme de nos bavardages d'ailleurs............................................................................... ;
Une de nos adhérentes particulièrement informée sur le réchauffement climatique;ayant appris que
le château de Pierre fond nous demande si le séjour est maintenu et si oui faut il prévoir un stock d'éponges pour palier a l'humidité ? Et restera-t-il quelque chose a voir en 2021 ?
Afin de respecter son anonymat je ne vous dévoilerai pas son nom ni sa couleur de cheveux,,,,,,,,,,,,,,,,
et puis c'est le retour au parking toujours sous le soleil nous fumes donc épargnés par les averses
et prenons date pour dimanche prochain avec « la dame aux loups ».................................,

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Lundi 5 octobre : Le tour de Carantec et l’île Callot. (18 km)

Après l’Ar Goat (la forêt) nous voici à l’Ar Mor (la Mer). Peu accueillante ce matin à Carantec la mer est grise, agitée par un fort vent d’Ouest. Bien équipés, nous passons devant le gois (route submersible) de l’ile Callot pour l’instant immergé. Quelques ostréiculteurs font émettre des projets …
Tipère admire quelques voitures anciennes exposées dans un garage dont une Talbot remarquable.
Un chemin très pentu nous amène sur la côte abritée de la baie de Morlaix et là nous apprécions le calme et la paix à l’abri du vent. Le sentier côtier (le fameux GR 34) traverse quelques exploitations ostréicoles : De magnifiques huitres attendent leur client. Tipère est l’un d’eux et se régale d’un beau spécimen !
Au détour d’une pointe l’imposant château du Taureau, perché sur un îlot, s’offre à nos objectifs.
Voici la plage de Tahiti, mais Pierre est bien dépité car aucune vahiné à l’horizon.
Passé « la Chaise du Curé » nous retrouvons la grève blanche et le vent qui n’a pas faibli. Nous nous réfugions dans une rotonde bibliothèque pour pique-niquer où Pierre improvise l’installation d’une table de salon de fortune !
Le soleil est avec nous pour franchir le passage du gois et découvrir l’ile Callot, sa chapelle et son point de vue sur Saint Pol de Léon et Roscoff.
Nous ne trainons pas pour ne pas être surpris par la marée remontante et nous faisons passer devant Sylvie (la plus petite d’entre nous) au cas où …
Quelques courses pour pouvoir déguster des huitres à l’apéro !

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Après l’accueil de Rosemary nouvelle randonneuse, l’échauffement fut rapide. Dés le départ une belle montée nous attendait. Partant du camping « les voiles des 2 caps » d’Hervelinghen, nous nous dirigeons vers la Vallée des Cailloux et passons à proximité de Ramsault avant de bifurquer sur la route de Ramsault, où nous côtoyons la Folle Emprise, le Fond Pichon et la Croupe du Milieu. Nous poursuivons vers le Tap Cul. Après une pause, nous rejoignons le Fond de Sombre en passant par le Mont à Crignons, le Mont d’Aveloot. Par la suite nous empruntons le chemin passant par la Terre des Petits et revenons à notre point de départ. Au final les jambes ont vécu un dénivelé positif de 259m et négatif de 260m
La localité tiendrait son nom de l’anthroponyme germanique Helvidis, ayant subi l’attraction du nom Willingus, suivi de ingen « gens( de) + he (i) m « demeure », devenant la demeure du peuple Helvidis. Cette commune est située dans le périmètre du parc naturel régional des 2 Caps et Marais d’Opale. Le socle géologique est constitué de craie blanche à silex et de marnes issus du secondaire. Il en résulte un paysage couvert de vallées sèches avec de grandes cultures annuelles, caractéristique de l’arrière du littoral maritime.
Avant de nous séparer, nous pensons à nos 14 randonneurs partis en Bretagne effectuer un séjour d’une semaine.
Merci d’avoir osé braver les conditions météorologiques de ce jour (pluie, soleil, rafales de vent à 80km/h et même grêle en fin de parcours). Votre présence n’en est que plus appréciée. A bientôt sur d’autres chemins.

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Après l’accueil de Rosemary nouvelle randonneuse, l’échauffement fut rapide. Dés le départ une belle montée nous attendait. Partant du camping « les voiles des 2 caps » d’Hervelinghen, nous nous dirigeons vers la Vallée des Cailloux et passons à proximité de Ramsault avant de bifurquer sur la route de Ramsault, où nous côtoyons la Folle Emprise, le Fond Pichon et la Croupe du Milieu. Nous poursuivons vers le Tap Cul. Après une pause, nous rejoignons le Fond de Sombre en passant par le Mont à Crignons, le Mont d’Aveloot. Par la suite nous empruntons le chemin passant par la Terre des Petits et revenons à notre point de départ. Au final les jambes ont vécu un dénivelé positif de 259m et négatif de 260m
La localité tiendrait son nom de l’anthroponyme germanique Helvidis, ayant subi l’attraction du nom Willingus, suivi de ingen « gens( de) + he (i) m « demeure », devenant la demeure du peuple Helvidis. Cette commune est située dans le périmètre du parc naturel régional des 2 Caps et Marais d’Opale. Le socle géologique est constitué de craie blanche à silex et de marnes issus du secondaire. Il en résulte un paysage couvert de vallées sèches avec de grandes cultures annuelles, caractéristique de l’arrière du littoral maritime.
Avant de nous séparer, nous pensons à nos 14 randonneurs partis en Bretagne effectuer un séjour d’une semaine.
Merci d’avoir osé braver les conditions météorologiques de ce jour (pluie, soleil, rafales de vent à 80km/h et même grêle en fin de parcours). Votre présence n’en est que plus appréciée. A bientôt sur d’autres chemins.

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Dimanche 4 octobre : La Forêt D’Huelgoat / les mines d’argent et de plomb, les chaos granitiques (16 km)

Dès le départ, nous longeons un petit canal qui alimentait en eau les anciennes mines d’argent et de plomb. Et presque toute la matinée, nous cheminerons ainsi le long des ces petits canaux, tantôt bien en eau, tantôt pratiquement secs.

Bien entendu , à la mine d’argent, plus de trace de ce précieux métal mais seulement les vestiges d’une importante activité minière.
Nous suivons le lit de la Rivière d’Argent, très tumultueuse, gonflée par les pluies des jours précédents Nous sommes subjugués par la force du courant qui gronde au travers des chaos de roches granitiques : la Mare aux Fées, et le fameux Gouffre !

Un muret ensoleillé nous accueille pour le pique-nique. L’après-midi quelques averses jouent avec notre patience (cape ou pas cape ? parapluie ?) A camp d’Arthus, Pierre, Christian et Lucien essayent le trône du roi Arthur.
La forêt est parsemée de chaos rocheux : Le « Ménage de la Vierge », « la grotte du Diable », « le chaos du Moulin », sans oublier « la roche tremblante » : quelques costauds n’ont aucun mal à faire trembler ce caillou de plus de 1 000 tonnes !

Avant de rentrer nous visitons le célèbre enclos paroissial de Saint Thégonnec et son église à l’intérieure très coloré.

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26 participants à cette rando qualifiée de « retour du soleil ! » . En effet, après une matinée peu engageante, des timides puis plus franches éclaircies nous ont accompagnés au long de ce parcours bucolique. Nous passons d’abord par l’église qui permet de rappeler le passé historique de la bourgade : Au moyen Âge, Pihen qui fait partie du Comté de Guînes devient anglais de 1347 à 1558. Après la libération de Calais par François de Guise en 1558, Pihen fait partie du « pays reconquis ». A cette époque les rois de France et d’Espagne sont en guerre. Pihen se retrouve espagnol de 1596 à 1598. C’est lors de ces combats que l’église du 13ème siècle fût incendiée.
Aujourd’hui, seul le chœur date du 13ème siècle.
La rue du Château nous conduit au chemin des poissonniers. Ce chemin permettaient de relier les grandes villes aux ports pour l’approvisionnement du poisson frais. Une véritable course contre la montre organisée par un système efficace de relais qui utilisaient des chevaux du Boulonnais.
Malheureusement Vatel, le cuisinier du roi Louis XIV, ne fut pas livré à temps et se suicida (ou était-ce par amour ?)
Après la traversée du bois de l’abbaye, le plateau de Saint Inglevert nous ouvre l’horizon. Nous voici bientôt aux pieds des vignes ! Eh oui à Pihen on fait du vin !
Retour tranquille à Pihen où nous nous promettons de nous revoir bientôt !

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Nous sommes 26 ce dimanche 27/09/2020, rassemblés pour cette randonnée « Les Deux Campigneules » de 12.6 km, devant l’église de Campigneules Les Petites.
La photo de départ est prise devant ce bâtiment construit en 1705. De style gothique, elle est dédiée à St Crépin et St Crépinien.
Nous prenons un chemin à travers champs pour rejoindre Campigneules Les Grandes où nous pouvons admirer le château qui, en 1655, a pris la place d’un manoir. Construit en craie, il vient d’être restauré. Il a appartenu au colonel Menu du Mesnil puis au baron Moullart de Vilmarest au XIXème siècle. Mr Gustave de Fougeroux en devient le propriétaire en 1850.
Notre ballade se poursuit dans Campigneules Les Grandes jusque l’A16 que nous longeons brièvement pour rejoindre le bois de Campigneules Les Grandes, toujours à travers champs.
Après être passés dans le bois, nous coupons la D939 pour rallier notre point de départ. Nous passons devant l’entrée fortifiée et sa tourelle, du manoir de Campigneules Les Petites qui date en partie du XVIIème siècle.
Nous nous retrouvons chez Gisèle et Michel pour le pot de l’amitié et le repas tiré du sac.
En guise de sieste, nous partons, en voiture cette fois, pour la Chartreuse Notre Dame des Prés à Neuville sur Montreuil, monastère fondé en 1325 par le comte de Boulogne.
La visite guidée par un passionné, n’en fut pas moins passionnante.
C’est vers 17H00 que cette journée prit fin.

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« Le Marais David ».
Rendez-vous à 14 heures place Maurice Lambert pour une randonnée douce conduite par Dominique et Pierre.
Nous sommes 33 marcheurs à nous élancer dans la plaine Flamande.
Nous contournons la Maison des activités pour longer la rue de Calais qui nous mène à la sortie du village.
La commune porte le nom de l'évêque Folquin qui était cousin de l'empereur Charlemagne et vécut au IXe siècle. Il devint évêque de Thérouanne en 816 et se distingua en particulier en défendant son diocèse face aux Vikings. Après sa mort, sa notoriété fut importante en particulier chez les moines de l'abbaye Saint-Bertin à Saint-Omer. Durant la Révolution, l’appellation des lieux évoquant des noms religieux étant proscrite, la commune porte le nom de « Le Bas-Morin ».
Au pont du Halot, nous longeons le watergang de Mardyck par la digue du même nom.
Un chemin sur la gauche nous amène dans le marais David. Nous sommes maintenant dans une zone de wateringues, réseau de fossés créés pour assécher les anciens marais et évacuer les eaux vers la mer.
Chemin à travers champs, puis petite route de campagne.
Petite pause hydratante, avec des guimauves au chocolat offertes par Dominique.
Nous traversons le lieu-dit « La Manche » avant de regagner la digue Mardyck.
Au pont Halot, retour par la rue de Calais qui nous ramène au parking.
Températures chaudes, dignes d’un mois de juillet, pour cette première journée automnale !
Merci à tous les participants

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« S’il vit, Lulu marche à la recherche des petites oies ».
Rendez-vous rue à 9 heures, rue Odoard à Marck, pour une randonnée en boucle organisée et guidée par Sylvie et Lucien.
Nous sommes 30 randonneurs à profiter de ce dernier dimanche d’été, matinée qui s’annonce enthousiasme au vu de la motivation de nos Arcosiens.
C’est la photo classique de départ à proximité de la maison de nos amis et nous cheminons par la petite route de campagne, la rue Odoard, jusqu’à la D940 que nous longeons jusqu’au rond-point à la sortie de Marck.
Après avoir descendu le talus, un chemin qui longe la rivière d’Oye sur 3,5 km en passant par le pont d’Arras, puis le pont de Planches nous amène au pont d’Offekerque. Petite pause gourmande avec un encas offert par nos amis.
Nous empruntons, avec prudence la D230, puis un chemin herbeux à travers champs nous amène à l’ancienne sècherie de chicorée.
Nous traversons de nouveau la D940 en direction d’un centre équestre, style Far-West, puis vers la ferme du Beau Pays ou se trouve un magnifique jardin botanique avec de nombreux animaux : notamment des oiseaux et des papillons dans une serre tropicale.
Chemins de terre en alternance avec chemins goudronnés nous ramène au domicile de nos animateurs.
Nos recherches ne sont pas restées vaines, nous avons bien trouvé des petites oies cacardant sur notre parcours ! On aurait pourtant pu croire à une métaphore faisant peut-être allusion à quelques bavardes de l’ARCO, mais non c’étaient bien des oies !
Un chaleureux apéritif est proposé par nos hôtes dans leur vaste jardin (distanciation physique respectée).
Météo et convivialité étaient au rendez-vous.
Merci à Sylvie et Lucien, ainsi qu’à tous les participants.
Rendez-vous ce mardi à Saint-Folquin.