Association des Randonneurs de la Côte d'Opale

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Cest sous la pluie et le vent que débute la randonnée imaginée par Pierre,animée et guidée par Christian.Nous avions rendez vous à Nort Leulinghem au parking de l’église. Nous commençons cap au sud ouest avec un vent de face pour suivre un chemin qui nous mène dans la forêt de Tournehem jusqu’au lieu dit le Carrefour des 4 Sapins ,c’est à cet endroit que Jean Pierre et Francine D nous quittent pour prendre un raccourci qui les ramène directement au départ . Nous poursuivons notre chemin, nous passons par les villages Mentque, Nortbecourt,la une maison hantée ,d’effraie la chronique, des témoins de ces phénomènes auraient vu voler des chaises et divers objets traversant la maison. Une enquête est en cours , puis nous continuons notre chemin par d’agréables paysages variés. A la fin du parcours nous avons du nous détourner car le passage se révélant privé rallongeant ainsi la distance . Terminer la rando et rejoindre le parking . Une ballade à refaire dans de meilleurs conditions climatiques ,pour appécier d’avantage le paysage

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Nous avons d'abord traversé la commune sous un crachin persistant, pour arriver au complexe sportif des Dryades situé en pleine nature, verte et vivifiante. Puis nous avons longé un petit canal jouxtant l'aéroport de Marck,pour ensuite dépasser une ferme équestre où paissait une dizaine de chevaux paisibles.La pluie redoublant et le vent s'élevant, nous sommes retournés vers la commune jusqu'au parking du départ où Jean Pierre nous a assuré de sa musculature d'athlète. On n'a pas osé le contrarié ! Finalement, le temps maussade n'a pas altéré notre bonne humeur, et nous nous sommes quittés, sous une pluie battante en souhaitant se revoir le mardi suivant à 18 heures à Wissant.

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Nous étions 24 ce dimanche 28 juin 2020 pour une rando autour de Brêmes , bois en Ardres Ardres. Partis de la mairie de Brêmes ,nous avons rejoint le canal que nous avons longé pendant 2 h 5 puis rattapé Bois en Ardres et l’avenue du lac . Petite pause ou un petit rappel historique (origine du lac et des tourbières )et aussi l’histoore de la belle Roze ,sommes revenus par le parc d’Ardres,le chemin des cressonnières et la nouvelle voie douce directement à la mairie Partis à 9h5 retour à midi par un temps mitigé aire des périodes grises et ensoleillées . Ce fut une belle balade conviviale et agréable .

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26 participants répartis en trois groupes au départ du parking de la Réserve naturelle «  la Maison dans la Dune ».
Nous nous dirigeons vers l’observatoire principal pour profiter de la magnifique vue offerte sur les mares et prairies humides du Platier. C’est ici que viennent se reproduire à la belle saison de nombreuses espèces d’animaux : canards siffleurs, vanneaux huppés, la grande sarcelle, les limicoles et bien d’autres oiseaux.
Cette prairie est également le domaine des vaches Highlands qui entretiennent le site.
Nous poursuivons notre balade sur le platelage à travers la dune jusqu’à la plage de l’Abri côtier.
Ensuite nous suivons le cordon dunaire par la plage. C’est la marée haute et les vagues nous lèchent les pieds !
Un escalier, refait à neuf suite aux dernières tempête, nous ramène dans la dune jusqu’à l’observatoire à lapins derrière le village vacances les Écardines.
Nous empruntons le GR 120 du littoral en direction de Grand-Fort-Philippe avec en toile de fond la centrale nucléaire et ses six réacteurs. Nous serpentons à travers les trois types de dunes qui caractérise le Platier : la blanche avec ses oyats qui fixe le sable, la grise qui doit son nom à son tapis de mousse qui la recouvre et à fourrée par ses troènes, ses églantiers et sureaux. C’est aussi le refuge des passereaux.
Un groupe a pu profiter des explications d’un garde de la réserve naturelle sur le nichage des oiseaux
Retour par la Digue de la Mer, puis un joli sentier herbeux qui nous ramène au parking de la Réserve.
Belle balade estivale sous le soleil et la chaleur dans un environnement privilégié très prisé par les touristes et en particulier nos voisins Belges, Hollandais et Anglais.
Merci à tous les participants et rendez-vous dimanche à Brème-les-Ardres avec un tout autre environnement pour une randonnée sous la conduite de Lyse.

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C’est 2 groupes qui avaient rendez vous ce dimanche à Guines au Tourne puy pour une randonnée dans la ville ,nous prenons la route de l’ancienne gare du fameux train de Guines , puis la place des Poilus , le château, la tour de l’horloge,le musée, le nouvel office de tourisme bien intégré dans l ‘ancienne minoterie ,ensuite nous quittons la ville par la route de st Tricat et prenons le chemin du petit et grand Blaize ,le Battelage, pour ensuite longer le canal de Calais à Guines et prendre le sentier de l’ancienne voie ferrée, nous ramenant au Tourne puy .Le premier groupe était mené par Bernadette responsable du parcours : qui nous à fait découvrir certaines parties inconnues de Guines
le 2eme groupe par Christian  ,une joyeuse ballade bien agréable

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19 participants répartis en deux groupes au départ du parking de la gare. Le parc Richelieu est fermé pour cause météo, mais cela ne nous empêche pas de remarquer la sculpture du Général De Gaulle et de Winston Churchill : Le monument en bronze est constitué de sept arches en acier galvanisé laqué culminant à 5 mètres. Sept arches qui représentent la France d’après-guerre en pleine reconstruction sous lesquelles marchent côte à côte Churchill et De Gaulle
Peu après nous passons devant l’église Notre Dame et son jardin orné de splendides rosiers.
Le phare, qui fût allumé la première fois le 15 octobre 1848. 59 m de haut, il comporte 271 marches.
Sa portée est de 43 km.
L’église Saint Pierre / Saint Paul et le Courgain maritime où notre « Ti-Père » est fier de montrer la rue DUVAL !
De nombreux « autochtones » ponctuent notre marche de diverses anecdotes, comme Didier qui a habité le Courgain, et surtout Lyse qui est intarissable sur ses aventures de jeune fille au club de voile installé dans le fort Risban ; elle y a passé son brevet de sauvetage et serait encore prête à sauver Dominique qui se veut se jeter à l’eau ! elle y a même appris à voguer à la godille !
Nous empruntons la promenade nouvellement ouverte qui contourne le fort Risban en longeant le port pour découvrir le dragon sorti de son confinement. C’est toujours une surprise de voir cette machine si expressive ! Hauteur : 10 à 15 mètres, Largeur :  5 à 17,5 mètres ailes déployées, Longueur : 25 mètres, Poids : 72 tonnes, Vitesse : 0 à 4 km / h, Propulsion : Hybride, Matériaux :  bois, métal, cuir, toile, cuivre, Manipulations :  4 à 6 personnes, Capacité :  50 personnes mais aujourd’hui seulement 19 pour cause de distanciation physique.
Le front de mer en travaux : on commence à deviner les nouveaux accès et la base du belvédère.
Par une petite ruelle nous gagnons les chemins de promenade qui longe le canal des Pierrettes pour retraverser le pont Henri Hénon.
Le célèbre restaurant « La Sole Meunière » est à vendre, et nous rêvons de le réouvrir avec Nadine aux fourneaux, Dominique au service et Didier au … bar !
Nous investissons bientôt la Citadelle en entrant par la porte de Neptune. Là un lagon bleu cobalt nous surprend ! C’est un terrain de Hockey.
Nous quittons ces fortifications par la porte de Boulogne pour terminer cette bien agréable rando citadine.

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La vallée Madame
C’est par une belle matinée que les participants des trois groupes ont cheminé sous la houlette de Guy, Pierre et Patricia.
Partant du « petit bled » à Hermelinghen, nous nous dirigeons vers la Fontaine, et, empruntons le chemin qui passe par les Fines Crupes, le Mont Galien, et, qui nous mène à Boursin. De là, à l’issue d’une bonne montée, au niveau de l’intersection, 3 marcheurs bifurquent vers le Ramboquet, les Acquettes pour traverser le bois et la plaine d’Hermelinghen et regagner ainsi le point de départ.
Les autres randonneurs traversent la Vallée Madame et rejoignent Alembon. Ils quittent le village et entament la montée vers la Taonnerie le Ventu d’Alembon, et se dirigent vers le bois d’Eserie et des Butors. Ils poursuivent vers la Cottière du Mât avant de revenir à leur point de départ.
Hermelinghen émane du nom de personne germanique Ermil+ing ou ingen + heim ce qui signifie demeure des peuples d’Ermil. Le village est intégré au périmètre du parc naturel et régional des Caps et Marais d’Opale et se situe entre les pôles secondaires que représentent Guines, Licques et Marquise.
La Vallée Madame, qui selon la légende, doit son nom à la nature galante des rendez-vous que se donnaient autrefois les damoiselles et damoiseaux.
Merci à tous les participants.et à bientôt sur de nouvelles randonnées.

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Compte rendu rando douce du 9 juin « Proche des Terres canadiennes »
19 participants à ce beau parcours campagnard répartis en deux groupes, l’un parti de la forteresse de Mimoyecques, l’autre du cimetière canadien.
Calais alors sous occupation allemande, fut assiégé par les alliés le 5 septembre 1944 et se rendit, après une âpre résistance, le 30 septembre.
Ce cimetière contient les tombes des Canadiens qui ont perdu la vie au cours des opérations pour la prise de Boulogne et de Calais.
Il y a 729 tombes, dont 594 canadiennes ; 103 britanniques, 5 australiennes, 6 tchèques, 19 polonaises et 2 non identifiées. Par forces armées, les tombes identifiées comprennent 7 de la Marine, 603 de l'Armée et 117 de l'Armée de l'Air.

La Forteresse de Mimoyecques est une base secrète construite dès 1943, sur les ordres d'Hitler, pour abriter les canons V3 qui devaient détruire Londres.
Actuellement 600m de galeries se visitent, à -30m par rapport au sommet du plateau.
Ce site, également appelée « le site du canon de Londres » est l’un des édifices les plus impressionnants imaginé par Hitler.
Comme toutes les armes de représailles, le V3, canon à charges multiples, devait bombarder l’Angleterre, plus précisément Londres. Elle a été mise en place du printemps 1943 à l’été 1944 par plus d’un millier d’hommes, notamment une main-d’œuvre forcée aux origines très diverses.
Un vaste réseau de galeries a été creusé desservant ainsi cinq puits de tirs de cinq canons chacun. Ces canons étaient censés envoyer 1500 obus par jour. Un site jumeau aurait dû également voir le jour, portant le nombre de projectiles envoyés à 3000 par jour.
Malgré de multiples bombardements, ce n’est que le 6 juillet 1944 que le cœur de l’ouvrage sera atteint, la Forteresse sera bombardée par des bombes d’un genre nouveau : les bombes Tallboy.
Tout le travail de construction sera abandonné quelques semaines plus tard, juste avant l’arrivée de l’armée Canadienne le 5 septembre 1944.
Aujourd’hui, sous la gestion de la communauté de communes terres de 2 Caps, est ouverte au public et mérite une visite.

Ces rappels d’une histoire douloureuse et dramatique nous ont permis de mieux apprécier le calme et la paix de ce cheminement dans une campagne verdoyante, à l’image du bois de l’Abbaye qui recèle au début du printemps une belle collection de Jonquilles sauvages.
Le hasard des rencontres nous a permis de croiser le chemin d’un randonneur solitaire, originaire de la Sarthe et plus précisément de Saint Léonard des Bois ! Là où nous avions vécu un mémorable séjour dans les « Alpes Mancelles » en octobre 2018.
A bientôt sur les chemins !

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Dimanche 7 juin : « A la découverte d’une mystérieuse épave » 20 participants en deux groupes de 10 pour respecter les règles de la deuxième phase de déconfinement.

C’est avec un grand plaisir que nous revivons la possibilité de randonner.
Les deux groupes sont partis de la rue de la plage au Cap Gris Nez, pour rejoindre l’estran bien dégagé à cette heure de marée basse.

Nous croisons quelques pêcheurs à pied bien dépités car les moules ne sont pas au rendez-vous ! Il en est de même pour les bouchots (pieux de bois pour l’élevage de moules) qui semblent bien vides !
Par quel mystère les moules d’Audinghen ont-elles disparues ?

La progression se fait sur cette vaste étendue de sable parsemée de flaques de petits ruisseaux qu’il faut tout de même contourner ou simplement enjamber.

Nous voici devant la mystérieuse épave :
Nous sommes le 2 décembre 1917, l’hiver est là, avec ses habituelles tempêtes.
L’horizon est aussi gris qu’indicible, quand se dessine, tant bien que mal,  au lointain, la silhouette d’un navire, qui aux prises avec une mer assassine, s’approche dangereusement des côtes. Battu par les vagues, le bâtiment finit par s’échouer sur la plage de Tardinghen, faisant une victime, le soutier John Bilsborough.
C’était un chalutier à vapeur de 37 m, réquisitionné par l’armée britannique en 1915 pour servir de navire démineur.
Il est affecté à la célèbre Dover Patrol, basée à Dunkerque et à Douvres, dont la mission était d’empêcher le passage de bâtiments de guerre allemand dans la Manche.
Plus ou moins visible selon les saisons et les années, l’épave gît depuis 103 ans sur la plage, et sert d’aquarium naturel à marée basse. On peut aisément y observer crabes, poissons plats, étoiles de mer...
Mais qui est donc ce mystérieux Lord Grey qui donne son nom à un navire ?
Il s’agit de Charles Grey, nommé en 1806 Premier Lord de l’Amirauté, puis en 1807 ministre des affaires étrangères, rien que ça !
Et ce n’est pas tout puisque qu’il devient premier ministre en 1830 et fait voter l’abolition de l’esclavage au sein de l’Empire Britannique en 1833.
Je ne résiste pas à l’envie de vous donner cette dernière petite anecdote historique : c’est pour lui rendre hommage qu’un très méconnu thé noir aromatisé à la bergamote va être nommé Earl Grey… Oui, oui ! Alors maintenant vous penserez à cette petite anecdote lorsque vous prendrez votre prochaine tasse de thé !
Maintenant Cap sur Wissant mais à effectif réduit de 3 personnes dans chaque groupe. Quelques participants ont préféré écourté pour ménager les articulations ou pour être à l’heure à un RDV.
Nous observons les grandes plaques noires et souples de tourbe. Ces tourbières se seraient formées entre 3 800 et 800 ans avant notre ère.
A quelques encablures du rivage ont peut observer la présence d’un banc de sable qui semble s’allonger d’année en année. Fermera-t-il un jour la baie de Wissant ?
Voici le grand escalier qui marque notre arrivée à Wissant et la moitié du parcours. Une petite pause s’impose.
Le retour se fait par la dune et les pas sont alors plus lourds et plus lents dans ce sable mou qui se dérobe. Au détour du chemin un observatoire nous permet de découvrir une zone humide où s’ébattent un couple de cygnes, des canards, et leurs canetons et un Foulque macroule (d’après Lyse).
Bientôt nous retrouvons la plage à la recherche du chemin à travers dune qui nous permettra de rejoindre le GR120.
Mais le groupe 1, pressé de retrouver ce GR s’aventure dans la dune et se retrouve cerné par les argousiers et les ronces qui chatouillent les mollets. Après quelques hésitations, tous retrouvent le bon chemin et retournent au point de départ en passant grâce à un petit pont au-dessus du ruisseau du Châtelet et en grimpant la falaise herbeuse. Un dernier point de vue nous permet de voir un énorme porte containers, comme celui sur lequel travaille le fils de Laurence.
Une bien agréable randonnée de reprise. Retrouvons nous vite sur d’autres chemins !

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking de la mairie pour une randonnée organisée et guidée par Dominique et Pierre.
19 marcheurs ont répondu présent.
C’est sous des températures douces, un ciel mitigé et de belles bourrasques que nous quittons le parking.
Direction plein sud, vers la ligne TGV. Comme d’habitude une odeur d’oignon, pas de soupe hélas ! Mais plutôt de putréfaction végétale à nous donner le dégoût.
Nous avons maintenant le vent de dos et cheminons sur un chemin bien boueux par endroit nous obligeant à louvoyer entre les flaques !
Arriva ce qui devait arriver : notre ami Jean-Pierre, tel un cascadeur nous fait une belle chute entrainant le malheureux Hervé qui se trouvait dans son champ (celui-ci semble avoir souscrit un abonnement pour les glissades) !
Nous contournons les terres dites « Le Quenet » et le vent fort nous agresse de nouveau.
Petite pause à l’abri d’un bosquet où Dominique nous régale de ses gaufres fourrées.
Au lieu-dit « Le Douaire », le fameux cygne noir, comme à son habitude, parade devant un public acquis en trompetant ou sifflant.
Retour au village en passant devant Château de Colvede.
Le rendez-vous est pris, ce dimanche, pour une randonnée au départ de Wissant.
Merci à tous les participants.

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Normalement 8h15 départ vers la belle Albion.
Hélas suite à un décalage inexpliqué pour la traversée, nous arriverons sur Douvres avec 1h30 de retard.
5 km en voiture "Et à gauche!" pour rejoindre un parking sur Douvres où nous engagerons la rando.
C'est parti direction Folkestone par la North Downs Way.
Nous commençons fort par un long et rude escalier (voir photos) vers le Western Heights Of Dover.
Nous avons une météo correcte avec quelques petits grains passagers.
Les points de vue sur la côte Anglaise sont très beaux.
Nous avons eu trois facteurs qui nous ont un peu freinés dans notre progression:
> un dénivelé modeste de 350 m mais contre le vent.
> de fortes bourrasques sur les secteurs découverts
> quelques endroits bien boueux.
Repas sur le haut de Folkestone dans le pub The Valiant Sailor ( Le vaillant marin) ou nous fumes
servis par de charmantes dames.
Grande aide d'Hervè pour les traductions, un grand homme qui sait de quoi il parle.
Nous avons gagnè 1h sur le retour vers Calais avec une mer plus calme.

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5 participants au départ du Cap Gris Nez toujours sous la menace de pluies cinglantes, et la promesse de retrouver 5 autres membres à Audresselles.
Nous quittons le Cap Gris nez, bien engoncés dans nos vêtements de pluie pour rejoindre Framezelle. Là, direction Floringzelle pour emprunter la vélo route.
Le vent chargé de pluie nous agresse de face. Les têtes sont baissées, les conversations impossibles. Parfois de rares oasis d'accalmie , grâce à un bosquet, nous permettent de souffler et de se remotiver pour la poursuite de ce combat. Après plus d'une heure, en vue de du Hameau d'Haringzelle (décidément il y a beaucoup de "zelle"), nous décidons d'écourter le parcours et de pas aller jusqu’à Audresselles. Nos amis qui nous attendaient la-bas sont prévenus. Nous passons donc par le cran Poulet où la mer haute lance ses grosses vagues rageuses chargées d'écume. Vraiment pas très accueillante !
C'est alors que la pluie semble s'estomper et que le vent nous pousse maintenant dans le dos. Nous croisons d'autres randonneurs courageux dans les différents crans.
Nous évitons le cran de Quette qui avait été reconnu quelques jours avant et qui ressemblait à un toboggan de boue ! De retour à Framezelle, nous passons devant le bistrot Des Margats de Raoul et nous avons une pensée pour Dominique L. qui chante si bien "Quand la mer monte ..."
Nous descendons vers la Sirène pour remonter sur la falaise en passant devant la petite maison de nos rêves.
De retour sur les chemins aménagés du Cap Gris Nez nous avons la surprise de retrouver Francine, Christian, Maryse et Catherine.
On se quitte là alors qu'Yves emmène Maryse et Catherine faire le tour des belvédères car Catherine s'aperçoit qu'elle n'a pas visité ce site remarquable depuis 17 ans !
Comme le temps passe vite ...

Rendez vous mardi à Rodelinghem pour la rando douce et Dimanche prochain à Wissant pour découvrir une mystérieuse épave ...

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21 participants se retrouvent sur la place d'Audresselles sans embrassades (Roger propose un salut original ... de chaussures !)
Christian et Francine, indisponibles ont mandaté Jacques qui nous emmène sur la plage direction plein Sud. D'abord les galets bien ronds, puis le sable et la mer montante, bien sûr tout de même un peu de vent mais pas de pluie !
En vue d'Ambleteuse, nous traversons un espace de rochers un peu chaotique, Catherine en profite pour s'y asseoir un peu involontairement !
Le Fort se dresse toujours fidèlement à l'entrée de l'estuaire de la Slack que nous longeons. Pour contourner Ambleteuse, Christian nous a dégoté deux chemins que nous n'avons jamais empruntés : le premier de type agricole, le deuxième, au milieu de jardins ouvriers.
Après avoir longé le stade, et passé devant le Musée 39 - 45 , nous revenons vers Audresselles par le chemin aménagé de platelages dans cette zone un peu humide.
Nous longeons la Manchue, minuscule fleuve côtier qui se laisse envahir à cette heure pas la marée, pour le bonheur des flets (petits poissons plats) qui aiment les eaux saumâtres.
Franck rêve d'avoir le temps de lancer sa canne !
Dominique G. nous montre, rue Philippe Auguste Jeanron, la demeure de Dany le dernier pêcheur en flobard de toute la côte (il en restait un autre à Wissant, mais il vient de prendre sa retraite !) Si vous désirer acquérir des produits de la mer frais, crabes, homards (environ 20 € le kilo), poissons de saison et faire travailler le dernier artisan de cette pêche ancestrale, voici son numéro : 07 61 89 32 70.
Bientôt nous retrouvons la place pour se donner RDV dimanche prochain sur les chemins côtiers de part et d'autre du Détroit du Pas de Calais: un partie en Angleterre, l'autre partie au Gris Nez !

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"Aux portes de l’Angleterre"
5 candidats à cette rando au départ du Cap Gris Nez dont Guy, né un premier mars, il y a ... quelque temps !

Malheureusement, juste après la photo de départ, une terrible bourrasque de grêles s'abat sur le petit groupe qui après quelques secondes de stupeur se réfugie dans les voitures.
Après un temps d'hésitation, de concertation et devant la menace météo persistante, il est décidé d'abandonner le projet de randonner ce matin là !

Mais ce n'est que partie remise : Yves propose, (pour celles et ceux qui ne participent pas à la sortie en Angleterre), de réaliser cette rando dimanche prochain, le 8 mars, journée internationale des droits des femmes.

Donc Rendez-vous à 9 h sur le parking du phare (1ère allée) pour un parcours de 13 km. Possibilité de raccourcir à 6 ,5 km (contacter Yves pour organisation).

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Rendez-vous à 14 heures sur le parking de la Fontaine devant la mairie pour une randonnée organisée et guidée par Dominique et Pierre.
24 marcheurs ont répondu présent.
C’est sous des températures douces, mais avec un ciel mitigé que nous quittons la place, une faible pluie nous rattrape bientôt.
Direction plein nord sur les hauteurs du village. Éole est de la partie et décoiffe tant soit peu les marcheurs sans couvre-chef.
La vue imprenable sur le Calaisis qui s’offre à nos yeux nous fait oublier ces petits désagréments.
Par un chemin de terre (les Epinettes), nous rejoignons et traversons la D243.
Nous continuons vers le Fond Charlot, à travers champs, par un chemin de terre.
La descente en pente douce du Mont Roti, sur un sentier agréable, nous ramène à Peuplingues.
Le rendez-vous est pris, ce dimanche, pour une randonnée au départ du Cap Gris-Nez.
Merci à tous les participants.

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Rendez-vous à 9 heures pour une randonnée organisée et guidée par Dominique et Pierre.
Nous sommes 15 au départ sur le parking de la mairie malgré la tempête.
Nous quittons le village et empruntons un chemin assez pentu qui nous mène à la ferme de Canteraine. Il a fallu se frayer un chemin entre les branches des arbres couchés dans le chemin glissant et déjà quelques chutes heureusement sans conséquences
Nous traversons le hameau de Sacriquier et empruntons un sentier à travers champs jusque Campagnette.
Nous faisons la traditionnelle pause café/thé à l’abri du vent le long d’une grange.
Nous nous dirigeons vers le bois des Monts et entamons sa traversée en descente sur une petite route de campagne.
Le village de Saint-Martin-Choquel est bientôt en vue, puis celui de Menneville.
Direction Desvres avec un fort vent de face très désagréable. Mais bon ! Ça commence à devenir une habitude, les tempêtes font foison en ce moment.
La « Fosse au Chiens », agréable plan d’eau avec un sentier qui le borde, nous est interdit pour cause d’inondations.
Nous voici arrivé au café « Au Carrefour » qui nous accueille pour notre pique-nique.
Par prudence les animateurs décident d’écourter la randonnée. Les vents, encore violents, avec des rafales prévues à 120 km/h peuvent nous faire courir un danger, d’autant plus que le reste du parcours devait se dérouler en grande majorité dans les bois.
Albert qui « avait senti le vent tourner », (sans mauvais jeu de mots !) avait anticipé en laissant sa voiture à Desvres. Les chauffeurs ont put ainsi récupérer leurs véhicules à Courset. Merci à lui…
Merci à tous les courageux participants et nous vous donnons rendez-vous ce mardi à Peuplingues.

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Enfin une petite pause dans cet hiver tempétueux qui a permis à 30 marcheurs de se retouver pour une traditionnelle ascencion du Cap Blanc Nez par l'Est.
Accalmie des averses, mais non du vent d'Ouest qui n'a toujours pas décidé de baisser les bras !
C'est donc contre lui que nous avons monté lentement vers le Mont Hubert au pied de la digue du Fond Pignon. Bientôt se découvre cette vaste étendue artificielle créée par les déblais du tunnel sous la Manche. Espace maintenant protégé, paisible, qui étale son étendue d'eau accueillante pour les oiseaux migrateurs de passage.
Parvenus, au somment du Mont, une petite halte nous permet de déguster une friandise généreusement offerte par Bernadette.
Pour rejoindre le Cap Blanc Nez nous sommes quelque peu destabilisés par des rafales agressives, tant et si bien que nous renonçons à faire le tour des belvédères.
C'est avec soulagment que nous retrouvons un peu de calme dans le chemin du bord de falaise qui plonge vers Sangatte. Retour facile, en descente, agrémenté d'une deuxième halte "biscuit".
Quel bol d'air !
Prochains RDV : Dimanche à Courset (La Vallée Saint-Maurice ) et Mardi à Peuplingues (Le fond Charlot).

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Matinée pluvieuse avec le vent fort qui nous poussait vers la Belgique sur de beaux chemins entre cultures et marais.
Repas sorti du sac avec un bon accueil au café Rohardushof d'Alveringem.
Retour sur Bambecque avec un vent, de face, à écorner les bœufs accompagnè d'une pluie persistante.
Les vaillants et infatigables participants se sont retrouvés au Cafè-Rando Chez Brigitte à Bambecque pour une bonne partie de franche rigolade;il parait qu'un randonneur doit apprendre comment danser sous la pluie,nous n'y sommes pas parvenus,alors nous avons préféré danser devant une bière.

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Rendez-vous à 14 heures pour une randonnée organisée et guidée par Dominique et Pierre.
Nous sommes 22 au départ de la mairie.
Nous quittons le village par la route de Balinghen puis la rue A Reine. Après une distance de 1300 m, nous empruntons un chemin herbeux parallèle à la D228.
De part et d’autre, ce sont des champs. Nulle trace du vieux moulin qui a pourtant donné son nom à ces lieux.
Nous traversons de la D248 et empruntons un sentier à travers champs, parsemé de flaques d’eau. Puis après la D244, nous nous dirigeons vers le « Clersou », en foulant la toute nouvelle piste du vélo route Ardes / Guînes, puis un chemin de terre en pleine campagne.
Retour par la rue de la Rivierette qui nous ramène à notre point de départ.
Encore beaucoup de vent, avec de belles rafales. Ce sont les résidus de la grosse tempête Ciara qui nous a affectés tout le week-end, nous obligeant à annuler la randonnée de dimanche.
Merci à tous ces courageux participants quelque peu décoiffés….

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Rando douce à Guînes, 27 participants.
Les collègiens n'en revenaient pas ! Qui sont tous ces mamys / papys qui arrivent au collège ?
Nous les laissons bien vite à leur chères études car nous avons rendez-vous avec notre amie la marche.
Le parcours nous emmène d'abord en ville. Guines, cité historique qui abrite Bernadette, et qui a accueilli Brigitte !
Le ruelle Mouchon nous fait découvrir les vestiges d'un moulin à aube qui aurait servi à la draperie, peut-être aux tanneries et certainement au nettoyage des dentelles de Calais.
Mais pour l'heure il ne reste que quelques murets, une cascade et un vif ruisseau.
Nous quittons l'agglomération par le Sud avec en point de mire, la forêt. Pas de halte au parc de loisirs "acrobranches", ce n'est pas le jour à se balader dans les arbres.

Par contre une petite pause près de la voie du TGV, bien à l'abri du vent frais pour déguster quelques douceurs.
Et puis ... la difficulté du jour ! Un chemin étroit, boueux glissant, bordé par le grillage de la voie ferrée. La progression est délicate, précautionneuse, mais pas assez !
Catherine prend un bain de pieds et de boue, Maryse l'accompagne en chutant par deux fois !
Mais rien de grave, et on se retrouve tous au Moulin à Corneilles (prononcez "Cornailles" disent nos guînoises).
Un beau point de vue malgré un ciel nuageux.
Nous retrouvons le collège des Quatre Vents et prenons déjà rendez-vous pour les prochaines randos !
Bienvenue à Jean-Marc de Nouvelle Eglise.